Forexpros - Les options sur le brut étaient ont conclu sur un passage à vide au plus bas des cinq semaines écoulées, les chiffres médiocres des ventes auprès des particuliers américains ayant alimenté l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance locale, réduisant du coup les perspectives de consommation de carburant.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 90,82 USD le baril à la clôture des transactions, avec une déconvenue de 2,8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 90,26, leur valeur la plus faible depuis le 7 mars, empochantsubissant un passage à vide de 2,8 % pour leur seconde débandade hebdomadaire consécutive.
Leur blason s'est trouvé terni après qu'une étude officielle ait montré lors de la dernière journée de cotation que les ventes au détail américaines avaient reculé de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois, alors qu'un frémissement de 0,1% était espéré.
Il était aussi à noter que la première estimation du moral des consommateurs établie par l'université du Michigan montrait une repli de 78,6 vers 72,3 pour avril, son niveau le plus faible depuis juillet.
L'appétit incertain des Etats-Unis pour l'or noir était faisait des gorges chaudes après qu'une étude gouvernementale ait constaté hier que les réserves nationales avaient grimpé la semaine passée à leur plus haut niveau depuis juillet 1990.
Elles ont en effet accumulé 300.000 barils supplémentaires, pour en totaliser 388,9 millions, laissant douter de l'appétit du premier consommateur de la planète.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Le début de semaine avait déjà été éprouvant, en raison des craintes concernant l'état de l'économie planétaire, et de ses conséquences sur les besoins pétroliers.
L'Agence Internationale de l'Energie a revu jeudi ses prévisions pour la consommation du globe de l'année 2013 pour le troisième mois consécutif, retirant 45.000 barils quotidiens pour les amener à 795.000.
L'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole avait quand à elle rabaissé la veille les siennes pour la seconde fois en deux mois.
Elle l'a en effet révisée à la baisse de 40.000 barils quotidiens, pour l'amener à 800.000 par jour pour l'année en cours.
Les Etats-Unis publieront la semaine prochaine une avalanche de résultats économiques, avec notamment l'activité manufacturière, l'état du secteur du logement et l'inflation.
Ces données seront guettées avec avidité, afin de servir à jauger l'état santé de leur économie, et donc les chances d'un poursuite des injections de capitaux.
Il en sera de même avec la Chine, afin d'évaluer son la vigueur de la seconde économie mondiale.
Elle fera connaître demain son produit intérieur brut, qui sera suivi du volume des ventes au détail, de la production industrielle et des investissements en capital fixe.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont pour leur part dérapé de 1,35% vendredi pour chuter à 103,11 USD du baril, après avoir sombré jusqu'à 101,09 USD, leur niveau le plus bas depuis le 16 juillet.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un fléchissement de 1,2%, pour s'établir à 12,29 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart avait atteint en début de semaine sa plus faible valeur en quinze mois, en raison de la remontée des prévisions d'extraction en Mer du Nord, et l'assombrissement de la situation économique européenne.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 90,82 USD le baril à la clôture des transactions, avec une déconvenue de 2,8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 90,26, leur valeur la plus faible depuis le 7 mars, empochantsubissant un passage à vide de 2,8 % pour leur seconde débandade hebdomadaire consécutive.
Leur blason s'est trouvé terni après qu'une étude officielle ait montré lors de la dernière journée de cotation que les ventes au détail américaines avaient reculé de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois, alors qu'un frémissement de 0,1% était espéré.
Il était aussi à noter que la première estimation du moral des consommateurs établie par l'université du Michigan montrait une repli de 78,6 vers 72,3 pour avril, son niveau le plus faible depuis juillet.
L'appétit incertain des Etats-Unis pour l'or noir était faisait des gorges chaudes après qu'une étude gouvernementale ait constaté hier que les réserves nationales avaient grimpé la semaine passée à leur plus haut niveau depuis juillet 1990.
Elles ont en effet accumulé 300.000 barils supplémentaires, pour en totaliser 388,9 millions, laissant douter de l'appétit du premier consommateur de la planète.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Le début de semaine avait déjà été éprouvant, en raison des craintes concernant l'état de l'économie planétaire, et de ses conséquences sur les besoins pétroliers.
L'Agence Internationale de l'Energie a revu jeudi ses prévisions pour la consommation du globe de l'année 2013 pour le troisième mois consécutif, retirant 45.000 barils quotidiens pour les amener à 795.000.
L'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole avait quand à elle rabaissé la veille les siennes pour la seconde fois en deux mois.
Elle l'a en effet révisée à la baisse de 40.000 barils quotidiens, pour l'amener à 800.000 par jour pour l'année en cours.
Les Etats-Unis publieront la semaine prochaine une avalanche de résultats économiques, avec notamment l'activité manufacturière, l'état du secteur du logement et l'inflation.
Ces données seront guettées avec avidité, afin de servir à jauger l'état santé de leur économie, et donc les chances d'un poursuite des injections de capitaux.
Il en sera de même avec la Chine, afin d'évaluer son la vigueur de la seconde économie mondiale.
Elle fera connaître demain son produit intérieur brut, qui sera suivi du volume des ventes au détail, de la production industrielle et des investissements en capital fixe.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont pour leur part dérapé de 1,35% vendredi pour chuter à 103,11 USD du baril, après avoir sombré jusqu'à 101,09 USD, leur niveau le plus bas depuis le 16 juillet.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un fléchissement de 1,2%, pour s'établir à 12,29 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart avait atteint en début de semaine sa plus faible valeur en quinze mois, en raison de la remontée des prévisions d'extraction en Mer du Nord, et l'assombrissement de la situation économique européenne.