Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans grandes variations ce mardi après-midi, la confiance se trouvant mise à mal par les craintes au sujet de la croissance mondiale, tous les yeux se tournant vers Alcoa, ouvrant après la clôture le bal des publications de résultats trimestriels attendues cette semaine.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un repli de 0.08%.
Le moral est en effet retombé après que le Fonds Monétaire International ait rabaissé ses prédictions d'expansion pour l'année, avertissant qu'un échec des décideurs européens et américains dans la lutte contre leurs problèmes actuels pourrait encore ralentir la relance.
Il estime désormais que l'économie planétaire devrait connaître une expansion de 3.3% en 2012, sa performance la plus faible depuis la récession de 2009, et de 3.6% en 2013, au lieu des 3.5 et 3.9% respectivement espérés en juillet.
La prudence demeurait de mise en raison des incertitudes persistantes au sujet de l'éventuel recours de l'Espagne à une bouée de sauvetage complète, les chargés des caisses de la zone euro ayant déclaré hier que Madrid n'avait pas encore besoin d'aide extérieure.
Du côté de la technologie, Intel était sous les feux de la rampe après que Bernstein en ait rabaissé l'appréciation depuis "conforme au marché" vers "décevant", se justifiant en précisant se baser sur les tendances à long terme et non sur les trois mois à venir, le faisant du coup glisser de 0.89% après les derniers échanges.
Le géant des ordinateurs qu'est IBM a arraché 0.01% après qu'AT&T ait déclaré vouloir s'y joindre afin de chercher à conquérirer une plus grosse part des 14 milliards d'USD du marché des services informatiques à distance.
Le secteur énergétique n'était pas en reste, alors qu'il se disait que Marathon Petroleum s'apprêterait à acquérir pour 2.5 milliards d'USD la raffinerie de Texas City appartenant à BP et sur laquelle un accident industriel mortel a eu lieu, afin de lui permettre d'accéder au rang de quatrième raffineur américain, et à une part potentielle plus lucrative des exportations.
Il ne fallait pas non plus oublier le chimiste TPC Group, déclarant hier avoir reçu une offre de rachat à hauteur de 721 millions d'USD de la part d'Innospec, dépassant ainsi les deux émises en août par deux gestionnaires de capitaux.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le fabricant d'équipements médicaux Edwards Lifesciences, dont les prévisions de rentrées ont été revues à la baisse pour le troisième trimestre, les ventes de son système exclusif de remplacement des valvules cardiaques qui étaient supposées le tirer vers le haut ayant été inférieures aux espérances, lui faisant suubir un effondrement de 15.79% après la clôture des transactions.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt moroses, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.12%, le CAC 40 français arracahnt cependant 0.15%, tandis que le DAX 30 allemand cédait 0.4% et le FTSE 100 britannique 0.21%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait encaissé 0.54%, et le Nikkei 225 japonais 1.06%.
La chancelière allemande Angela Merkel devait quand à elle se rendre aujourd'hui à Athènes afin de rencontrer les dirigeants politiques locaux, tandis que les ministres des finances du bloc euro tenaient pour leur part leur seconde journée de négociations à Bruxelles.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un repli de 0.08%.
Le moral est en effet retombé après que le Fonds Monétaire International ait rabaissé ses prédictions d'expansion pour l'année, avertissant qu'un échec des décideurs européens et américains dans la lutte contre leurs problèmes actuels pourrait encore ralentir la relance.
Il estime désormais que l'économie planétaire devrait connaître une expansion de 3.3% en 2012, sa performance la plus faible depuis la récession de 2009, et de 3.6% en 2013, au lieu des 3.5 et 3.9% respectivement espérés en juillet.
La prudence demeurait de mise en raison des incertitudes persistantes au sujet de l'éventuel recours de l'Espagne à une bouée de sauvetage complète, les chargés des caisses de la zone euro ayant déclaré hier que Madrid n'avait pas encore besoin d'aide extérieure.
Du côté de la technologie, Intel était sous les feux de la rampe après que Bernstein en ait rabaissé l'appréciation depuis "conforme au marché" vers "décevant", se justifiant en précisant se baser sur les tendances à long terme et non sur les trois mois à venir, le faisant du coup glisser de 0.89% après les derniers échanges.
Le géant des ordinateurs qu'est IBM a arraché 0.01% après qu'AT&T ait déclaré vouloir s'y joindre afin de chercher à conquérirer une plus grosse part des 14 milliards d'USD du marché des services informatiques à distance.
Le secteur énergétique n'était pas en reste, alors qu'il se disait que Marathon Petroleum s'apprêterait à acquérir pour 2.5 milliards d'USD la raffinerie de Texas City appartenant à BP et sur laquelle un accident industriel mortel a eu lieu, afin de lui permettre d'accéder au rang de quatrième raffineur américain, et à une part potentielle plus lucrative des exportations.
Il ne fallait pas non plus oublier le chimiste TPC Group, déclarant hier avoir reçu une offre de rachat à hauteur de 721 millions d'USD de la part d'Innospec, dépassant ainsi les deux émises en août par deux gestionnaires de capitaux.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le fabricant d'équipements médicaux Edwards Lifesciences, dont les prévisions de rentrées ont été revues à la baisse pour le troisième trimestre, les ventes de son système exclusif de remplacement des valvules cardiaques qui étaient supposées le tirer vers le haut ayant été inférieures aux espérances, lui faisant suubir un effondrement de 15.79% après la clôture des transactions.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt moroses, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.12%, le CAC 40 français arracahnt cependant 0.15%, tandis que le DAX 30 allemand cédait 0.4% et le FTSE 100 britannique 0.21%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait encaissé 0.54%, et le Nikkei 225 japonais 1.06%.
La chancelière allemande Angela Merkel devait quand à elle se rendre aujourd'hui à Athènes afin de rencontrer les dirigeants politiques locaux, tandis que les ministres des finances du bloc euro tenaient pour leur part leur seconde journée de négociations à Bruxelles.