Mardi, Keefe, Bruyette & Woods a maintenu une position positive sur Citigroup Inc. (NYSE:C), réitérant une note de Surperformance et un objectif de cours de 71,00$ pour l'action de la banque. Cette approbation intervient à la lumière des récents développements impliquant le vice-président de la Réserve fédérale chargé de la supervision, Michael Barr, qui a annoncé sa démission effective le 28 février 2025. Le Conseil de la Réserve fédérale a également indiqué qu'il ne s'engagerait pas dans une réglementation majeure jusqu'à la confirmation du successeur de Barr.
Selon Keefe, Bruyette & Woods, cette période intérimaire sans changements réglementaires significatifs présente une opportunité favorable pour les institutions bancaires, en particulier les banques d'importance systémique mondiale (G-SIB). Le cabinet prévoit que le dispositif final de Bâle III - un ensemble d'exigences de fonds propres proposées pour les banques - pourrait être révisé pour être moins strict et plus neutre en termes de capital. Un tel scénario devrait bénéficier considérablement à Citigroup en raison de sa position actuelle en capital et de sa valorisation inférieure à la valeur comptable tangible.
Dans le rapport récemment publié intitulé "Où allons-nous à partir d'ici ?", Keefe, Bruyette & Woods a souligné les avantages potentiels pour les G-SIB si les réglementations finales de Bâle III sont ajustées pour être plus souples en matière d'exigences de fonds propres. Le cabinet prévoit qu'un résultat plus neutre en termes de capital pourrait entraîner une augmentation d'environ 6% du bénéfice par action (BPA) pour l'ensemble du groupe G-SIB. Citigroup, en particulier, pourrait voir une augmentation de 18% de son BPA, compte tenu de son exposition à ces changements réglementaires potentiels.
L'analyse de Keefe, Bruyette & Woods suggère que Citigroup est bien positionnée pour capitaliser sur les développements réglementaires anticipés. L'action de la banque est prête à bénéficier d'un changement potentiellement favorable des politiques d'exigences de fonds propres, ce qui pourrait se traduire par une performance financière plus solide et une valeur accrue pour les actionnaires.
Dans d'autres actualités récentes, Citigroup fait des progrès significatifs dans plusieurs domaines. L'institution financière est en bonne voie pour atteindre la fourchette supérieure de ses projections de revenus pour 2024, entre 80 et 81 milliards de dollars. De plus, Citigroup s'est fixé un objectif de 1 milliard de dollars de rachats d'actions pour le trimestre en cours, dont la moitié a déjà été réalisée. Le directeur financier de la société, Mark Mason, a assuré aux investisseurs que ni les rachats ni les dividendes n'ont été affectés par les récentes pénalités réglementaires.
Des analystes de BofA Securities, Keefe, Bruyette & Woods, Wells Fargo et Piper Sandler ont tous exprimé leur confiance dans l'avenir de Citigroup, avec des objectifs de cours allant de 85$ à 110$. Ces révisions à la hausse reflètent le bilan solide de Citigroup, le potentiel de croissance de la valeur comptable et une réorganisation importante de la direction, décrite comme le changement le plus substantiel en 50 ans.
De plus, Citigroup a obtenu une prolongation exclusive de 10 ans avec American Airlines pour émettre le portefeuille de cartes co-marquées AAdvantage® à partir de 2026. Ce partenariat vise à améliorer les programmes de fidélité et de récompenses pour les membres AAdvantage® et les titulaires de cartes Citi. Sous la direction de la PDG Jane Fraser et du directeur financier Mark Mason, Citigroup continue de donner la priorité à la rentabilité et à la reconstruction de la confiance des investisseurs.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.