Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture à la baisse ce mardi, les observateurs attendant de connaître le volume des commandes passées auprès des usines et de lire le compte-rendu de la dernière réunion d'orientation de la Réserve Fédérale, sur fond de craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.27%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.09%.
L'optiisme était pourtant de mise après qu'il ait été montré lundi que le secteur secondaire américain avait connu en mars une expansion supérieure aux attentes.
Ce sentiment avait été renforcé par des chiffres officiels provenant de Chine et indiquant dimanche que la seconde économie mondiale avait vu son activité manufacturière s'envoler vers un pic des onze derniers mois.
L'angoisse venue d'Europe est toutefois revenue après qu'une étude émanant des autorités ait confirmé que l'économie du bloc euro avait reculé de 0.3% au cours des trois derniers mois de l'année 2011, conformément aux évaluations préliminaires, le produit intérieur brut annualisé plongeant de 0.7% pour la période considérée.
L'industrie pharmaceutique était sous les feux de la rampe, GlaxoSmithKline prenant 0.44% sur les transactions de pré-ouverture après avoir annoncé compter demander l'approbation de l'Albiglutide, son médicament destiné aux diabétiques à ne prendre qu'une fois par semaine, au vu des résultats de ses tests cliniques.
L'entreprise de décodage génétique Illumina a pour sa part déclaré hier que son conseil d'administration avait unanimement rejeté l'offre d'achat augmentée de Roche Holding pour un total de 6.7 milliards d'USD, déclarant qu'elle constituait une sous-évaluation énorme de sa valeur.
Avon Products a pour sa part bondi de 1.32% avant l'ouverture après que Coty ait révélé le même jour avoir proposé 10 milliards d'USD pour acquérir le fabricant de cosmétiques américain, mais que cette proposition avait été estimée trop basse et "opportuniste".
Le fournisseur de films par internet Netflix Inc. devrait également être en première ligne, après avoir plongé de 2.43% suite à l'abaissement de sa notation par Barclays.
Le secteur financier est également attendu au tournant, en raison des rumeurs de dégradation par Moody's d'établissements financiers américains, notamment Morgan Stanley, Citigroup et la Bank of America, ces deux derniers laissant respectivement échapper 0.43 et 0.31% avant le début de session.
L'agence de notation a en effet prévenu en février que Morgan Stanley pourrait dégringoler de trois crans, et que Citigroup et la Bank of America pourraient la rejoindre à Baa2, à seulement deux niveaux au-dessus des actifs indésirables.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.79%, le CAC 40 français de 0.67%, le DAX 30 allemand de 0.32% et le FTSE 100 britannique de 0.37%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.7%, et le Nikkei 225 japonais sombré d'un pourcentage identique.
Les autorités américaines devrait quand à elles divulguer cet après-midi leur mesure du volume des commandes passées auprès des usines du pays, tandis que leur Réserve Fédérale fera de même avec le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique de mars.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.27%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.09%.
L'optiisme était pourtant de mise après qu'il ait été montré lundi que le secteur secondaire américain avait connu en mars une expansion supérieure aux attentes.
Ce sentiment avait été renforcé par des chiffres officiels provenant de Chine et indiquant dimanche que la seconde économie mondiale avait vu son activité manufacturière s'envoler vers un pic des onze derniers mois.
L'angoisse venue d'Europe est toutefois revenue après qu'une étude émanant des autorités ait confirmé que l'économie du bloc euro avait reculé de 0.3% au cours des trois derniers mois de l'année 2011, conformément aux évaluations préliminaires, le produit intérieur brut annualisé plongeant de 0.7% pour la période considérée.
L'industrie pharmaceutique était sous les feux de la rampe, GlaxoSmithKline prenant 0.44% sur les transactions de pré-ouverture après avoir annoncé compter demander l'approbation de l'Albiglutide, son médicament destiné aux diabétiques à ne prendre qu'une fois par semaine, au vu des résultats de ses tests cliniques.
L'entreprise de décodage génétique Illumina a pour sa part déclaré hier que son conseil d'administration avait unanimement rejeté l'offre d'achat augmentée de Roche Holding pour un total de 6.7 milliards d'USD, déclarant qu'elle constituait une sous-évaluation énorme de sa valeur.
Avon Products a pour sa part bondi de 1.32% avant l'ouverture après que Coty ait révélé le même jour avoir proposé 10 milliards d'USD pour acquérir le fabricant de cosmétiques américain, mais que cette proposition avait été estimée trop basse et "opportuniste".
Le fournisseur de films par internet Netflix Inc. devrait également être en première ligne, après avoir plongé de 2.43% suite à l'abaissement de sa notation par Barclays.
Le secteur financier est également attendu au tournant, en raison des rumeurs de dégradation par Moody's d'établissements financiers américains, notamment Morgan Stanley, Citigroup et la Bank of America, ces deux derniers laissant respectivement échapper 0.43 et 0.31% avant le début de session.
L'agence de notation a en effet prévenu en février que Morgan Stanley pourrait dégringoler de trois crans, et que Citigroup et la Bank of America pourraient la rejoindre à Baa2, à seulement deux niveaux au-dessus des actifs indésirables.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.79%, le CAC 40 français de 0.67%, le DAX 30 allemand de 0.32% et le FTSE 100 britannique de 0.37%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.7%, et le Nikkei 225 japonais sombré d'un pourcentage identique.
Les autorités américaines devrait quand à elles divulguer cet après-midi leur mesure du volume des commandes passées auprès des usines du pays, tandis que leur Réserve Fédérale fera de même avec le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique de mars.