Vous pourriez craindre que l’élection de Donald Trump ne débouche sur une hausse de taux qui dissuaderait les entreprises de poursuivre leurs programmes de rachats d’actions, vu le coût financier induit par de l’argent devenu trop cher, mais Goldman Sachs n’est pas de cet avis.
La baisse des taxes perçues lors du rapatriement des bénéfices accumulés à l’étranger promises par le nouveau Président va engendre un afflux de 200 milliards de dollars vers les Etats-Unis dès 2017. Et comme il n’y a pas d’opportunités d’investissements rentables aux yeux des très grosses entreprises (Apple (NASDAQ:AAPL), Google (NASDAQ:GOOGL), IBM (NYSE:IBM), Facebook (NASDAQ:FB), etc.) pas moins de 150 milliards $ (sur 200) serviront aux rachats d’actions. What else ?