Dans des volumes très importants, l’indice CAC 40 a dessiné un doji, figure d’hésitation. Les acheteurs et les vendeurs n’ont pas pu se départager avant le week-end des élections présidentielles. Les élections anglaises et américaines de 2016 ont montré qu’il fallait se méfier des réactions immédiates, qui peuvent être peu durables.