Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture négative ce vendredi après-midi, la circonspection étant au goût du jour à l'approche des pourparlers cruciaux entre le président américain Barack Obama et les députés républicains destinés à résoudre les problèmes de fiscalité nationaux.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.17%.
L'attention demeure en effet focalisée sur la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent en effet que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
La nervosité restait aussi de mise suite à la révélation hier de résultats peu enthousiasmants de la part des Etats-Unis, ravivant les craintes concernant la vigueur de leur relance.
Internet était sur le devant de la scène après que le Wall Street Journal ait révélé que Google aurait été ces dernières semaines en négociations avec le diffuseur de télévision par satellite Dish Network afin de s'allier pour créer un nouveau réseau sans fil capable de rivaliser avec ceux de AT&T et Verizon VZ Wireless.
Le géant des moteurs de recherche laissait toutefois échapper 0.37% après la fermeture.
La technologie restait sous les feux de la rampe, le profits de Dell au troisième trimestre s'étant effondrés de 47%, en raison de l'amaigrissement des ventes d'ordinateurs de bureau, notamment auprès des grandess entreprises, et de la tendance à la nomadisation informatique, le faisant ainsi fondre de 2.51% en pré-ouverture.
Les magasins Sears Holding étaient aussi attendus en berne, après avoir déjà sombré de 7.32% à la suite des derniers échanges, malgré des pertes trimestrielles inférieures aux craintes, bien que la faible demande pour les produits électroniques grand public aient affecté le chiffre d'affaires de ses établissements.
Tout n'était cependant pas désespéré, Gap bondissant de 3.61% dans le même temps grâce à des bénéfices dépassant les attentes divulgués hier, apaisant l'angoisse d'un ralentissement avant les fêtes de fin d'année, et remontant leurs prévisions annuelles.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Hertz Global Holdings, raflant 2.39% après la clôture après que les autorités anti-monopoles l'aient autorisé à proposer 2.56 milliards pour l'acquisition d'un autre loueur de véhicules de moindre importance, le Dollar Thrifty Automotive Group.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.46%, le CAC 40 français de 0.22%, le DAX 30 allemand de 0.57% et le FTSE 100 britannique de 0.55%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait grignoté 0.11%, et le Nikkei 225 japonais empoché 2.2%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le taux d'utilisation des capacités et la production des industries, ainsi qu'une étude sur l'équilibre entre les achats de titres nationaux et ceux de l'étranger.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.17%.
L'attention demeure en effet focalisée sur la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent en effet que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
La nervosité restait aussi de mise suite à la révélation hier de résultats peu enthousiasmants de la part des Etats-Unis, ravivant les craintes concernant la vigueur de leur relance.
Internet était sur le devant de la scène après que le Wall Street Journal ait révélé que Google aurait été ces dernières semaines en négociations avec le diffuseur de télévision par satellite Dish Network afin de s'allier pour créer un nouveau réseau sans fil capable de rivaliser avec ceux de AT&T et Verizon VZ Wireless.
Le géant des moteurs de recherche laissait toutefois échapper 0.37% après la fermeture.
La technologie restait sous les feux de la rampe, le profits de Dell au troisième trimestre s'étant effondrés de 47%, en raison de l'amaigrissement des ventes d'ordinateurs de bureau, notamment auprès des grandess entreprises, et de la tendance à la nomadisation informatique, le faisant ainsi fondre de 2.51% en pré-ouverture.
Les magasins Sears Holding étaient aussi attendus en berne, après avoir déjà sombré de 7.32% à la suite des derniers échanges, malgré des pertes trimestrielles inférieures aux craintes, bien que la faible demande pour les produits électroniques grand public aient affecté le chiffre d'affaires de ses établissements.
Tout n'était cependant pas désespéré, Gap bondissant de 3.61% dans le même temps grâce à des bénéfices dépassant les attentes divulgués hier, apaisant l'angoisse d'un ralentissement avant les fêtes de fin d'année, et remontant leurs prévisions annuelles.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Hertz Global Holdings, raflant 2.39% après la clôture après que les autorités anti-monopoles l'aient autorisé à proposer 2.56 milliards pour l'acquisition d'un autre loueur de véhicules de moindre importance, le Dollar Thrifty Automotive Group.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.46%, le CAC 40 français de 0.22%, le DAX 30 allemand de 0.57% et le FTSE 100 britannique de 0.55%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait grignoté 0.11%, et le Nikkei 225 japonais empoché 2.2%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le taux d'utilisation des capacités et la production des industries, ainsi qu'une étude sur l'équilibre entre les achats de titres nationaux et ceux de l'étranger.