Pour ce 30 décembre, plusieurs rappels sont à mentionner. Avant toute chose, rappelons que l’indice allemand ne cotera plus à partir de 14h00. Demain, notre actif de prédilection pour les séances de Live Trading sera proposé jusqu’à 20h30, à l’instar de nombreux autres indices boursiers mondiaux. Et ce, pour des raisons évidentes en cette période de trêve boursière, pour le réveillon. Pour autant, nous maintiendrons les niveaux recommandés hier sur le DAX30. Décryptage.
Même trame technique qu’hier sur le DAX, jusqu’à 14h00
Ainsi, nous conserverons (jusqu’à 14h00, donc) notre point de confluence mis à jour en Live Trading hier sur le niveau de 10 780. Ce dernier a d’ailleurs particulièrement bien joué son rôle ce matin sur une attaque baissière entre 9h40 et 9h45. Notre préférence sera clairement de scalper l’indice allemand entre ce niveau et les 50,0% de Retracement de Fibonacci (de moyen terme) fixé sur 10 865. Exactement comme lors de notre introduction du Live Trading d’hier après-midi. Et c’est d’ailleurs ce même scénario qui semble à nouveau se confirmer en ce début de matinée.
Ni le contexte ni les faibles volumes appliqués ne nous laissent présager une poursuite « violente » (tout est relatif…) et haussière sur l’indice allemand, d’ici 14h00. Notre attention se portera cet après-midi sur la gestion des ordres placés sur le Vix, l’Or, le Nickel et le Café. Et pour cause, seules les ventes dans l’immobilier américain pour le mois de novembre (diffusées à 16h00) et les publications liées aux stocks de pétrole US (16h30) pourront éventuellement réveiller les rares opérateurs boursiers majeurs devant leurs écrans. Rien d’incroyable en cette période de calme traditionnel.
In fine, l’heure des bilans approche. Et pour notre part, nous clôturerons les derniers ordres potentiellement ouverts demain après-midi : lors du dernier Live Trading de l’année, de sorte à extraire un résultat annuel. D’un point de vue purement contextuel, nous risquons néanmoins d’intégrer de plus en plus un dossier émergent dans notre trame boursière ; celui de la crise politique naissante en Espagne. Si pour le moment ce vecteur de déstabilisation ne se concentre que sur l’IBEX35 (l’indice espagnol), nous craignons qu’il ne se répande aux autres valeurs européennes début 2016, compte tenu des difficultés de Rajoy à unifier une majorité parlementaire. C’est à envisager : prudence est mère de sûreté.