Adecco chute de 8,6% à Zurich après la publication d'une lourde perte nette au titre du troisième trimestre, liée à une importante dépréciation de survaleur, ainsi que d'un abaissement de son objectif annuel de marge d'EBITA ajustée.
Le groupe de ressources humaines a essuyé une perte nette trimestrielle de 513 millions d'euros, contre un bénéfice de 198 millions un an auparavant, sous le poids d'une dépréciation de survaleur pour 740 millions.
'En raison de changements réglementaires proposés et récents en Allemagne, ainsi que de perspectives macroéconomiques plus faibles sur certains marchés, nous avons jugé qu'une telle dépréciation était nécessaire', explique-t-il.
Hors éléments exceptionnels, Adecco a réalisé un résultat d'exploitation (EBITA) de 329 millions d'euros, en croissance organique de 12%. La marge correspondante s'est ainsi améliorée de 40 points de base à 5,8%.
A 5,7 milliards d'euros, le chiffre d'affaires a augmenté de 9% en données publiées, dopé par des effets de changes sans lesquels la croissance organique est ressortie à +4%, entrainée par les activités de placement permanent (+12%).
Compte tenu d'une croissance organique 'solide, mais qui ne s'accélère pas', Adecco n'attend plus sur l'ensemble de 2015 qu'une marge d'EBITA ajustée d'environ 5,2%, contre plus de 5,5% en estimation précédente.
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Le groupe de ressources humaines a essuyé une perte nette trimestrielle de 513 millions d'euros, contre un bénéfice de 198 millions un an auparavant, sous le poids d'une dépréciation de survaleur pour 740 millions.
'En raison de changements réglementaires proposés et récents en Allemagne, ainsi que de perspectives macroéconomiques plus faibles sur certains marchés, nous avons jugé qu'une telle dépréciation était nécessaire', explique-t-il.
Hors éléments exceptionnels, Adecco a réalisé un résultat d'exploitation (EBITA) de 329 millions d'euros, en croissance organique de 12%. La marge correspondante s'est ainsi améliorée de 40 points de base à 5,8%.
A 5,7 milliards d'euros, le chiffre d'affaires a augmenté de 9% en données publiées, dopé par des effets de changes sans lesquels la croissance organique est ressortie à +4%, entrainée par les activités de placement permanent (+12%).
Compte tenu d'une croissance organique 'solide, mais qui ne s'accélère pas', Adecco n'attend plus sur l'ensemble de 2015 qu'une marge d'EBITA ajustée d'environ 5,2%, contre plus de 5,5% en estimation précédente.
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