Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sur la défensive ce mercredi après-midi, la nervosité étant de mise à l'approche d'une série de résultats économiques américains, les belles surprises récentes ayant alimenté les bruits peu crédibles selon lesquels la Réserve Fédérale pourait réduire la voilure de son programme d'accommodements.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,01%.
La popularité des valeurs des Etats-Unis continuait en effet à être affectée par les rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
Mais la zone euro demeurait un sujet d'inquiétude, après que les premières évaluations aient montré que son produit intérieur brut avait éprouvé un revers de 0,2% au premier trimestre, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,6% déplorés auparavant.
La sphère Internet était sur le devant de la scène, alors qu'il se disait que Google s'apprêtait à lancer un service de diffusion directe de musique dès cette semaine afin de concurrencer Spotify.
L'agence de presse Bloomberg précisait que l'Universal Music Group, Sony Music Entertainment et le Warner Music Group lui auraient accordé des licences d'utilisation de leurs catalogues.
Toujours du côté technologique, Sony semblait devoir une fois de plus faire les gros titres, après que l'investisseur milliardaire Daniel Loeb, l'ait exhorté à constituer une entité séparée à partir de sa lucrative branche divertissement.
Ses actions ont du coup plongé de 1,49% en pré-ouverture.
L'actualité était aussi à mettre au compte de Wal-Mart Stores, ayant déclaré ne pas vouloir "pour l'instant" accepter l'accord d'amélioration de la sécurité de ses suupermarchés du Bangladesh, notamment contre les incendies, pourtant encouragé par les groupes de surveillance des conditions de travail et accepté cette semaine par plusieurs de ses franchisés.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt positives, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,21%, le CAC 40 français de 0,17%, et le DAX 30 allemand de 0,08%, tandis que le FTSE 100 britannique tébuchait de 0,01%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,50%, et le Nikkei 225 japonais 2,29%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité dans le domaine secondaire de la région de New York.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,01%.
La popularité des valeurs des Etats-Unis continuait en effet à être affectée par les rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
Mais la zone euro demeurait un sujet d'inquiétude, après que les premières évaluations aient montré que son produit intérieur brut avait éprouvé un revers de 0,2% au premier trimestre, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,6% déplorés auparavant.
La sphère Internet était sur le devant de la scène, alors qu'il se disait que Google s'apprêtait à lancer un service de diffusion directe de musique dès cette semaine afin de concurrencer Spotify.
L'agence de presse Bloomberg précisait que l'Universal Music Group, Sony Music Entertainment et le Warner Music Group lui auraient accordé des licences d'utilisation de leurs catalogues.
Toujours du côté technologique, Sony semblait devoir une fois de plus faire les gros titres, après que l'investisseur milliardaire Daniel Loeb, l'ait exhorté à constituer une entité séparée à partir de sa lucrative branche divertissement.
Ses actions ont du coup plongé de 1,49% en pré-ouverture.
L'actualité était aussi à mettre au compte de Wal-Mart Stores, ayant déclaré ne pas vouloir "pour l'instant" accepter l'accord d'amélioration de la sécurité de ses suupermarchés du Bangladesh, notamment contre les incendies, pourtant encouragé par les groupes de surveillance des conditions de travail et accepté cette semaine par plusieurs de ses franchisés.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt positives, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,21%, le CAC 40 français de 0,17%, et le DAX 30 allemand de 0,08%, tandis que le FTSE 100 britannique tébuchait de 0,01%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,50%, et le Nikkei 225 japonais 2,29%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité dans le domaine secondaire de la région de New York.