Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans poussée de fièvre ce mercredi, dans l'expectative des résultats du quatrième trimestre, tandis que les résultats peu encouragaents de la part de l'Allemagne ravivaient le spectre de la crise de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.01% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.04%.
L'atmosphère s'est en effet assombrie après qu'il ait été révélé que la production industrielle germanique n'avait frémi que de 0.2% en novembre, au lieu des 1% espérés.
L'autorité monétaire européenne ne semblait quand à elle pas devoir modifier son taux directeur lors de son conseil d'orientation de demain, mais certains estiment possible qu'elle évoque la possibilité de le faire en cours d'année.
La nervosité restait aussi largement palpable sur fond de tractations politiques visant à définir de nouvelles coupes budgétaires et à relever la limite d'endettement maximal des Etats-Unis.
Alcoa, plus gros fournisseur d'aluminium américain, bondissait de 2.64% en pré-ouverture, après avoir donné hier le coup d'envoi de la saison des proclamations en revendiquant des bénéfices importants pour les trois derniers mois de l'année, estimant que la demande pour le métal devrait augmenter de 7% en 2013, au lieu des 6% de 2012.
La technologie était aussi à l'honneur, Microsoft prenant 0.38% avant le lancement des hostilités après qu'il ait été rapporté que 60 millions de licences avaient été accordées pour son système d'exploitation Windows 8 au cours des dix semaines suivant son lancement.
Apple grignotait 0.23% dans le même temps, après que la Wall Street Journal ait affirmé que la firme à la pomme étudiait la possibilité d'un iPhone bas de gamme.
la finance n'était pas non plus à négliger, Goldman Sachs et Morgan Stanley semblant faire partie d'un groupe de banques désireuses de se mettre d'accord sur un montant de 1.5 milliards d'USD destiné échapper aux poursuites lancées par les autorités fédérales suite à des réclamations de saisies douteuses, le premier s'élevant de 0.3% après la clôture, et le second de 0.41%.
Les assurances étaient aussi sous les feux de l'actualité, l'American International Group arrachant 0.2% après les derniers échanges après avoir déclaré hier envisager sa participation à un procès arguant du fait que les termes du plan de sauvetage étaient injustes, s'attirant les foudres des législateurs.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt en forme, l'EURO STOXX 50 frémissant de 0.08%, le CAC 40 français de à;à(%, le DAX 30 allemand de 0.04% et le FTSE 100 britannique de 0.38%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait pris 0.46%, et le Nikkei 225 japonais 0.67%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur inventaire des réserves pétrolières.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.01% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.04%.
L'atmosphère s'est en effet assombrie après qu'il ait été révélé que la production industrielle germanique n'avait frémi que de 0.2% en novembre, au lieu des 1% espérés.
L'autorité monétaire européenne ne semblait quand à elle pas devoir modifier son taux directeur lors de son conseil d'orientation de demain, mais certains estiment possible qu'elle évoque la possibilité de le faire en cours d'année.
La nervosité restait aussi largement palpable sur fond de tractations politiques visant à définir de nouvelles coupes budgétaires et à relever la limite d'endettement maximal des Etats-Unis.
Alcoa, plus gros fournisseur d'aluminium américain, bondissait de 2.64% en pré-ouverture, après avoir donné hier le coup d'envoi de la saison des proclamations en revendiquant des bénéfices importants pour les trois derniers mois de l'année, estimant que la demande pour le métal devrait augmenter de 7% en 2013, au lieu des 6% de 2012.
La technologie était aussi à l'honneur, Microsoft prenant 0.38% avant le lancement des hostilités après qu'il ait été rapporté que 60 millions de licences avaient été accordées pour son système d'exploitation Windows 8 au cours des dix semaines suivant son lancement.
Apple grignotait 0.23% dans le même temps, après que la Wall Street Journal ait affirmé que la firme à la pomme étudiait la possibilité d'un iPhone bas de gamme.
la finance n'était pas non plus à négliger, Goldman Sachs et Morgan Stanley semblant faire partie d'un groupe de banques désireuses de se mettre d'accord sur un montant de 1.5 milliards d'USD destiné échapper aux poursuites lancées par les autorités fédérales suite à des réclamations de saisies douteuses, le premier s'élevant de 0.3% après la clôture, et le second de 0.41%.
Les assurances étaient aussi sous les feux de l'actualité, l'American International Group arrachant 0.2% après les derniers échanges après avoir déclaré hier envisager sa participation à un procès arguant du fait que les termes du plan de sauvetage étaient injustes, s'attirant les foudres des législateurs.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt en forme, l'EURO STOXX 50 frémissant de 0.08%, le CAC 40 français de à;à(%, le DAX 30 allemand de 0.04% et le FTSE 100 britannique de 0.38%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait pris 0.46%, et le Nikkei 225 japonais 0.67%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur inventaire des réserves pétrolières.