Investing.com - Le dollar U.S. se rétractait encore face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, dans le sillage des mesures quelque peu décevantes annoncées hier par la Banque du Japon, tandis que le moral restait soutenu par l'apaisement des angoissees découlant de la crise de la zone euro grâce aux bonnes nouvelles allemandes.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant son homologue japonais, l'USD/JPY plongeant de 0.24% pour sombrer à 88.49.
La banque centrale nippone a en effet remonté ses objectifs d'inflation à 2% et annoncé des achats d'actifs illimités débutant l'année prochaine, suite à la pression politique exercée par le gouvernement de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, désireux de combattre la déflation.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0.15% pour monter à 1.3342.
La monnaie unique restait populaire après qu'il ait été montré hier que le baromètre de l'humeur économique allemande établi par le centre de recherches économiques ZEW se soit élevé ce mois-ci à son plus haut niveau depuis mai 2012, grâce à l'apaisement des craintes découlant du problème de la dette régionale.
Le billet vert a aussi cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.18% pour se hisser à 1.5867, et quittant son piédestal de près de cinq mois après qu'une étude officielle ait montré pour décembre une chute du nombre de bénéficiaires des allocations de recherche de travail à son plus bas niveau depuis juin 2011.
Le compte-rendu du plus récent conseil de direction de la Banque d'Angleterre a quand à lui montré que certains de ses membres estimaient confortée leur opinion selon laquelle de nouveaux assouplissements seraient superflus.
Mais l'unité monétaire britannique restait sur la sellette après que le premier ministre britannique David Cameron se soit engagé à proposer à ses compatriotes un référendum proposant de rester ou non membres de l'Union Européenne d'ici la fin 2017, à la condition d'être réélu en 2015.
Il a fait de son mieux pour résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF se rétractant de 0.1% pour reprendre pied à 0.9285.
La devise helvète n'a guère fait cas de l'indice du moral économique de la confédération établi par le centre de recherches économiques ZEW, remontant à -6.9 pour décembre, sa valeur la moins basse en huit mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour aller vers 0.9916, l'AUD/USD trébuchant de 0.13% pour glisser à 1.0552 et le NZD/USD engrangeant 0.2% pour culminer à 0.8426.
La devise de l'Australie s'est retrouvée sur la sellette après qu'une étude officielle ait signalé que les prix à la consommation nationaux avaient augmenté de 0.2% au quatrième trimestre, au lieu des 0.4% anticipés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.17% pour se situer à 79.82.
Les chefs des députés républicaine américaine ont de leur côté laissé entendre qu'ils accepteraient aujourd'hui le vote d'une extension de près de quatre mois, afin de laisser au congrès davantage de temps pour adopter le budget fédéral.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant son homologue japonais, l'USD/JPY plongeant de 0.24% pour sombrer à 88.49.
La banque centrale nippone a en effet remonté ses objectifs d'inflation à 2% et annoncé des achats d'actifs illimités débutant l'année prochaine, suite à la pression politique exercée par le gouvernement de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, désireux de combattre la déflation.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0.15% pour monter à 1.3342.
La monnaie unique restait populaire après qu'il ait été montré hier que le baromètre de l'humeur économique allemande établi par le centre de recherches économiques ZEW se soit élevé ce mois-ci à son plus haut niveau depuis mai 2012, grâce à l'apaisement des craintes découlant du problème de la dette régionale.
Le billet vert a aussi cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.18% pour se hisser à 1.5867, et quittant son piédestal de près de cinq mois après qu'une étude officielle ait montré pour décembre une chute du nombre de bénéficiaires des allocations de recherche de travail à son plus bas niveau depuis juin 2011.
Le compte-rendu du plus récent conseil de direction de la Banque d'Angleterre a quand à lui montré que certains de ses membres estimaient confortée leur opinion selon laquelle de nouveaux assouplissements seraient superflus.
Mais l'unité monétaire britannique restait sur la sellette après que le premier ministre britannique David Cameron se soit engagé à proposer à ses compatriotes un référendum proposant de rester ou non membres de l'Union Européenne d'ici la fin 2017, à la condition d'être réélu en 2015.
Il a fait de son mieux pour résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF se rétractant de 0.1% pour reprendre pied à 0.9285.
La devise helvète n'a guère fait cas de l'indice du moral économique de la confédération établi par le centre de recherches économiques ZEW, remontant à -6.9 pour décembre, sa valeur la moins basse en huit mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour aller vers 0.9916, l'AUD/USD trébuchant de 0.13% pour glisser à 1.0552 et le NZD/USD engrangeant 0.2% pour culminer à 0.8426.
La devise de l'Australie s'est retrouvée sur la sellette après qu'une étude officielle ait signalé que les prix à la consommation nationaux avaient augmenté de 0.2% au quatrième trimestre, au lieu des 0.4% anticipés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.17% pour se situer à 79.82.
Les chefs des députés républicaine américaine ont de leur côté laissé entendre qu'ils accepteraient aujourd'hui le vote d'une extension de près de quatre mois, afin de laisser au congrès davantage de temps pour adopter le budget fédéral.