Investing.com - L'euro a pris le dessus contre le dollar U.S. ce jeudi, l'atmosphère s'étant ragaillardie après que la Banque Centrale Européenne ait laissé entendre que davantage d'achats d'obligations pourraient avoir lieu, mais son avancée demeurait limitée par le manque de soutien aux dirigeants espagnols concernant la mise en place des nouvelles mesures d'austérité.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3139 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3136, prenant 0.21%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3065, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3186, son plafond du 16 mars.
Les craintes découlant de la crise de la dette en zone euro se sont légèrement apaisées après qu'un des décideurs de la BCE ait déclaré hier que celle-ci pouvait toujours avoir recours à un programme d'achats de dettes nationales, ajoutant que la pression exercée par les marchés sur l'Espagne n'était pas justifiée au regard des efforts imposés par son gouvernement.
Les taux des emprunts décennaux du pays on eu beau descendre suite à ces remarques, ainsi qu'à l'engagement du premier ministre espagnol d'adopter une austérité draconienne dès ce mois-ci, ils demeuraient néanmoins proches des 6% en début de matinée.
La monnaie unique demeurait aussi sur la sellette alors que l'Italie d'apprêtait à mettre en vente pour 5 milliards d'euros de bons du trésor triennaux en cours de journée.
Rome avait vu hier les dividendes de ses obligations à un an augmenter pour la première fois depuis novembre, lors d'une adjudication n'ayant pas déchaîné l'enthousiasme.
La devise européenne a par ailleurs gagné quelques quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.08% pour se hisser à 0.8248.
La zone euro devrait dévoiler aujourd'hui son rapport sur la production industrielle, et les Etats-Unis faire de même concernant le solde de leur balance commerciale et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3139 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3136, prenant 0.21%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3065, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3186, son plafond du 16 mars.
Les craintes découlant de la crise de la dette en zone euro se sont légèrement apaisées après qu'un des décideurs de la BCE ait déclaré hier que celle-ci pouvait toujours avoir recours à un programme d'achats de dettes nationales, ajoutant que la pression exercée par les marchés sur l'Espagne n'était pas justifiée au regard des efforts imposés par son gouvernement.
Les taux des emprunts décennaux du pays on eu beau descendre suite à ces remarques, ainsi qu'à l'engagement du premier ministre espagnol d'adopter une austérité draconienne dès ce mois-ci, ils demeuraient néanmoins proches des 6% en début de matinée.
La monnaie unique demeurait aussi sur la sellette alors que l'Italie d'apprêtait à mettre en vente pour 5 milliards d'euros de bons du trésor triennaux en cours de journée.
Rome avait vu hier les dividendes de ses obligations à un an augmenter pour la première fois depuis novembre, lors d'une adjudication n'ayant pas déchaîné l'enthousiasme.
La devise européenne a par ailleurs gagné quelques quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.08% pour se hisser à 0.8248.
La zone euro devrait dévoiler aujourd'hui son rapport sur la production industrielle, et les Etats-Unis faire de même concernant le solde de leur balance commerciale et le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.