Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en nette hausse ce lundi, l'humeur des investisseurs ayant été nettement améliorée par les négociations sur un accord fiscal européen destiné à lutter contre l'aggravation de la crise de la dette en zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 2.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.77% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.41%.
Le moral des observateurs avait été ragaillardi par la perspective d'un consensus possible concernant un pacte fiscal qui permettrait de juguler l'extension du problème du surendettement régional.
Celui-ci, rendrait en cas d'adoption la discipline budgétaire légalement contraignante et opposable par les autorités européennes, tout en ouvrant à la Banque Centrale Européenne davantage de possibilités d'entreprendre des achats d'obligations à une échelle bien plus large qu'actuellement.
Aux Etats-Unis, les ventes au détail ont bondi de 16%, les consommateurs prenant d'assaut les centres commerciaux et les boutiques en ligne au cours du week-end de thanksgiving, constituant un record de dépenses avec 52.4 milliards de dollars.
Le sidérurgisste Ternium a bondi de 3.59% après avoir fait savoir qu'il paierait 2.2 milliards d'USD pour une participation à son rival brésilien Usiminas provenant de deux de ses actionnaires minoritaires, et ce malgré les conditions difficiles auxquelles doivent faire face ses usines établies dans la plus grosse économie du continent.
La finance a aussi apporté sa pierre à l'édifice, suivant le chemin ascendant tracé par ses homologues d'Europe, Goldman Sachs engrangeant 0.98%, la Bank of America 0.58%, Citigroup et JP Morgan se coontentant respectivement de 0.51 et 0.35%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, la compagnie pétrolière américaine Anadarko Petroleum a vu ses parts régresser de 0.15% malgré l'annonce de la bonne nouvelle selon laquelle les champs gaziers qu'elle a découverts au large du Mozambique seraient en fait deux fois plus importants que précédemment estimé, et laissant ainsi à penser que l'Afrique de l'Est deviendra une centre majeur de production gazière.
Le reste du secteur énergétique faisait aussi la moue, Chevron s'effondrant de 1.56% et Exxon Mobil de 0.91%.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 s'envolant de 3.73%, le CAC 40 français de 3.76%, le DAX 30 allemand de 3.19% et le FTSE 100 britannique de 2.09%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait raflé 2.05%, et le Nikkei 225 japonais 1.6%.
L'agence de notation Moody's Investor Services avait quand à elle prévenu en début de matinée que l'escalade rapide des crises souveraine et financière de la zone euro menaçait les appréciations monétaires des obligations de tous ses membres.
Les Etats-Unis devaient quand à eux communiquer dans l'après-midi le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 2.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.77% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.41%.
Le moral des observateurs avait été ragaillardi par la perspective d'un consensus possible concernant un pacte fiscal qui permettrait de juguler l'extension du problème du surendettement régional.
Celui-ci, rendrait en cas d'adoption la discipline budgétaire légalement contraignante et opposable par les autorités européennes, tout en ouvrant à la Banque Centrale Européenne davantage de possibilités d'entreprendre des achats d'obligations à une échelle bien plus large qu'actuellement.
Aux Etats-Unis, les ventes au détail ont bondi de 16%, les consommateurs prenant d'assaut les centres commerciaux et les boutiques en ligne au cours du week-end de thanksgiving, constituant un record de dépenses avec 52.4 milliards de dollars.
Le sidérurgisste Ternium a bondi de 3.59% après avoir fait savoir qu'il paierait 2.2 milliards d'USD pour une participation à son rival brésilien Usiminas provenant de deux de ses actionnaires minoritaires, et ce malgré les conditions difficiles auxquelles doivent faire face ses usines établies dans la plus grosse économie du continent.
La finance a aussi apporté sa pierre à l'édifice, suivant le chemin ascendant tracé par ses homologues d'Europe, Goldman Sachs engrangeant 0.98%, la Bank of America 0.58%, Citigroup et JP Morgan se coontentant respectivement de 0.51 et 0.35%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, la compagnie pétrolière américaine Anadarko Petroleum a vu ses parts régresser de 0.15% malgré l'annonce de la bonne nouvelle selon laquelle les champs gaziers qu'elle a découverts au large du Mozambique seraient en fait deux fois plus importants que précédemment estimé, et laissant ainsi à penser que l'Afrique de l'Est deviendra une centre majeur de production gazière.
Le reste du secteur énergétique faisait aussi la moue, Chevron s'effondrant de 1.56% et Exxon Mobil de 0.91%.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, l'EURO STOXX 50 s'envolant de 3.73%, le CAC 40 français de 3.76%, le DAX 30 allemand de 3.19% et le FTSE 100 britannique de 2.09%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait raflé 2.05%, et le Nikkei 225 japonais 1.6%.
L'agence de notation Moody's Investor Services avait quand à elle prévenu en début de matinée que l'escalade rapide des crises souveraine et financière de la zone euro menaçait les appréciations monétaires des obligations de tous ses membres.
Les Etats-Unis devaient quand à eux communiquer dans l'après-midi le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.