Au terme du premier fixing de ce mercredi sur le marché de Londres, l'once d'or cotait 1.212,5 dollars (- 3,55 dollars par rapport au fixing d'hier après-midi) et 1.134,8 euros (- 0,3 euro).
La valeur refuge conserve donc l'essentiel des gains qu'elle a accumulé depuis le début de l'année, soit pour l'heure un peu plus d'une cinquantaine de dollars l'once.
Principal catalyseur de cette hausse : les doutes qui ont saisi les opérateurs de marché ces dernières semaines après le Trumptimisme dont ils ont fait preuve après l'élection américaine du 8 novembre dernier. Le futur 45e président des Etats-Unis, qui sera investi vendredi, sera-t-il vraiment en mesure d'appliquer les mesures pro-croissance plébiscitées par les marchés durant les deux derniers mois de l'année 2016 ?
De plus, le discours prononcé hier par le Premier ministre britannique Theresa May, s'il a le mérite de clarifier sa position, présage d'un Brexit plutôt difficile. La banque privée Berenberg estime d'ailleurs que la sortie du pays de l'UE en réduira croissance potentielle de 2,2% l'an avant le référendum, à 1,8%.
Même si, à très court terme, le rendement du T-Note américain à dix ans s'est tendu de quelques points depuis hier, à 2,35% ce midi, ce qui peut expliquer que l'or patine ce midi.
Rien à signaler pour ce qui est de l'encours de métal jaune formant la contrepartie de l'ETF aurifère américain SPDR Gold Share, stable hier soir à 908 tonnes.
EG
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La valeur refuge conserve donc l'essentiel des gains qu'elle a accumulé depuis le début de l'année, soit pour l'heure un peu plus d'une cinquantaine de dollars l'once.
Principal catalyseur de cette hausse : les doutes qui ont saisi les opérateurs de marché ces dernières semaines après le Trumptimisme dont ils ont fait preuve après l'élection américaine du 8 novembre dernier. Le futur 45e président des Etats-Unis, qui sera investi vendredi, sera-t-il vraiment en mesure d'appliquer les mesures pro-croissance plébiscitées par les marchés durant les deux derniers mois de l'année 2016 ?
De plus, le discours prononcé hier par le Premier ministre britannique Theresa May, s'il a le mérite de clarifier sa position, présage d'un Brexit plutôt difficile. La banque privée Berenberg estime d'ailleurs que la sortie du pays de l'UE en réduira croissance potentielle de 2,2% l'an avant le référendum, à 1,8%.
Même si, à très court terme, le rendement du T-Note américain à dix ans s'est tendu de quelques points depuis hier, à 2,35% ce midi, ce qui peut expliquer que l'or patine ce midi.
Rien à signaler pour ce qui est de l'encours de métal jaune formant la contrepartie de l'ETF aurifère américain SPDR Gold Share, stable hier soir à 908 tonnes.
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