Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sur la défensive ce vendredi après-midi, après que leurs bonnes performances dévoilées hier aient ravivé les rumeurs de diminution des acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale dès cette année.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,11%.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 8 juin, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 1.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Son équivalent du commerce constatait d'autre part 0,6% de ventes au détail supplémentaires pour mai, tirées vers le haut par le secteur automobile, au lieu des 0,4% anticipés.
Celles de produits de base, excluant les moyens de transport, se contentaient en effet de 0,3% comme prévu.
Les constructeurs aériens étaient sur le devant de la scène, alors qu'il semblait que Boeing se tire de l'ornière causée par les trois mois de maintien au sol de ses 787 Dreamliner, se rapprochant d'une nouvelle augmentation de sa production, qui récompenserait ses investisseurs en libérant des milliards d'USD destinés à payer des dividendes et racheter des actions.
Ces dernières ont du coup sombré de 0,16% en pré-ouverture.
Il était cependant à noter que l'A350-XWB, le premier nouveau modèle lancé en six ans par son concurrent Airbus, a pris aujourd'hui l'air pour la première fois.
La chaîne de journaux aéricains Gannett était aussi sous les feux de l'actualité pour la seconde fois consécutive, s'étant envolé de 34% hier après avoir annoncé son intention d'acquérir la compagnie de télévision Belo pour 1,5 milliards d'USD.
La première a du coup grimpé de 0,26% avant l'ouverture des hostilités, la seconde laissant échapper 0,15%.
SoftBank et Sprint Nextel, dont il compte prendre le contrôle, ont quand à eux déclaré aux autorités boursières que la demande d'une enquête de leur part formulée par l'acquéreur potentiel concurrent Dish Network en raison d'engageents non respectés était "absurde".
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 avançant de 0,16%, le CAC 40 français de 0,09%, le DAX 30 allemand de 0,34% et le FTSE 100 britannique de 0,07%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,39%, et le Nikkei 225 japonais 1,94%.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la semaine avec leur inflation des prix à la production, le volume de leur production industrielle, le taux d'utilisation de leurs capacités, le solde de leur compte courant et la première évaluation du moral de leurs ménages effectuée par l'université du Michigan.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,11%.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 8 juin, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 1.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Son équivalent du commerce constatait d'autre part 0,6% de ventes au détail supplémentaires pour mai, tirées vers le haut par le secteur automobile, au lieu des 0,4% anticipés.
Celles de produits de base, excluant les moyens de transport, se contentaient en effet de 0,3% comme prévu.
Les constructeurs aériens étaient sur le devant de la scène, alors qu'il semblait que Boeing se tire de l'ornière causée par les trois mois de maintien au sol de ses 787 Dreamliner, se rapprochant d'une nouvelle augmentation de sa production, qui récompenserait ses investisseurs en libérant des milliards d'USD destinés à payer des dividendes et racheter des actions.
Ces dernières ont du coup sombré de 0,16% en pré-ouverture.
Il était cependant à noter que l'A350-XWB, le premier nouveau modèle lancé en six ans par son concurrent Airbus, a pris aujourd'hui l'air pour la première fois.
La chaîne de journaux aéricains Gannett était aussi sous les feux de l'actualité pour la seconde fois consécutive, s'étant envolé de 34% hier après avoir annoncé son intention d'acquérir la compagnie de télévision Belo pour 1,5 milliards d'USD.
La première a du coup grimpé de 0,26% avant l'ouverture des hostilités, la seconde laissant échapper 0,15%.
SoftBank et Sprint Nextel, dont il compte prendre le contrôle, ont quand à eux déclaré aux autorités boursières que la demande d'une enquête de leur part formulée par l'acquéreur potentiel concurrent Dish Network en raison d'engageents non respectés était "absurde".
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 avançant de 0,16%, le CAC 40 français de 0,09%, le DAX 30 allemand de 0,34% et le FTSE 100 britannique de 0,07%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,39%, et le Nikkei 225 japonais 1,94%.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la semaine avec leur inflation des prix à la production, le volume de leur production industrielle, le taux d'utilisation de leurs capacités, le solde de leur compte courant et la première évaluation du moral de leurs ménages effectuée par l'université du Michigan.