Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture modérément optimiste ce jeudi, dans l'expectative des résultats économiques américains du jour, sur fond de craintes découlant de l'instabilité de la Grèce et de la possibilité de son départ de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.09% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.01% de recul.
Les spéculations sur les conséquences d'un éventuelun départ grec du bloc ayant adopté la monnaie unique allaient bon train à l'approche de nouvelles élections, prévues le mois prochain, qui pourraient donner le pouvoir aux partis opposés aux politiques ne visant que l'austérité.
La Banque Centrale Européenne avait d'autre part prévenu mercredi qu'elle avait placé un certain nombre de banques hellènes gravement en manque de fonds dans un programme d'urgence d'assistance à la recapitalisation.
Aux Etats-Unis, les membres du conseil de la Réserve Fédérale avaient déclaré d'après le compte-rendu de leur réunion publié hier être prêts à procéder à de nouveaux efforts de stimulation de l'économie américaine au cas où celle-ci verrait sa croissance hésiter, ou les menaces pesant sur elle augmenter.
La grande distribution était attendue sur le devant de la scène, après que Limited Brands, maison-mère de la chaîne de boutiques Victoria's Secret, ait annoncé des revenus trimestriels dépassant les espérances, d'effondrant toutefois de 3.61% sur la pré-ouverture en raison de prévisions décevantes pour le trimestre en cours.
AOL, un des piliers d'Internet, qui s'est longteps débattu dans une guerre à distance contre Starboard Value, devrait aussi se retrouver sous les feux de la rampe après avoir enjoint ses actionnaires à voter contre les nominés à son conseil d'administration proposé par le fonds d'investissement militant.
Pour reter dans le domaine technologique, Apple a glissé de 0.32% dans le même temps, les experts estimant que la compagnie a du mal à se libérer de sa dépendance envers son fournisseur de composants et rival Samsung Electronics, bien qu'il se dise qu'il ait diminué son utilisation de puces de mémoire qui en proviennent.
Parmi les entreprises faisant l'actualité, les éditeurs de jeux vidéo Activision Blizzard et sa némésis Electronic Arts ont trouvé un arrangement puor éviter le procès, après que le premier ait accusé deux de ses anciens cadres d'avoir violé des clauses de non-concurrence en développant des jeux pour le second.
La Banque Royale du Canada et le Crédit Suisse étaient quand à eux pressentis parmi les enchéreurs pour l'acquisition de la branche de gestion de capitaux non américains de la Bank of America, qui pourrait se monter à environ 2 milliards d'USD.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Johnson & Johnson's, dont il a été montré que le Zytiga, un médicament de nouvelle génération contre le cancer de la prostate, combiné à une thérapie hormonale avant une opération, indiquait pour la première fois sa capacité à éradiquer les tumeurs chez certains patients souffrant de formes malignes.
Une pilule expérimentale contre le cancer des poumons développée par Pfizer apportait pour sa part, d'après les résultats préliminaires d'une étude à moyen terme, de bons espoirs de ralentissement de l'aggravation de la maladie, amenant le géant pharmaceutique 0.4% plus haut après la fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.14%, le CAC 40 français de 0.78%, le DAX 30 allemand de 0.59% et le FTSE 100 britannique de 1.06%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait gagné 0.7%, et le Nikkei 225 japonais 0.8%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté rendre cet après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, puis un autre sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.09% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.01% de recul.
Les spéculations sur les conséquences d'un éventuelun départ grec du bloc ayant adopté la monnaie unique allaient bon train à l'approche de nouvelles élections, prévues le mois prochain, qui pourraient donner le pouvoir aux partis opposés aux politiques ne visant que l'austérité.
La Banque Centrale Européenne avait d'autre part prévenu mercredi qu'elle avait placé un certain nombre de banques hellènes gravement en manque de fonds dans un programme d'urgence d'assistance à la recapitalisation.
Aux Etats-Unis, les membres du conseil de la Réserve Fédérale avaient déclaré d'après le compte-rendu de leur réunion publié hier être prêts à procéder à de nouveaux efforts de stimulation de l'économie américaine au cas où celle-ci verrait sa croissance hésiter, ou les menaces pesant sur elle augmenter.
La grande distribution était attendue sur le devant de la scène, après que Limited Brands, maison-mère de la chaîne de boutiques Victoria's Secret, ait annoncé des revenus trimestriels dépassant les espérances, d'effondrant toutefois de 3.61% sur la pré-ouverture en raison de prévisions décevantes pour le trimestre en cours.
AOL, un des piliers d'Internet, qui s'est longteps débattu dans une guerre à distance contre Starboard Value, devrait aussi se retrouver sous les feux de la rampe après avoir enjoint ses actionnaires à voter contre les nominés à son conseil d'administration proposé par le fonds d'investissement militant.
Pour reter dans le domaine technologique, Apple a glissé de 0.32% dans le même temps, les experts estimant que la compagnie a du mal à se libérer de sa dépendance envers son fournisseur de composants et rival Samsung Electronics, bien qu'il se dise qu'il ait diminué son utilisation de puces de mémoire qui en proviennent.
Parmi les entreprises faisant l'actualité, les éditeurs de jeux vidéo Activision Blizzard et sa némésis Electronic Arts ont trouvé un arrangement puor éviter le procès, après que le premier ait accusé deux de ses anciens cadres d'avoir violé des clauses de non-concurrence en développant des jeux pour le second.
La Banque Royale du Canada et le Crédit Suisse étaient quand à eux pressentis parmi les enchéreurs pour l'acquisition de la branche de gestion de capitaux non américains de la Bank of America, qui pourrait se monter à environ 2 milliards d'USD.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Johnson & Johnson's, dont il a été montré que le Zytiga, un médicament de nouvelle génération contre le cancer de la prostate, combiné à une thérapie hormonale avant une opération, indiquait pour la première fois sa capacité à éradiquer les tumeurs chez certains patients souffrant de formes malignes.
Une pilule expérimentale contre le cancer des poumons développée par Pfizer apportait pour sa part, d'après les résultats préliminaires d'une étude à moyen terme, de bons espoirs de ralentissement de l'aggravation de la maladie, amenant le géant pharmaceutique 0.4% plus haut après la fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.14%, le CAC 40 français de 0.78%, le DAX 30 allemand de 0.59% et le FTSE 100 britannique de 1.06%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait gagné 0.7%, et le Nikkei 225 japonais 0.8%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté rendre cet après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, puis un autre sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.