Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en léger repli ce mercredi après-midi, l'ambiance se trouvant assombrie par les craintes concernant la croissance planétaire et les performances des entreprises attendues aujourd'hui.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Le moral restait en effet morose après que le Fonds Monétaire International ait rabaissé mardi ses prédictions pour l'expansion économique de cette année et de la prochaine, justifiant par la même occasion les coups de pouce des principales banques centrales destinés à stimuler des économies fragilisées.
Il a aussi rappelé ce matin que la crise de la dette de la région était encore la plus grande menace pesant sur l'économie mondiale et exhorté ses dirigeants à renforcer les liens fiscaux et financiers en son sein.
La nervosité restait palpable en raison de l'inconnue de la position espagnole portant sur une possible demande de secours, et des incertitudes touchant un éventuel accord sur les conditions d'attribution de la prochaine tranche d'aides à la Grèce par les bailleurs de fonds internationaux.
L'aluminier géant Alcoa était sur le devant de la scène, ayant donné après la fermeture le coup d'envoi de la saison des résultats, annonçant des bénéfices trimestriels avant les dépenses exceptionnelles dépassant les espérances des experts, avertissant toutefois qu'un "léger ralentissement" se faisait sentir sur certains marchés régionaux.
Ces nouvelles mitigées lui ont du coup fait perdre 0.99% après les dernières transactions.
Chevron, poids lourd des hydrocarbures, était aussi sous les feux de l'actualité, dégringolant de 1.26% en pré-ouverture suite à l'aveu de profits "nettement inférieurs" pour le troisième trimestre par rapport au précédent, un ouragan et des réparations ayant nui à ses extractions de pétrole et de gaz, tandis qu'un incendie touchait sa branche orientée vers le raffinage.
Concernant la grande distribution, Costco Wholesale a grignoté 0.27% avant les premiers échanges, suite à un bond de 27% de ses gains envisagés pour les trois derniers mois de l'année, les ventes continuant à augmenter tandis que la hausse de l'abonnement portait ses fruits.
Yum Brands était aussi porteur de bonnes nouvelles, s'envolant de 4.47% avant l'ouverture après avoir revu hier ses projections annuelles vers le haut, son chiffre d'affaires chinois tenant bon malgré l'apaisement de la fièvre sur ce front, le plus important ouvert par la compagnie.
FedEx était aussi attendu au tournant après avoir émis le même jour le voeu de réduire ses frais de façon radicale du côté du fret et des services aériens express actuellement peu satisfaisants, tablant ainsi sur 1.7 milliards d'USD supplémentaires qui en proviendraient au cours des quatre prochaines années.
Le quotidien Financial Times avait précédemment rapporté que l'Union Européenne aurait déclaré avoir des objections concernant le rachat pour 5.2 milliards d'euros du néerlandais TNT par son rival américain UPS.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.41%, le CAC 40 français de 0.25%, le DAX 30 allemand de 0.29% et le FTSE 100 britannique de 0.43%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.08%, et le Nikkei 225 japonais 1.98%.
La Réserve Fédérale de son côté comptait diffuser son livre beige dans l'après-midi.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Le moral restait en effet morose après que le Fonds Monétaire International ait rabaissé mardi ses prédictions pour l'expansion économique de cette année et de la prochaine, justifiant par la même occasion les coups de pouce des principales banques centrales destinés à stimuler des économies fragilisées.
Il a aussi rappelé ce matin que la crise de la dette de la région était encore la plus grande menace pesant sur l'économie mondiale et exhorté ses dirigeants à renforcer les liens fiscaux et financiers en son sein.
La nervosité restait palpable en raison de l'inconnue de la position espagnole portant sur une possible demande de secours, et des incertitudes touchant un éventuel accord sur les conditions d'attribution de la prochaine tranche d'aides à la Grèce par les bailleurs de fonds internationaux.
L'aluminier géant Alcoa était sur le devant de la scène, ayant donné après la fermeture le coup d'envoi de la saison des résultats, annonçant des bénéfices trimestriels avant les dépenses exceptionnelles dépassant les espérances des experts, avertissant toutefois qu'un "léger ralentissement" se faisait sentir sur certains marchés régionaux.
Ces nouvelles mitigées lui ont du coup fait perdre 0.99% après les dernières transactions.
Chevron, poids lourd des hydrocarbures, était aussi sous les feux de l'actualité, dégringolant de 1.26% en pré-ouverture suite à l'aveu de profits "nettement inférieurs" pour le troisième trimestre par rapport au précédent, un ouragan et des réparations ayant nui à ses extractions de pétrole et de gaz, tandis qu'un incendie touchait sa branche orientée vers le raffinage.
Concernant la grande distribution, Costco Wholesale a grignoté 0.27% avant les premiers échanges, suite à un bond de 27% de ses gains envisagés pour les trois derniers mois de l'année, les ventes continuant à augmenter tandis que la hausse de l'abonnement portait ses fruits.
Yum Brands était aussi porteur de bonnes nouvelles, s'envolant de 4.47% avant l'ouverture après avoir revu hier ses projections annuelles vers le haut, son chiffre d'affaires chinois tenant bon malgré l'apaisement de la fièvre sur ce front, le plus important ouvert par la compagnie.
FedEx était aussi attendu au tournant après avoir émis le même jour le voeu de réduire ses frais de façon radicale du côté du fret et des services aériens express actuellement peu satisfaisants, tablant ainsi sur 1.7 milliards d'USD supplémentaires qui en proviendraient au cours des quatre prochaines années.
Le quotidien Financial Times avait précédemment rapporté que l'Union Européenne aurait déclaré avoir des objections concernant le rachat pour 5.2 milliards d'euros du néerlandais TNT par son rival américain UPS.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.41%, le CAC 40 français de 0.25%, le DAX 30 allemand de 0.29% et le FTSE 100 britannique de 0.43%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.08%, et le Nikkei 225 japonais 1.98%.
La Réserve Fédérale de son côté comptait diffuser son livre beige dans l'après-midi.