Investing.com - Les places d'Asie étaient partagées ce mardi matin, les japonaises subissant un coup d'arrêt après leur envolée d'hier suite à la fin de la dégringolade du yen contre le billet vert.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien arrachait 0.4%, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.8% et le Nikkei 225 japonais de 0.3%, alors qu'il avait bondi hier de 2.1%.
Sydney s'est donc rapprochée d'un pic de quatre ans et demi, portée par une vague de belles performances.
Cette semaine devrait notamment voir la proclamation de celles du mastodonte minier BHP Billiton, de l'extracteur pétrolier Woodside Petroleum et de l'assureur QBE Insurance Group.
Southern Cross Media empochait pour sa part 10% grâce à de résultats supérieurs aux attentes.
Hong Kong se trouvait par contre sur la sellette en raison des pertes subies en Chine continentale.
La finance et les assurances étaient parmi les lanternes rouges, les opérateurs encaissant les plus-values découlant des ascensions récentes.
Le China Life Insurance Group sombrait du coup de 3.5%, le Ping An Insurance Group de 2%, l'Industrial and Commercial Bank of China et la Bank of China en queue de peloton avec respectivement 1.6% et 1.9%.
Tokyo était quand à elle le théâtre de débouclages modérés, la devise locale s'étant raffermie par rapport au dollar U.S. après que le ministre des finances Taro Aso ait déclaré que le gouvernement ne comptait pas acquérir d'obligations étrangères, ni modifier les lois de gestion de la Banque du Japon.
Le premier ministre sur le retour Shinzo Abe avait auparavant affirmé que si cette dernière échouait à atteindre l'inflation visée, il pourrait envisager de faire évoluer la législation la régissant.
L'attention se concentrait toujours sur la nomination de son prochain gouverneur, après que Masaaki Shirakawa, occupant actuellement le poste, ait déclaré en début de mois compter le quitter le 19 mars, soit trois semaines avant la fin de son mandat.
L'USD/JPY est redescendu à 93.45, s'éloignant encore de son sommet de 33 mois établi la semaine passée à 94.45, la perte de vitesse de l'unité monétaire de l'archipel renforçant les perspectives de revenus à l'étranger pour les grands noms de l'exportation.
La nouvelle a poussé les investisseurs à tirer profit des résultats recemment brillants des bons élèves, l'indice vedette nippon ayant grimpé de près de 31% depuis la mi-novembre, à partir du moment où le M. Abe, alors seulement candidat, commençait à exhorter la banque centrale nationale à prendre des mesures plus agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient du coup portées en tête de peloton, car cette éventualité pouvait les rendre plus compétitives à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota ont ainsi ralenti de 0.75 et 1%, et le fournisseur de robots industriels Fanuc de 4.1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui peu enthousiasmant, la prudence restait de mise, les yeux sur les élections législatives italiennes à l'horizon en fin de mois, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire ne freine l'avancée des réformes économiques.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% et sur le FTSE 100 britannique à 0.25%.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait quand à lui dévoiler aujourd'hui son baromètre surveillé de près du moral économique allemand.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien arrachait 0.4%, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.8% et le Nikkei 225 japonais de 0.3%, alors qu'il avait bondi hier de 2.1%.
Sydney s'est donc rapprochée d'un pic de quatre ans et demi, portée par une vague de belles performances.
Cette semaine devrait notamment voir la proclamation de celles du mastodonte minier BHP Billiton, de l'extracteur pétrolier Woodside Petroleum et de l'assureur QBE Insurance Group.
Southern Cross Media empochait pour sa part 10% grâce à de résultats supérieurs aux attentes.
Hong Kong se trouvait par contre sur la sellette en raison des pertes subies en Chine continentale.
La finance et les assurances étaient parmi les lanternes rouges, les opérateurs encaissant les plus-values découlant des ascensions récentes.
Le China Life Insurance Group sombrait du coup de 3.5%, le Ping An Insurance Group de 2%, l'Industrial and Commercial Bank of China et la Bank of China en queue de peloton avec respectivement 1.6% et 1.9%.
Tokyo était quand à elle le théâtre de débouclages modérés, la devise locale s'étant raffermie par rapport au dollar U.S. après que le ministre des finances Taro Aso ait déclaré que le gouvernement ne comptait pas acquérir d'obligations étrangères, ni modifier les lois de gestion de la Banque du Japon.
Le premier ministre sur le retour Shinzo Abe avait auparavant affirmé que si cette dernière échouait à atteindre l'inflation visée, il pourrait envisager de faire évoluer la législation la régissant.
L'attention se concentrait toujours sur la nomination de son prochain gouverneur, après que Masaaki Shirakawa, occupant actuellement le poste, ait déclaré en début de mois compter le quitter le 19 mars, soit trois semaines avant la fin de son mandat.
L'USD/JPY est redescendu à 93.45, s'éloignant encore de son sommet de 33 mois établi la semaine passée à 94.45, la perte de vitesse de l'unité monétaire de l'archipel renforçant les perspectives de revenus à l'étranger pour les grands noms de l'exportation.
La nouvelle a poussé les investisseurs à tirer profit des résultats recemment brillants des bons élèves, l'indice vedette nippon ayant grimpé de près de 31% depuis la mi-novembre, à partir du moment où le M. Abe, alors seulement candidat, commençait à exhorter la banque centrale nationale à prendre des mesures plus agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient du coup portées en tête de peloton, car cette éventualité pouvait les rendre plus compétitives à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota ont ainsi ralenti de 0.75 et 1%, et le fournisseur de robots industriels Fanuc de 4.1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui peu enthousiasmant, la prudence restait de mise, les yeux sur les élections législatives italiennes à l'horizon en fin de mois, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire ne freine l'avancée des réformes économiques.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0.4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% et sur le FTSE 100 britannique à 0.25%.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait quand à lui dévoiler aujourd'hui son baromètre surveillé de près du moral économique allemand.