Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce mercredi, la prudence restant de mise à la veille de la réunion très attendue de la Banque Centrale Européenne, tandis que les médiocres résultats américains d'hier jetaient une ombre sur les perspectives de croissance.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
L'attention était monopolisée par le conseil d'orientation que la BCE tiendra jeudi, en quête d'éventuels détails d'un plan d'acquisition de dettes, destiné à alléger le fardeau des membres surendettés du bloc euro.
Mais l'ambiance se trouvait toutefois friabilisée par l'angoisse d'une déception.
Il avait d'autre part été signalé hier que l'activité manufacturière des Etats-Unis avait subi en août son troisième mois de recul d'affilée, ravivant ainsi les craintes au sujet de la relance nationale.
La technologie était sous les feux de la rampe, le fabricant de téléphones finlandais Nokia devant tenir demain une présentation conjointe avec Microsoft au cours de laquelle il devrait lancer un ou plusieurs intelliphones utilisant le système d'exploitation Windows Phone 8.
apple a pour sa part grignoté 0.14% en pré-ouverture, après que le FBI ait déclaré mardi qu'il n'y avait "pas de preuve" confirmant que le groupe de pirates Anonymous aurait infiltré l'ordinateuur portable d'un de ses agents, et accédant à une fichier contenant les numéros de série de plus de 12 millions de produits de la firme à la pomme.
Facebook, géant des réseaux sociaux, était aussi attendu sur le devant de la scène, après avoir promis qu'il ne vendrait pas d'actions pour payer 2 milliards d'USD d'impôts, tandis que son directeur général Mark Zuckerberg assurait ne vouloir vendre aucune de ses parts avant au moins un an.
La compagnie a aussi ajouté que qu'elle permettrait à ses employés de liquider leurs avoirs en avance sur la date prévue, dans l'espoir d'apaiser les angoisses des investisseurs et de son personnel face à la dégringolade de leur valeur.
Les constructeurs automobiles étaient également attendus au tournant, les ventes mensuelles de véhicules ayant bondi de 20% en août, constituant leur plus forte progression pour cette période de l'année depuis la récession de 2007 à 2009.
General Motors a d'autre part fait savoir que la production de sa première voiture élaborée en Chine à destination du marché indien avait débuté cette semaine.
Le mastodonte pharmaceutique Pfizer n'était pas à négliger, après que les autorités sanitaires américaines aient accordé hier leur feu vert à des pilules servant à traiter une forme rare de leucémie.
Il étaitt aussi question de l'empire médiatique News Corp de Rupert Murdoch, suite à la nomination au sein de son conseil d'administration d'Alvaro Uribe, ex-président de la Colombie, et d'Elaine L. Chao, anciennement secrétaire d'état au travail des Etats-Unis.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 s'élevant de 0.33%, le CAC 40 français de 0.14%, et le DAX 30 allemand de 0.66%, tandis que le FTSE 100 britannique laissait échapper 0.21%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 1.47%, et le Nikkei 225 japonais de 1.09%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté faire connaître cet après-midi les variations de leur productivité non-agricole.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
L'attention était monopolisée par le conseil d'orientation que la BCE tiendra jeudi, en quête d'éventuels détails d'un plan d'acquisition de dettes, destiné à alléger le fardeau des membres surendettés du bloc euro.
Mais l'ambiance se trouvait toutefois friabilisée par l'angoisse d'une déception.
Il avait d'autre part été signalé hier que l'activité manufacturière des Etats-Unis avait subi en août son troisième mois de recul d'affilée, ravivant ainsi les craintes au sujet de la relance nationale.
La technologie était sous les feux de la rampe, le fabricant de téléphones finlandais Nokia devant tenir demain une présentation conjointe avec Microsoft au cours de laquelle il devrait lancer un ou plusieurs intelliphones utilisant le système d'exploitation Windows Phone 8.
apple a pour sa part grignoté 0.14% en pré-ouverture, après que le FBI ait déclaré mardi qu'il n'y avait "pas de preuve" confirmant que le groupe de pirates Anonymous aurait infiltré l'ordinateuur portable d'un de ses agents, et accédant à une fichier contenant les numéros de série de plus de 12 millions de produits de la firme à la pomme.
Facebook, géant des réseaux sociaux, était aussi attendu sur le devant de la scène, après avoir promis qu'il ne vendrait pas d'actions pour payer 2 milliards d'USD d'impôts, tandis que son directeur général Mark Zuckerberg assurait ne vouloir vendre aucune de ses parts avant au moins un an.
La compagnie a aussi ajouté que qu'elle permettrait à ses employés de liquider leurs avoirs en avance sur la date prévue, dans l'espoir d'apaiser les angoisses des investisseurs et de son personnel face à la dégringolade de leur valeur.
Les constructeurs automobiles étaient également attendus au tournant, les ventes mensuelles de véhicules ayant bondi de 20% en août, constituant leur plus forte progression pour cette période de l'année depuis la récession de 2007 à 2009.
General Motors a d'autre part fait savoir que la production de sa première voiture élaborée en Chine à destination du marché indien avait débuté cette semaine.
Le mastodonte pharmaceutique Pfizer n'était pas à négliger, après que les autorités sanitaires américaines aient accordé hier leur feu vert à des pilules servant à traiter une forme rare de leucémie.
Il étaitt aussi question de l'empire médiatique News Corp de Rupert Murdoch, suite à la nomination au sein de son conseil d'administration d'Alvaro Uribe, ex-président de la Colombie, et d'Elaine L. Chao, anciennement secrétaire d'état au travail des Etats-Unis.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 s'élevant de 0.33%, le CAC 40 français de 0.14%, et le DAX 30 allemand de 0.66%, tandis que le FTSE 100 britannique laissait échapper 0.21%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 1.47%, et le Nikkei 225 japonais de 1.09%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté faire connaître cet après-midi les variations de leur productivité non-agricole.