Investing.com - La livre sterling a plongé dans un creux d'un mois face au dollar U.S. ce mardi après-midi, les résultats économiques supérieurs aux espérances de la part de l'Allemagne ayant encouragé la popularité de l'euro, et nui à la sienne.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6038 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 19 avril, puis s'est stabilisée vers 1.6051, perdant 0.25%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6008, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.6112, son plafond du jour.
Des résultats préliminaires aient montré en début de matinée que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à surmonter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus.
Il a d'autre part été signalé que le PIB du bloc euro lui avait tout juste évité de tomber en récession au premier trimestre, en demeurant stable alors qu'un recul de 0.2% était anticipé, le dernier trimestre 2011 l'ayant vu reculer de 0.3%.
Mais la circonspection restait de mise dans l'angoisse d'un possible échec des discussions grecques visant à former un gouvernement, après plus d'une semaine sans avancée majeure, semant le doute sur la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi sur son futur au sein du bloc euro.
Il avait également été souligné que le PIB de la Grèce avait subi une régression annualisée de 6.2% pour les trois premiers mois de 2012.
Le déficit officiel du commerce extérieur britannique s'était quand à lui maintenu contre toute attente à 8.6 milliards de GBP en mars, alors qu'un rétrécissement à 8.4 milliards était espéré.
La devise de la Grande-Bretagne est par ailleurs retombée de son piédestal de trois ans et demi, l'EUR/GBP engrangeant 0.46% pour se hisser à 0.8005.
Les autorités des Etats-Unis devaient pour leur part publier dans l'après-midi leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi que sur l'évolution des prix à la consommation, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6038 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 19 avril, puis s'est stabilisée vers 1.6051, perdant 0.25%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6008, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.6112, son plafond du jour.
Des résultats préliminaires aient montré en début de matinée que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à surmonter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus.
Il a d'autre part été signalé que le PIB du bloc euro lui avait tout juste évité de tomber en récession au premier trimestre, en demeurant stable alors qu'un recul de 0.2% était anticipé, le dernier trimestre 2011 l'ayant vu reculer de 0.3%.
Mais la circonspection restait de mise dans l'angoisse d'un possible échec des discussions grecques visant à former un gouvernement, après plus d'une semaine sans avancée majeure, semant le doute sur la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi sur son futur au sein du bloc euro.
Il avait également été souligné que le PIB de la Grèce avait subi une régression annualisée de 6.2% pour les trois premiers mois de 2012.
Le déficit officiel du commerce extérieur britannique s'était quand à lui maintenu contre toute attente à 8.6 milliards de GBP en mars, alors qu'un rétrécissement à 8.4 milliards était espéré.
La devise de la Grande-Bretagne est par ailleurs retombée de son piédestal de trois ans et demi, l'EUR/GBP engrangeant 0.46% pour se hisser à 0.8005.
Les autorités des Etats-Unis devaient pour leur part publier dans l'après-midi leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi que sur l'évolution des prix à la consommation, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.