Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en berne ce jeudi, au contraire du net rebond d'hier, les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro continuant à dominer l'humeur des investisseurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.05%.
Le moral des observateurs avait auparavant été regonflé par la réussite des enchères de la France et de l'Espagne, la première écoulant pour 4.5 milliards d'euros d'obligations et l'Espagne atteignant les 3.75 milliards visés.
Ils demeuraient toutefois nerveux après l'affirmation de Mario Draghi, nouveau président de la Banque Centrale Européenne, selon laquelle les risques de baisse des perspectives économiques avaient augmenté.
Netflix a plongé de 4.67% après que Wedbush Securities l'ait dégradé, l'estimant "au-dessous de ses capacités", invoquant les inquiétudes causées par les pertes d'abonnés, les hausses des coûts des contenus et son modèle de développement tourné vers "la croissance à tout prix".
La finance se trouvait toutefois en large forme, après que la Réserve Fédérale et cinq autres banques centrales aient diminué hier les coûts des fonds en dollars et que la Chine ait rabaissé les quotas de solvabilité imposés à ses banques.
Citigroup a bondi de 8.87%, JP Morgan de 8.44%, Goldman Sachs et la Bank of America se contentant respectivement de 7.94 et 7.3%.
Dans les télécoms, AT&T s'est élevé de 3.28% après avoir révélé être en négociations Deutsche Telekom, compagnie parente de T-Mobile USA, étudiant notamment la possibilité de joindre leurs forces afin de partager le réseau de l'opérarteur de téléphones mobiles.
Pfizer, laboratoire pharmaceutique fabriquant le Lipitor, a gagné 3.45% dans l'espoir de garder dans ses filets au moins un tiers des 3 millions d'américains prenant le médicament de lutte contre le cholestérol à grand succès, celui-ci ayant été ouvert à la concurrence générique ce mercredi.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Yahoo, au centre des débats sur fond de rumeurs selon lesquelles Blackstone, Bain, Alibaba et Softbank auraient entamé des discussions formelles afin de lancer une offre destiinée à en faire l'acquisition.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.53%, le CAC 40 français de 0.61%, et le DAX 30 allemand de 0.75%, tandis que le FTSE 100 britannique arrachait 0.41%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était envolé de 5.6%, et le Nikkei 225 japonais de 1.95%.
Les Etats-Unis devraient publier aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements faire de même concernant le volume de l'activité des usines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.05%.
Le moral des observateurs avait auparavant été regonflé par la réussite des enchères de la France et de l'Espagne, la première écoulant pour 4.5 milliards d'euros d'obligations et l'Espagne atteignant les 3.75 milliards visés.
Ils demeuraient toutefois nerveux après l'affirmation de Mario Draghi, nouveau président de la Banque Centrale Européenne, selon laquelle les risques de baisse des perspectives économiques avaient augmenté.
Netflix a plongé de 4.67% après que Wedbush Securities l'ait dégradé, l'estimant "au-dessous de ses capacités", invoquant les inquiétudes causées par les pertes d'abonnés, les hausses des coûts des contenus et son modèle de développement tourné vers "la croissance à tout prix".
La finance se trouvait toutefois en large forme, après que la Réserve Fédérale et cinq autres banques centrales aient diminué hier les coûts des fonds en dollars et que la Chine ait rabaissé les quotas de solvabilité imposés à ses banques.
Citigroup a bondi de 8.87%, JP Morgan de 8.44%, Goldman Sachs et la Bank of America se contentant respectivement de 7.94 et 7.3%.
Dans les télécoms, AT&T s'est élevé de 3.28% après avoir révélé être en négociations Deutsche Telekom, compagnie parente de T-Mobile USA, étudiant notamment la possibilité de joindre leurs forces afin de partager le réseau de l'opérarteur de téléphones mobiles.
Pfizer, laboratoire pharmaceutique fabriquant le Lipitor, a gagné 3.45% dans l'espoir de garder dans ses filets au moins un tiers des 3 millions d'américains prenant le médicament de lutte contre le cholestérol à grand succès, celui-ci ayant été ouvert à la concurrence générique ce mercredi.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Yahoo, au centre des débats sur fond de rumeurs selon lesquelles Blackstone, Bain, Alibaba et Softbank auraient entamé des discussions formelles afin de lancer une offre destiinée à en faire l'acquisition.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.53%, le CAC 40 français de 0.61%, et le DAX 30 allemand de 0.75%, tandis que le FTSE 100 britannique arrachait 0.41%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était envolé de 5.6%, et le Nikkei 225 japonais de 1.95%.
Les Etats-Unis devraient publier aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements faire de même concernant le volume de l'activité des usines.