L'escalade récente du conflit entre Israël et Gaza, à la suite des attaques du Hamas contre des villes israéliennes le 7 octobre, a intensifié les préoccupations économiques mondiales, avec des répercussions potentielles qui rappellent l'embargo pétrolier arabe de 1973. La Banque mondiale prévient que les prix du pétrole pourraient grimper jusqu'à 157 dollars le baril si la situation se détériore davantage. En revanche, des institutions financières comme Goldman Sachs (NYSE:GS) et UBS prévoient une plus grande stabilité des prix du pétrole, avec une fourchette de 90 à 100 dollars le baril pour l'année prochaine.
Le conflit a déjà laissé des traces profondes sur les économies locales de Gaza et de Cisjordanie, l'Organisation internationale du travail (OIT) faisant état de pertes d'emplois considérables, soit 61 % ou 182 000 emplois à Gaza et 24 % ou 208 000 emplois en Cisjordanie. Cette situation ne fait qu'exacerber les graves privations auxquelles sont confrontées ces communautés. Malgré les troubles actuels, les entreprises de Sderot, en Israël, poursuivent leurs activités.
Les tensions géopolitiques n'ont pas seulement affecté le Moyen-Orient, mais rappellent également les perturbations causées par le conflit entre la Russie et l'Ukraine au début de l'année 2022. Ce conflit a eu un impact profond sur les marchés mondiaux des matières premières, affectant particulièrement les exportations de blé et de maïs de l'Ukraine en raison du blocage des ports par les Russes et provoquant une flambée des prix de l'aluminium et du palladium en raison du rôle central joué par la Russie dans leur production.
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