Investing.com - Les options sur les actions américaines campaient sur leurs positiions ce vendredi, dans l'expectative de la diffusion aujourd'hui des chiffres de l'emploi américain, le moral demeurant cependant sapé par le spectre de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.02%, celles sur le S&P 500 tablant sur une amélioration de 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 également.
L'ambiance s'est en effet assombrie après qu'il ait été montré que l'indicateur espagnol des directions d'achats manufacturiers avait subi en octobre une déconvenue supérieure aux craintes, plongeant de 44.6 à 43.5.
Les experts redoutaient déjà de le voir sombrer à 44.
Son équivalent italien est quand à lui passé de 45.7 à 45.5 dans le même temps, alors qu'un sursaut à 45.9 était espéré.
La circonspection était toujours à l'ordre du jour, en raison des incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Internet était à l'honneur pour la seconde jounée consécutive, le réseau social professionnel LinkedIn Corp ayant dépassé ses objectifs de rentrées et de bénéfices, grâce à l'augmentation de ses tarifs publicitaires et à un chiffre d'affaires de sa branche recrutement proche d'avoir doublé.
Ces belles performances lui ont ainsi permis d'engranger 9.42% en pré-ouverture.
Yelp, le site web permettant à ses utilisateurs de noter toutes sortes d'entreprises, a pour sa part réalisé des ventes conformes aux estimations des analystes, en raison de son expansion à l'étranger, gagnant 1.42% avant les premières transactions.
Starbucks était aussi sous les feux de la rampe après avoir revu ses prédictions de profits pour l'année fiscale à la hausse, surpassant les projections sur son marché américain, le plus important, retrouvant du coup l'optimisme qui a fait défaut au secteur ces derniers mois, et raflant 7.25% avant le lancement des échanges.
Du côté des matières premières, Newmont Mining a dérapé de 1.35% après la clôture, suite à l'aveu de revenus trimestriels décevantsn découlant qu'une forte chute de la production et d'une explosion des frais de son énorme mine de cuivre et d'or de Batu Hijau, en Indonésie.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'empire médiatique McGraw-Hill, Chevron, et Hess Corp du côté des hydrocarbures et le tailleur Ralph Lauren dont les proclamations de résultats devraient intervenir en fin de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles légèrement à la baisse, l'EURO STOXX 50 trébuchant de 0.07%, le CAC 40 français de 0.16%, le DAX 30 allemand de 0.03% et le FTSE 100 britannique de 0.08%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.33%, et le Nikkei 225 japonais de 1.17%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport gouvernemental très attendu portant sur leur masse salariale non agricole, ainsi qu'avec leur taux des demandeurs d'emploi, le niveau de leurs revenus moyens, et enfin le volume des commandes passées auprès des usines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.02%, celles sur le S&P 500 tablant sur une amélioration de 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 également.
L'ambiance s'est en effet assombrie après qu'il ait été montré que l'indicateur espagnol des directions d'achats manufacturiers avait subi en octobre une déconvenue supérieure aux craintes, plongeant de 44.6 à 43.5.
Les experts redoutaient déjà de le voir sombrer à 44.
Son équivalent italien est quand à lui passé de 45.7 à 45.5 dans le même temps, alors qu'un sursaut à 45.9 était espéré.
La circonspection était toujours à l'ordre du jour, en raison des incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Internet était à l'honneur pour la seconde jounée consécutive, le réseau social professionnel LinkedIn Corp ayant dépassé ses objectifs de rentrées et de bénéfices, grâce à l'augmentation de ses tarifs publicitaires et à un chiffre d'affaires de sa branche recrutement proche d'avoir doublé.
Ces belles performances lui ont ainsi permis d'engranger 9.42% en pré-ouverture.
Yelp, le site web permettant à ses utilisateurs de noter toutes sortes d'entreprises, a pour sa part réalisé des ventes conformes aux estimations des analystes, en raison de son expansion à l'étranger, gagnant 1.42% avant les premières transactions.
Starbucks était aussi sous les feux de la rampe après avoir revu ses prédictions de profits pour l'année fiscale à la hausse, surpassant les projections sur son marché américain, le plus important, retrouvant du coup l'optimisme qui a fait défaut au secteur ces derniers mois, et raflant 7.25% avant le lancement des échanges.
Du côté des matières premières, Newmont Mining a dérapé de 1.35% après la clôture, suite à l'aveu de revenus trimestriels décevantsn découlant qu'une forte chute de la production et d'une explosion des frais de son énorme mine de cuivre et d'or de Batu Hijau, en Indonésie.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'empire médiatique McGraw-Hill, Chevron, et Hess Corp du côté des hydrocarbures et le tailleur Ralph Lauren dont les proclamations de résultats devraient intervenir en fin de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles légèrement à la baisse, l'EURO STOXX 50 trébuchant de 0.07%, le CAC 40 français de 0.16%, le DAX 30 allemand de 0.03% et le FTSE 100 britannique de 0.08%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.33%, et le Nikkei 225 japonais de 1.17%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport gouvernemental très attendu portant sur leur masse salariale non agricole, ainsi qu'avec leur taux des demandeurs d'emploi, le niveau de leurs revenus moyens, et enfin le volume des commandes passées auprès des usines.