Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi, le moral se trouvant regonflé par l'espoir de nouvelles injections de liquidités de la part des banques centrales du monde entier.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29%.
La prudence restait de mise en raison de la peur que Rome ne puisse continuer à mettre en place les réformes structurelles et les mesures de rigueur exigées d'elle alors que de nouvelles élections législatives semblaient devoir se profiler au vu du manque de clarté des résultats de celles de la semaine passée.
Les nuages s'amoncelant au-dessus de la troisième économie régionale ont du coup alimenté les rumeurs d'un rabaissement imminent des taux de la BCE.
La tendance était encore accentuée par l'attente persistante d'assouplissements musclés de la part de la Banque du Japon.
Le secteur aéronautique était sur la brèche, après que les autorités aériennes japonaises aient déclaré mardi qu'il restait encore "plusieurs étapes" avant qu'un bricolage résolvant le problème de batterie des appareils Dreamliner de Boeing reçoive leur feu vert.
Le constructeur a en effet déclaré cette semaine être prêt à résoudre le problème si il recevait leur approbation, piquant tout de même de 0.39% après la clôture.
Il se disait par ailleurs que la justice américaine serait en train d'étudier les détails de la fusion à hauteur de 11 milliards d'USD proposée entre AMR Corp et l'US Airways Group, qui engendrerait la plus grosse compagnie aérienne au monde.
Les hydrocarbures n'étaient pas non plus à négliger, après que BP, le poids lourd du secteur ayant déjà perdu le droit de prospecter dans la partie arctique de la Russie au profit d'ExxonMobil, ait à nouveau été battu au dernier moment par son rival amériicain au cours de négociations avec l'entreprise d'état russe Rosneft.
General Motors a pour sa part déclaré n'avoir écoulé, avec l'aide de ses partenaires chinois, que 215 070 véhicules en février, soit 10.6% de moins qu'il y a un an, le laissant tout de même grignoter 0.04% avant l'ouverture.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Impax Laboratories a avoué que les autorités sanitaires avaient émis des interrogations concernant les pratiques de production dans son usine de Hayward, en Californie, dégringolant du coup de 16.75% après la fermeture des hostilités.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'opérateur téléphoniquue VeriFone, dont les résultats seront dévoilés après la fin des transactions.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 1.41%, le CAC 40 français de 1.23%, le DAX 30 allemand de 1.62% et le FTSE 100 britannique de 0.75%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong se contentait de 0.1%, et le Nikkei 225 japonais de 0.27%.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis comptait de son côté conclure la journée avec un rapport sur les volumes mis en jeu par les prestataires de services du pays.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.21%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29%.
La prudence restait de mise en raison de la peur que Rome ne puisse continuer à mettre en place les réformes structurelles et les mesures de rigueur exigées d'elle alors que de nouvelles élections législatives semblaient devoir se profiler au vu du manque de clarté des résultats de celles de la semaine passée.
Les nuages s'amoncelant au-dessus de la troisième économie régionale ont du coup alimenté les rumeurs d'un rabaissement imminent des taux de la BCE.
La tendance était encore accentuée par l'attente persistante d'assouplissements musclés de la part de la Banque du Japon.
Le secteur aéronautique était sur la brèche, après que les autorités aériennes japonaises aient déclaré mardi qu'il restait encore "plusieurs étapes" avant qu'un bricolage résolvant le problème de batterie des appareils Dreamliner de Boeing reçoive leur feu vert.
Le constructeur a en effet déclaré cette semaine être prêt à résoudre le problème si il recevait leur approbation, piquant tout de même de 0.39% après la clôture.
Il se disait par ailleurs que la justice américaine serait en train d'étudier les détails de la fusion à hauteur de 11 milliards d'USD proposée entre AMR Corp et l'US Airways Group, qui engendrerait la plus grosse compagnie aérienne au monde.
Les hydrocarbures n'étaient pas non plus à négliger, après que BP, le poids lourd du secteur ayant déjà perdu le droit de prospecter dans la partie arctique de la Russie au profit d'ExxonMobil, ait à nouveau été battu au dernier moment par son rival amériicain au cours de négociations avec l'entreprise d'état russe Rosneft.
General Motors a pour sa part déclaré n'avoir écoulé, avec l'aide de ses partenaires chinois, que 215 070 véhicules en février, soit 10.6% de moins qu'il y a un an, le laissant tout de même grignoter 0.04% avant l'ouverture.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Impax Laboratories a avoué que les autorités sanitaires avaient émis des interrogations concernant les pratiques de production dans son usine de Hayward, en Californie, dégringolant du coup de 16.75% après la fermeture des hostilités.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'opérateur téléphoniquue VeriFone, dont les résultats seront dévoilés après la fin des transactions.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 1.41%, le CAC 40 français de 1.23%, le DAX 30 allemand de 1.62% et le FTSE 100 britannique de 0.75%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong se contentait de 0.1%, et le Nikkei 225 japonais de 0.27%.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis comptait de son côté conclure la journée avec un rapport sur les volumes mis en jeu par les prestataires de services du pays.