Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt en berne ce mardi, l'humeur étant toujours alourdie par le spectre de la crise de la dette de la zone euro, tandis que les opérateurs guettaient les pourparlers du jour entre l'Allemagne et la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.34%, et le DAX 30 allemand de 0.27%.
Le moral s'était en effet assombri après que la chute de la confiance dans les affaires allemandes à son pire niveau depuis début 2010 ait ravivé hier l'angoisse d'un ralentissement de la plus grosse économie de la zone euro.
Le baromètre prévisionnel du moral des consommateurs germaniques établi par le groupe de recherches économiques Gfk est par contre demeuré comme espéré stable à 5.9 pour septembre.
Le poids des incertitudes concernant un recours de l'Espagne à un plan de secours total continuait toutefois à se faire sentir, celle-ci continuant à traîner les pieds malgré l'attente des opérateurs.
Madrid devrait ainsi présenter jeudi le premier jet de son budget 2013 et annoncer des réformes économiques majeures, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus le lendemain, tandis que l'agence de notation Moody's procèdera dans la semaine à la révision de sa notation.
La finance était peu reluisante, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank laissant respectivement échapper 0.79 et 0.66%, les français BNP Paribas et Société Générale limitant les dégâts à 0.54 et 0.13%.
Mais le tableau était plus nuancé à la périphérie, l'espagnol BBVA arrachant 0.15% alors que son compatriote Banco Santander reculait de 0.16%, l'italien Intesa Sanpaolo s'élevant de 0.16% alors qu'Unicredit trébuchait de 0.06%.
Les constructeurs automobiles ont aussi dérapé, BMW et Daimler glissant de 2.48 et 2.37% pour l'Allemagne, tandis qu'en France, Renault et Peugeot ralentissaient de 1.99 et 2.79%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.04%, tiré vers le haut par son secteur énergétique, après qu'il ait été montré que le nombre des accords de prêts hypothécaires du Royaume-Uni avait davantage augmenté en août qu'envisagé.
Le poids lourd des hydrocarbures qu'est anglo American a bondi de 1.22%, suivi de Petrofac avec 2.02% et de BP avec 0.83%.
Les valeurs minières étaient par contre en demi-teinte, le mastodonte BHP Billiton grignotant 0.08%, Rio Tinto fléchissant de 0.69% et le sidérurgiste Evraz s'effondrant de 2.49%.
La City n'a pas non plus dégagé de tendance claire, Lloyds Banking avançant de 0.42%, et HSBC Holdings se rétractant de 0.14%, alors que Barclays subissait un revers de 0.35% et que la Royal Bank of Scotland dégringolait de 1.1%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.13%.
Mario Draghi, président de la BCE, devrait de son côté rencontrer aujourd'hui la chancelière allemande Angela Merkel à Berlin.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.34%, et le DAX 30 allemand de 0.27%.
Le moral s'était en effet assombri après que la chute de la confiance dans les affaires allemandes à son pire niveau depuis début 2010 ait ravivé hier l'angoisse d'un ralentissement de la plus grosse économie de la zone euro.
Le baromètre prévisionnel du moral des consommateurs germaniques établi par le groupe de recherches économiques Gfk est par contre demeuré comme espéré stable à 5.9 pour septembre.
Le poids des incertitudes concernant un recours de l'Espagne à un plan de secours total continuait toutefois à se faire sentir, celle-ci continuant à traîner les pieds malgré l'attente des opérateurs.
Madrid devrait ainsi présenter jeudi le premier jet de son budget 2013 et annoncer des réformes économiques majeures, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus le lendemain, tandis que l'agence de notation Moody's procèdera dans la semaine à la révision de sa notation.
La finance était peu reluisante, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank laissant respectivement échapper 0.79 et 0.66%, les français BNP Paribas et Société Générale limitant les dégâts à 0.54 et 0.13%.
Mais le tableau était plus nuancé à la périphérie, l'espagnol BBVA arrachant 0.15% alors que son compatriote Banco Santander reculait de 0.16%, l'italien Intesa Sanpaolo s'élevant de 0.16% alors qu'Unicredit trébuchait de 0.06%.
Les constructeurs automobiles ont aussi dérapé, BMW et Daimler glissant de 2.48 et 2.37% pour l'Allemagne, tandis qu'en France, Renault et Peugeot ralentissaient de 1.99 et 2.79%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.04%, tiré vers le haut par son secteur énergétique, après qu'il ait été montré que le nombre des accords de prêts hypothécaires du Royaume-Uni avait davantage augmenté en août qu'envisagé.
Le poids lourd des hydrocarbures qu'est anglo American a bondi de 1.22%, suivi de Petrofac avec 2.02% et de BP avec 0.83%.
Les valeurs minières étaient par contre en demi-teinte, le mastodonte BHP Billiton grignotant 0.08%, Rio Tinto fléchissant de 0.69% et le sidérurgiste Evraz s'effondrant de 2.49%.
La City n'a pas non plus dégagé de tendance claire, Lloyds Banking avançant de 0.42%, et HSBC Holdings se rétractant de 0.14%, alors que Barclays subissait un revers de 0.35% et que la Royal Bank of Scotland dégringolait de 1.1%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.13%.
Mario Draghi, président de la BCE, devrait de son côté rencontrer aujourd'hui la chancelière allemande Angela Merkel à Berlin.