Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une débandade ce jeudi après-midi, au lendemain de l'évocation par le chef de la banque centrale des Etats-Unis de la possibilité d'une réduction de ses apports de capitaux.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,68%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,82% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,84%.
Lors de son témoignage d'hier devant le comité économique conjoint, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet semé la confusion en rappelant qu'une réduction de la voilure de son programme d'achats "dès les prochaines prises de cap" en cas de poursuite de l'amélioration des résultats économiques était possible.
Il avait auparavant affirmé lors de son discours qu'un tour de vis précipité de la politique monétaire entraînerait des risques significatifs pour la relance économique, ce qui avait aucontraire rassuré et fait remonter les cours.
Le compte-rendu du conseil d'orientation de la Fed précisait le même jour qu'un "certain nombre" de ses membres étaient prêts à réduire les rachats d'obligations dès juin.
La finance se trouvait sur la brèche au vu des dificultés rencontrées sur le vieux continent, la Bank of America sombrant de 2,78% et JP Morgan de 1,83%.
L'informatique était aussi au premier plan après que l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard ait affirmé que ses revenus excluant les frais exceptionnels se situeraient entre 84 et 87 cents entre début mai et fin juillet, dépassant ainsi les espérances.
Cette bonne nouvelle lui permettait du coup d'engranger 11,63% en pré-ouverture.
Du côté de la grande distribution, lespécialiste des produits pour animaux PetSmart bondissait de 2,37% après la clôture, ayant prédit dans la soirée des rentrées annuelles supérieures aux prédictions faites en mars.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Bristol-Myers Squibb profitait d'une embellie de 0,32% avant le début des hostilités après qu'un article de Citigroup ait souligné l'ébullition du secteur de l'immunothérapie, au vu des résultats des tests cliniques obtenus par celui-ci et d'autres concurrents, comme le Roche Holding.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Gap, Salesforce.com, Williams-Sonoma, Zumiez, Pandora et Aeropostale, dont les résultats sur les trois premiers mois de l'année seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 2,31%, le CAC 40 français de 2,30%, le DAX 30 allemand de 2,64% et le FTSE 100 britannique de 1,61%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dégringolé de 2,54%, et le Nikkei 225 japonais de 7,32%.
Un rapport avait ainsi révélé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, donnant le pouls de l'activité industrielle, est ainsi passé des 50,4 définitifs d'avril vers 49,6, passant sous la barre des 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté présenter en fin de journée leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que le volume de leurs ventes de logements neufs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,68%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,82% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,84%.
Lors de son témoignage d'hier devant le comité économique conjoint, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet semé la confusion en rappelant qu'une réduction de la voilure de son programme d'achats "dès les prochaines prises de cap" en cas de poursuite de l'amélioration des résultats économiques était possible.
Il avait auparavant affirmé lors de son discours qu'un tour de vis précipité de la politique monétaire entraînerait des risques significatifs pour la relance économique, ce qui avait aucontraire rassuré et fait remonter les cours.
Le compte-rendu du conseil d'orientation de la Fed précisait le même jour qu'un "certain nombre" de ses membres étaient prêts à réduire les rachats d'obligations dès juin.
La finance se trouvait sur la brèche au vu des dificultés rencontrées sur le vieux continent, la Bank of America sombrant de 2,78% et JP Morgan de 1,83%.
L'informatique était aussi au premier plan après que l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard ait affirmé que ses revenus excluant les frais exceptionnels se situeraient entre 84 et 87 cents entre début mai et fin juillet, dépassant ainsi les espérances.
Cette bonne nouvelle lui permettait du coup d'engranger 11,63% en pré-ouverture.
Du côté de la grande distribution, lespécialiste des produits pour animaux PetSmart bondissait de 2,37% après la clôture, ayant prédit dans la soirée des rentrées annuelles supérieures aux prédictions faites en mars.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Bristol-Myers Squibb profitait d'une embellie de 0,32% avant le début des hostilités après qu'un article de Citigroup ait souligné l'ébullition du secteur de l'immunothérapie, au vu des résultats des tests cliniques obtenus par celui-ci et d'autres concurrents, comme le Roche Holding.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Gap, Salesforce.com, Williams-Sonoma, Zumiez, Pandora et Aeropostale, dont les résultats sur les trois premiers mois de l'année seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 2,31%, le CAC 40 français de 2,30%, le DAX 30 allemand de 2,64% et le FTSE 100 britannique de 1,61%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dégringolé de 2,54%, et le Nikkei 225 japonais de 7,32%.
Un rapport avait ainsi révélé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, donnant le pouls de l'activité industrielle, est ainsi passé des 50,4 définitifs d'avril vers 49,6, passant sous la barre des 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté présenter en fin de journée leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que le volume de leurs ventes de logements neufs.