Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en retrait ce lundi, le moral ayant fléchi après que les élus américains aient échoué en fin de semaine à éviter une première série de coupes drastiques dans les budgets.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.39% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
La prudence était à l'ordre du jour après que 85 milliards de "mises sous séquestre" budgétaires aient débuté vendredi, les parlementaires des Etats-Unis n'ayant pas pu dégager de consensus sur les robinets à reserrer et les réformes des impôts à mettre en place pour juguler le déficit budgétaire national.
Le président Barack Obama s'est du coup déclaré prêt dimanche à un compromis avec ses adversaires républicains, en limitant les prestations sociales comme le programme Medicare.
La technologie était à l'honneur, après que Sony ait annoncé son intention de conquérir la troisième place du marché mondial des intelliphones derrière Apple et Samsung, qu'il devra disputer aux chinois Huawei Technology et ZTE.
La firme à la pomme a du coup trébuché de 0.11% en pré-ouverture.
Le Wall Street Journal a quand à lui rapporté que Pratt & Whitney, fournisseur des réacteurs des chasseurs F-35 rencontrant actuellement des problèmes de fiabilité, et faisant partie d'United technologies, avait découvert un mécanisme de test frauduleux de pièces de moteurs mis en place par une autre branche du conglomérat.
La finance n'était pas non plus à négliger, Goldman Sachs et Citigroup ayant renouvelé les avertissements envers leurs actionnaires à propos des piratages informatiques, alors que le gouvernement poussait les banques et ses propres adinistrations à renforcer leurs défenses sur ce front.
Dans le secteur énergétique, ConocoPhillips poids lourd des hydrocarbures soucieux de revendre ses participations dans les sables bitumeux canadiens, estimait que les mesures prises par les autorités d'Ottawa pour limiter les investissements étrangers dans l'exploitation des ressources nationales avaient rebuté certains acheteurs.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.45%, le CAC 40 français de 0.23%, le DAX 30 allemand de 0.56% et le FTSE 100 britannique de 0.49%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong dérapait de 1.5%, mais le Nikkei 225 japonais engrangeait 0.4%.
La nervosité était palpable après que la Chine ait annoncé des mesures de durcissement de ses conditions immobilières, afin de limiter les coûts des logements et la bulle touchant le secteur.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.39% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
La prudence était à l'ordre du jour après que 85 milliards de "mises sous séquestre" budgétaires aient débuté vendredi, les parlementaires des Etats-Unis n'ayant pas pu dégager de consensus sur les robinets à reserrer et les réformes des impôts à mettre en place pour juguler le déficit budgétaire national.
Le président Barack Obama s'est du coup déclaré prêt dimanche à un compromis avec ses adversaires républicains, en limitant les prestations sociales comme le programme Medicare.
La technologie était à l'honneur, après que Sony ait annoncé son intention de conquérir la troisième place du marché mondial des intelliphones derrière Apple et Samsung, qu'il devra disputer aux chinois Huawei Technology et ZTE.
La firme à la pomme a du coup trébuché de 0.11% en pré-ouverture.
Le Wall Street Journal a quand à lui rapporté que Pratt & Whitney, fournisseur des réacteurs des chasseurs F-35 rencontrant actuellement des problèmes de fiabilité, et faisant partie d'United technologies, avait découvert un mécanisme de test frauduleux de pièces de moteurs mis en place par une autre branche du conglomérat.
La finance n'était pas non plus à négliger, Goldman Sachs et Citigroup ayant renouvelé les avertissements envers leurs actionnaires à propos des piratages informatiques, alors que le gouvernement poussait les banques et ses propres adinistrations à renforcer leurs défenses sur ce front.
Dans le secteur énergétique, ConocoPhillips poids lourd des hydrocarbures soucieux de revendre ses participations dans les sables bitumeux canadiens, estimait que les mesures prises par les autorités d'Ottawa pour limiter les investissements étrangers dans l'exploitation des ressources nationales avaient rebuté certains acheteurs.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.45%, le CAC 40 français de 0.23%, le DAX 30 allemand de 0.56% et le FTSE 100 britannique de 0.49%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong dérapait de 1.5%, mais le Nikkei 225 japonais engrangeait 0.4%.
La nervosité était palpable après que la Chine ait annoncé des mesures de durcissement de ses conditions immobilières, afin de limiter les coûts des logements et la bulle touchant le secteur.