Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture modérément pessimiste ce vendredi, la tension étant palpable dans l'expectative du rapport crucial sur le marché du travail américain, après que l'ambiance ait été assombrie par de nouveaux nuages venus d'Europe.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Un vent de frilosité s'est en effet mis à souffler hier après que le chef de la BCE ait déclaré que celle-ci craignait de voir l'économie de la zone euro subir un revers se situant entre 0.4 et 0.6% cette année, et de 0.3 à 0.9% pour la prochaine, avec un retour en croissance retardé jusqu'en 2014 avec 0.2 à 2.2%.
Le moral a aussi subi un coup dur après que la Bundesbank ait réduit ce matin ses projections d'expansion économique allemande pour 2013 depuis les 1.6% prédits en juin vers 0.4%, ajoutant qu'elle se limiterait à 0.7% en 2012 au lieu des 1% préalablement avancés.
Les négociations entre les élus américaines destinées à contourner le problème du mur fiscal restaient aussi parmi les sujets d'inquiétude.
L'industrie pharmaceutique était en première ligne, après qu'Amarin Corporation ait déclaré avoir levé 100 millions d'USD de financements sans participation au capital, qui lui permettront de mettre en place un service des ventes chargé d'écouler son traitement cardiaque Vascepa, tout en décevant les investisseurs espérant des ventes ou une alliance, lui faisant subir une hémorragie de 17.66% en pré-ouverture.
La technologie était aussi sur le devant de la scène, l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard ayant vu d'après l'agence de presse Bloomberg sa valorisation plonger plus bas que les 31 milliards d'USD dépensés au cours de ses cinq dernières années passées à phagocyter.
Dans la sphère d'Internet, Netflix, et notamment son directeur général Reed Hastings ayant avoué que les autorités boursières américaines pourraient en faire les objets d'une plainte au civil en raison d'un message émis en juillet sur Facebook ayant déclenché sa plus forte remontée en près de six semaines.
Le distributeur de vidéos en ligne a du coup dérapé de 1.23% après la fermeture.
Parmis les entreprises ayant proclamé leurs résultats, Smith & Wesson Holding Corp s'élevait de 2.86% dans le même temps, dépassé par le GEO Group avec 6.45% ayant annoncé la distribution de dividendes exceptionnels.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.40%, le CAC 40 français de 0.26%, le DAX 30 allemand de 0.18% et le FTSE 100 britannique de 0.15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong cédait 0.26%, et le Nikkei 225 japonais 0.19%.
Les Etats-Unis comptaient enfin de leur côté conclure la semaine avec leurs informations officielles sur l'évolution de la masse salariale hors agriculture, ainsi que la proportion générale des demandeurs d'emploi, tandis que l'université du Michigan diffusera son évaluation préliminaire du moral des consommateurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Un vent de frilosité s'est en effet mis à souffler hier après que le chef de la BCE ait déclaré que celle-ci craignait de voir l'économie de la zone euro subir un revers se situant entre 0.4 et 0.6% cette année, et de 0.3 à 0.9% pour la prochaine, avec un retour en croissance retardé jusqu'en 2014 avec 0.2 à 2.2%.
Le moral a aussi subi un coup dur après que la Bundesbank ait réduit ce matin ses projections d'expansion économique allemande pour 2013 depuis les 1.6% prédits en juin vers 0.4%, ajoutant qu'elle se limiterait à 0.7% en 2012 au lieu des 1% préalablement avancés.
Les négociations entre les élus américaines destinées à contourner le problème du mur fiscal restaient aussi parmi les sujets d'inquiétude.
L'industrie pharmaceutique était en première ligne, après qu'Amarin Corporation ait déclaré avoir levé 100 millions d'USD de financements sans participation au capital, qui lui permettront de mettre en place un service des ventes chargé d'écouler son traitement cardiaque Vascepa, tout en décevant les investisseurs espérant des ventes ou une alliance, lui faisant subir une hémorragie de 17.66% en pré-ouverture.
La technologie était aussi sur le devant de la scène, l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard ayant vu d'après l'agence de presse Bloomberg sa valorisation plonger plus bas que les 31 milliards d'USD dépensés au cours de ses cinq dernières années passées à phagocyter.
Dans la sphère d'Internet, Netflix, et notamment son directeur général Reed Hastings ayant avoué que les autorités boursières américaines pourraient en faire les objets d'une plainte au civil en raison d'un message émis en juillet sur Facebook ayant déclenché sa plus forte remontée en près de six semaines.
Le distributeur de vidéos en ligne a du coup dérapé de 1.23% après la fermeture.
Parmis les entreprises ayant proclamé leurs résultats, Smith & Wesson Holding Corp s'élevait de 2.86% dans le même temps, dépassé par le GEO Group avec 6.45% ayant annoncé la distribution de dividendes exceptionnels.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.40%, le CAC 40 français de 0.26%, le DAX 30 allemand de 0.18% et le FTSE 100 britannique de 0.15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong cédait 0.26%, et le Nikkei 225 japonais 0.19%.
Les Etats-Unis comptaient enfin de leur côté conclure la semaine avec leurs informations officielles sur l'évolution de la masse salariale hors agriculture, ainsi que la proportion générale des demandeurs d'emploi, tandis que l'université du Michigan diffusera son évaluation préliminaire du moral des consommateurs.