Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mercredi, tous les yeux étant tournés vers la publication du procès-verbal de la dernière réunion de la Réserve Fédérale, dans l'ombre persistante de la crise de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.41%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
Le moral restait fragilisé après que la cour constitutionnelle allemande ait repoussé hier sa prise de décision concernant la compatibilité du Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional, et des modifications de la législation fiscale découlant de sa mise en place avec les lois nationales.
Sans l'appui germanique, le MES, qui devait être lancé le premier juillet, puis le 9, ne peut être mis en action.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, a pour sa part annoncé 65 milliards d'euros de mesures de rigueur en début de journée, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
Le secteur technologique était à l'honneur, Research in Motion, le fabricant du Blackberry, ayant procédé hier à l'élection de ses directeurs lors de son assemblée générale annuelle d'hier, plongeant de 2.33% à la pré-ouverture.
Le fournisseur de puces électroniques Applied Materials a toutefois limité les dégâts à 0.19% après la clôture, après avoir pourtant avoué s'attendre à des résultats annuels inférieurs aux estimations, ceux du trimestre se trouvant quand à eux dans le bas de la fourchette donnée auparavant.
Advanced Micro Devices Inc., second plus gros fabricant de microprocesseurs pour ordinateurs personnels, a toutefois grignoté 0.2% dans le même temps, après avoir dégringolé de 11% suite à l'aveu mardi d'une chute inattendue de ses ventes.
Du côté de la finance, HSBC Holdings a pris 0.62 avant l'ouverture, alors qu'il se disait d'après l'agence de presse Bloomberg que la banque était sur le point de présenter ses excuses le 17 juillet devant le sénat américain concernant le manque d'efficacité de ses contrôles anti-blanchiment.
Le plus gros tablissement financier d'Europe y comparaîtra en effet environ deux semaines après qu'une amende record ait été infligée à Barclays pour des manipulations des taux d'intérêt, Robert Diamond, son ancien directeur général, ayant témoigné de manière similaire au Royaume-Uni.
L'extracteur d'or Goldcorp était aussi attendu sur le devant de la scène, après avoir rabaissé ses objectifs de production pour l'année, invoquant une diminution des performances de ses mines de l'Ontario et du Mexique, subissant du coup un revers de 3.4% avant l'ouverture.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Marriott et Texas Instruments, dont les rentrées du premier trimestre devraient être révélées après la cloche de fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.43%, le CAC 40 français glissant de 0.22%, le DAX 30 allemand arrachant 0.59% et le FTSE 100 britannique demeurant stable.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait cédé 0.3%, et le Nikkei 225 japonais 0.2%.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté en fin de journée le solde de leur commerce extérieur, ainsi que l'inventaire de leurs réserves pétrolières, avant le compte-rendu de la réunion du conseil directeur de leur banque centrale s'étant déroulée en juin.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.41%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
Le moral restait fragilisé après que la cour constitutionnelle allemande ait repoussé hier sa prise de décision concernant la compatibilité du Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional, et des modifications de la législation fiscale découlant de sa mise en place avec les lois nationales.
Sans l'appui germanique, le MES, qui devait être lancé le premier juillet, puis le 9, ne peut être mis en action.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, a pour sa part annoncé 65 milliards d'euros de mesures de rigueur en début de journée, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
Le secteur technologique était à l'honneur, Research in Motion, le fabricant du Blackberry, ayant procédé hier à l'élection de ses directeurs lors de son assemblée générale annuelle d'hier, plongeant de 2.33% à la pré-ouverture.
Le fournisseur de puces électroniques Applied Materials a toutefois limité les dégâts à 0.19% après la clôture, après avoir pourtant avoué s'attendre à des résultats annuels inférieurs aux estimations, ceux du trimestre se trouvant quand à eux dans le bas de la fourchette donnée auparavant.
Advanced Micro Devices Inc., second plus gros fabricant de microprocesseurs pour ordinateurs personnels, a toutefois grignoté 0.2% dans le même temps, après avoir dégringolé de 11% suite à l'aveu mardi d'une chute inattendue de ses ventes.
Du côté de la finance, HSBC Holdings a pris 0.62 avant l'ouverture, alors qu'il se disait d'après l'agence de presse Bloomberg que la banque était sur le point de présenter ses excuses le 17 juillet devant le sénat américain concernant le manque d'efficacité de ses contrôles anti-blanchiment.
Le plus gros tablissement financier d'Europe y comparaîtra en effet environ deux semaines après qu'une amende record ait été infligée à Barclays pour des manipulations des taux d'intérêt, Robert Diamond, son ancien directeur général, ayant témoigné de manière similaire au Royaume-Uni.
L'extracteur d'or Goldcorp était aussi attendu sur le devant de la scène, après avoir rabaissé ses objectifs de production pour l'année, invoquant une diminution des performances de ses mines de l'Ontario et du Mexique, subissant du coup un revers de 3.4% avant l'ouverture.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Marriott et Texas Instruments, dont les rentrées du premier trimestre devraient être révélées après la cloche de fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.43%, le CAC 40 français glissant de 0.22%, le DAX 30 allemand arrachant 0.59% et le FTSE 100 britannique demeurant stable.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait cédé 0.3%, et le Nikkei 225 japonais 0.2%.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté en fin de journée le solde de leur commerce extérieur, ainsi que l'inventaire de leurs réserves pétrolières, avant le compte-rendu de la réunion du conseil directeur de leur banque centrale s'étant déroulée en juin.