Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, dans l'expectative des propos cruciaux que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait tenir en fin de journée, à l'affût d'indices sur les prochaines décisions en matière de politique monétaire.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.2% pour grimper à 1.2924.
Les conclusions de la prise de cap de la Fed d'aujourd'hui se trouvaient très surveillées, en raison des probabilité grandissantes que celle-ci lance une troisième série d'injections de capitaux afin de renforcer la croissance.
La monnaie unique bénéficiait toujours de l'approbation par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent à la région.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions du traité qui l'instaure, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
Il a en effet été précisé par l'institution que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.6118.
Il a d'autre part subi la pression du yen, l'USD/JPY pardant 0.28% pour se retrouver à 77.63 et l'USD/CHF arrachant 0.02% pour s'élever à 0.9373.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant annoncé le maintien de son taux directeur à son niveau précédent, et réaffirmé son engagement dans la défense du taux plancher de sa devise à 1.2 par euro.
Des chiffres officiels signalaient quand à eux que les coûts de production de la confédération avaient connu en août une hausse inattendue, augmentant de 0.5% après avoir pourtant diminué de 0.3% le mois précédent.
Les experts pensaient pourtant les voir poursuivre cette descente de 0.4%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.05% pour aller vers 0.9767, l'AUD/USD glissant de 0.18% pour chuter à 1.0446 et le NZD/USD sapant 0.02% pour culminer à 0.8213.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande a pour sa part gardé sans surprise un taux de base à 2.5%, sa plus faible valeur historique.
Son gouverneur Alan Bollard a précisé qu'il semblait peu utile de relever les frais liés aux emprunts jusqu'au second semestre 2013, en raison des risques découlant de la crise de la dette de la zone euro et des perspectives de croissance de ses partenaires commenciaux, parmi lesquels la Chine tient une place prépondérante.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.16% pour se situer à 79.75.
Le gouvernement des Etats-Unis fournira de son côté cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
Il ne faudra pas non plus négliger la Fed, qui annoncera son taux directeur, suivi d'un commentaire de la part de son chef, M. Bernanke.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.2% pour grimper à 1.2924.
Les conclusions de la prise de cap de la Fed d'aujourd'hui se trouvaient très surveillées, en raison des probabilité grandissantes que celle-ci lance une troisième série d'injections de capitaux afin de renforcer la croissance.
La monnaie unique bénéficiait toujours de l'approbation par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent à la région.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions du traité qui l'instaure, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
Il a en effet été précisé par l'institution que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.6118.
Il a d'autre part subi la pression du yen, l'USD/JPY pardant 0.28% pour se retrouver à 77.63 et l'USD/CHF arrachant 0.02% pour s'élever à 0.9373.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant annoncé le maintien de son taux directeur à son niveau précédent, et réaffirmé son engagement dans la défense du taux plancher de sa devise à 1.2 par euro.
Des chiffres officiels signalaient quand à eux que les coûts de production de la confédération avaient connu en août une hausse inattendue, augmentant de 0.5% après avoir pourtant diminué de 0.3% le mois précédent.
Les experts pensaient pourtant les voir poursuivre cette descente de 0.4%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.05% pour aller vers 0.9767, l'AUD/USD glissant de 0.18% pour chuter à 1.0446 et le NZD/USD sapant 0.02% pour culminer à 0.8213.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande a pour sa part gardé sans surprise un taux de base à 2.5%, sa plus faible valeur historique.
Son gouverneur Alan Bollard a précisé qu'il semblait peu utile de relever les frais liés aux emprunts jusqu'au second semestre 2013, en raison des risques découlant de la crise de la dette de la zone euro et des perspectives de croissance de ses partenaires commenciaux, parmi lesquels la Chine tient une place prépondérante.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.16% pour se situer à 79.75.
Le gouvernement des Etats-Unis fournira de son côté cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
Il ne faudra pas non plus négliger la Fed, qui annoncera son taux directeur, suivi d'un commentaire de la part de son chef, M. Bernanke.