L’Allemagne confirme son redressement. Faux-pas américain, même pas mal…
En ce début d’année, les statistiques publiées de part et d‘autre de l’Atlantique laissent songeur, chacun pouvant voir midi à sa porte selon qu’il soit optimiste ou pessimiste. Mais force est de constater que les investisseurs ont choisi leur camp. Aux Etats-Unis, out d’abord, le PIB du quatrième trimestre est resté quasiment stable, se contractant de seulement 0,1% (t/t annualisé). Pour certains, cette contraction, provoquée par la chute des dépenses publiques, pourrait annoncer ce qui risque de se passer après le 1 ermars… N’en déplaise aux Cassandre, les marchés sont restés insensibles à cette éventualité. Ils voient le verre à moitié plein. Hors dépenses publiques et ajustement des stocks, le PIB a progressé de 2,3 %, signe du dynamisme du secteur privé américain.
Dans la zone euro, la bonne nouvelle vient d’Outre-rhin. L’Allemagne donne des signes tangibles de redémarrage, comme l’a confirmé l’indice PMI du climat des affaires pour le mois de janvier, révisé fortement en hausse. Or une reprise marquée et mieux équilibrée de l’économie allemande bénéficiera à l’ensemble de l’Union monétaire, en particulier aux pays périphériques qui ont fait d’importants gains de compétitivité au cours des derniers mois…
En ce début d’année, les statistiques publiées de part et d‘autre de l’Atlantique laissent songeur, chacun pouvant voir midi à sa porte selon qu’il soit optimiste ou pessimiste. Mais force est de constater que les investisseurs ont choisi leur camp. Aux Etats-Unis, out d’abord, le PIB du quatrième trimestre est resté quasiment stable, se contractant de seulement 0,1% (t/t annualisé). Pour certains, cette contraction, provoquée par la chute des dépenses publiques, pourrait annoncer ce qui risque de se passer après le 1 ermars… N’en déplaise aux Cassandre, les marchés sont restés insensibles à cette éventualité. Ils voient le verre à moitié plein. Hors dépenses publiques et ajustement des stocks, le PIB a progressé de 2,3 %, signe du dynamisme du secteur privé américain.
Dans la zone euro, la bonne nouvelle vient d’Outre-rhin. L’Allemagne donne des signes tangibles de redémarrage, comme l’a confirmé l’indice PMI du climat des affaires pour le mois de janvier, révisé fortement en hausse. Or une reprise marquée et mieux équilibrée de l’économie allemande bénéficiera à l’ensemble de l’Union monétaire, en particulier aux pays périphériques qui ont fait d’importants gains de compétitivité au cours des derniers mois…
Caroline NEWHOUSE