Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce lundi, reprenant leur souffle suite au rebond de la semaine passée, la nervosité étant de mise à l'orée de la réunion des ministres des finances de la zone euro centrée sur l'octroi de la bouée de sauvetage promise à la Grèce.
Le moral bénéficiait malgré tout de l'hypothèse que les consommateurs dépenseraient davantage au cours des fêtes de fin d'année aux Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.5%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
Les opérateurs préféraient rester sur la touche avant la réunion des membres de l'Eurogroupe d'aujourd'hui, axée sur le déblocage de la prochaine tranche d'aides destinées à Athènes.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré qu'un compromis pourrait être trouvé à cette occasion, tandis que Pierre Moscovici, chargé des caisses de l'état français, estimait en fin de semaine que le but était proche.
L'attention restait toutefois attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Les parlementaires doivent entamer à Washington une session de trois semaines après les congés dûs au récent pont.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Aucun résultat économique majeur n'est à attendre pour l'instant.
La grande distribution était à l'honneur, en raison des signes montrant une forte activité des consommateurs autour de la fête de Thannksgiving, une étude soulignant en effet que 247 millions de chalands avaient visité les magasins et les boutiques en ligne du pays entre jeudi et dimanche, un nombre record, supérieur de 9.2% à celui de l'année dernière.
Le lundi suivant, surnommé "Cyber Lundi", est aussi vital pour le commerce informatique.
Le revendeur de matériel électronique Best Buy a du coup gagné 1% en pré-ouverture, imité par les géants d'Internet Amazon et eBay avec 0.3% chacun.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, dans l'attente d'un accord concernant le paiement des fonds attendus par la Grèce.
L'EURO STOXX 50 chutait de 0.5%, le CAC 40 français de 0.7%, le DAX 30 allemand de 0.25% et le FTSE 100 britannique de 0.5%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.25%, alors que le Nikkei 225 japonais grignotait 0.25%.
Tokyo a bondi vers un sommet de sept mois en cours de session, encouragée par la faiblesse du yen, qui se maintenait aux abords d'un creux des huit passés face au dollar U.S. et des sept derniers par rapport à l'euro.
Le moral bénéficiait malgré tout de l'hypothèse que les consommateurs dépenseraient davantage au cours des fêtes de fin d'année aux Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.5%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
Les opérateurs préféraient rester sur la touche avant la réunion des membres de l'Eurogroupe d'aujourd'hui, axée sur le déblocage de la prochaine tranche d'aides destinées à Athènes.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait déclaré qu'un compromis pourrait être trouvé à cette occasion, tandis que Pierre Moscovici, chargé des caisses de l'état français, estimait en fin de semaine que le but était proche.
L'attention restait toutefois attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Les parlementaires doivent entamer à Washington une session de trois semaines après les congés dûs au récent pont.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Aucun résultat économique majeur n'est à attendre pour l'instant.
La grande distribution était à l'honneur, en raison des signes montrant une forte activité des consommateurs autour de la fête de Thannksgiving, une étude soulignant en effet que 247 millions de chalands avaient visité les magasins et les boutiques en ligne du pays entre jeudi et dimanche, un nombre record, supérieur de 9.2% à celui de l'année dernière.
Le lundi suivant, surnommé "Cyber Lundi", est aussi vital pour le commerce informatique.
Le revendeur de matériel électronique Best Buy a du coup gagné 1% en pré-ouverture, imité par les géants d'Internet Amazon et eBay avec 0.3% chacun.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, dans l'attente d'un accord concernant le paiement des fonds attendus par la Grèce.
L'EURO STOXX 50 chutait de 0.5%, le CAC 40 français de 0.7%, le DAX 30 allemand de 0.25% et le FTSE 100 britannique de 0.5%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.25%, alors que le Nikkei 225 japonais grignotait 0.25%.
Tokyo a bondi vers un sommet de sept mois en cours de session, encouragée par la faiblesse du yen, qui se maintenait aux abords d'un creux des huit passés face au dollar U.S. et des sept derniers par rapport à l'euro.