Investing.com - Les bourses européennes ont prolongé leur offensive ce jeudi après-midi, après que des statistiques aient laissé à penser que la débâcle industrielle régionale était en train de se résorber.
L'attention se concentrait désormais sur la Banque Centrale Européenne, qui s'apprêtait à annoncer son taux directeur, lequel sera suivi de la traditionnelle conférence de presse de son président Mario Draghi.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,8%, le CAC 40 français de 0,5%, et le DAX 30 allemand de 1,2%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut depuis 48,8 vers 50,3 en juillet, son plus haut niveau en deux ans, après avoir été évalué à 50,1.
Celui de l'Allemagne passait sur une période identique de 48,6 à 50,7, sa valeur la plus élevée en 18 mois, alors qu'il avait été estimé préalablement à 50,3.
Le moral est redevenu plus positif après que la banque centrale des Etats-Unis n'ait donné aucun signe d'une réduction prochaine de ses coups de pouce.
La Réserve Fédérale a en effet achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Le goût pour les investissements audacieuses était déjà revenu à l'aube grâce à une bonne surprise venue de Chine.
L'indice des directeurs d'achats manufacturiers établi les autorités chinoises était ainsi remonté sans crier gare depuis 50,1 vers 50,3 sur une période identique à celle de ses homologues européens.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement.
Sur le front de la finance, le français Société Générale encaissant près de 9% après avoir vu ses bénéfices faire mieux que doubler au second trimestre.
Ses collèguens ont profité de l'embellie, son compatriote BNP Paribas lui emboîtant le pas avec 1,4%, l'allemand Deutsche Bank lui emboîtant le pas avec 1,1% et l'italien Unicredit avec 2,2%.
Parmi les bonnes nouvelles, on pouvait aussi noter à Francfort les magasins Metro, bondissant de 7,5%, après avoir revendiqué 276 millions d'euros de bénéfices pour le second trimestre, dépassant ainsi les 269,2 millions anticipés.
A Paris, Sanofi faisait moins bien puor le compte de l'industrie pharmaceutique, dégringolant de 5,7% après avoir dû revoir à la baisse ses projections de profit pour l'année en cours.
A Londres, le FTSE 100 oscillait par contre entre légers gains et pertes minimes, l'autorité monétaire britannique ayant estimé urgent d'attendre.
La Banque d'Angleterre a en effet maintenu son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et le volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP, lors de sa seconde réunion sous l'égide de Mark Carney.
Cette décision avait été prise après que Markit ait fait savoir que son baromètre de l'activité manufacturière britannique avait bondi de 52,9 vers 54,6 pour juillet, alors qu'un faux pas vers 52,8 était craint.
Le Lloyds Banking Group encaissait 8,3% grâce à son premier semestre profitable en trois ans.
Mais tout n'était cependant pas rose, le poids lourd des hydrocarbures Royal Dutch Shell coulant de 5% après avoir déploré une baisse de ses profits supérieure aux craintes entre début mai et fin juin.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes après que la banque centrale des Etats-Unis ait entretenu le suspense sur le momennt où elle réduirait la voilure de ses injections de liquidités.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,7%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,7% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,7% également.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
Leurs chiffres de l'emploi de demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.
L'attention se concentrait désormais sur la Banque Centrale Européenne, qui s'apprêtait à annoncer son taux directeur, lequel sera suivi de la traditionnelle conférence de presse de son président Mario Draghi.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,8%, le CAC 40 français de 0,5%, et le DAX 30 allemand de 1,2%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut depuis 48,8 vers 50,3 en juillet, son plus haut niveau en deux ans, après avoir été évalué à 50,1.
Celui de l'Allemagne passait sur une période identique de 48,6 à 50,7, sa valeur la plus élevée en 18 mois, alors qu'il avait été estimé préalablement à 50,3.
Le moral est redevenu plus positif après que la banque centrale des Etats-Unis n'ait donné aucun signe d'une réduction prochaine de ses coups de pouce.
La Réserve Fédérale a en effet achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Le goût pour les investissements audacieuses était déjà revenu à l'aube grâce à une bonne surprise venue de Chine.
L'indice des directeurs d'achats manufacturiers établi les autorités chinoises était ainsi remonté sans crier gare depuis 50,1 vers 50,3 sur une période identique à celle de ses homologues européens.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement.
Sur le front de la finance, le français Société Générale encaissant près de 9% après avoir vu ses bénéfices faire mieux que doubler au second trimestre.
Ses collèguens ont profité de l'embellie, son compatriote BNP Paribas lui emboîtant le pas avec 1,4%, l'allemand Deutsche Bank lui emboîtant le pas avec 1,1% et l'italien Unicredit avec 2,2%.
Parmi les bonnes nouvelles, on pouvait aussi noter à Francfort les magasins Metro, bondissant de 7,5%, après avoir revendiqué 276 millions d'euros de bénéfices pour le second trimestre, dépassant ainsi les 269,2 millions anticipés.
A Paris, Sanofi faisait moins bien puor le compte de l'industrie pharmaceutique, dégringolant de 5,7% après avoir dû revoir à la baisse ses projections de profit pour l'année en cours.
A Londres, le FTSE 100 oscillait par contre entre légers gains et pertes minimes, l'autorité monétaire britannique ayant estimé urgent d'attendre.
La Banque d'Angleterre a en effet maintenu son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et le volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP, lors de sa seconde réunion sous l'égide de Mark Carney.
Cette décision avait été prise après que Markit ait fait savoir que son baromètre de l'activité manufacturière britannique avait bondi de 52,9 vers 54,6 pour juillet, alors qu'un faux pas vers 52,8 était craint.
Le Lloyds Banking Group encaissait 8,3% grâce à son premier semestre profitable en trois ans.
Mais tout n'était cependant pas rose, le poids lourd des hydrocarbures Royal Dutch Shell coulant de 5% après avoir déploré une baisse de ses profits supérieure aux craintes entre début mai et fin juin.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes après que la banque centrale des Etats-Unis ait entretenu le suspense sur le momennt où elle réduirait la voilure de ses injections de liquidités.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,7%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,7% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,7% également.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
Leurs chiffres de l'emploi de demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.