Investing.com - Les options sur l'or étaient à la peine pour la première fois des quatre dernières journées de cotation ce lundi, les investisseurs liquidant leurs positions afin d'assurer leurs gains entraînés par un rebond ayant tiré les prix jusqu'à un pic hebdomadaire à l'orée de l'entame des deux jours de réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 703.65 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.45%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 702.95 USD, leur pire cours du jour, avec un recul de 0.55%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 677.55 USD, leur plancher du 9 mars, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 717.25 USD, leur plafond de vendredi dernier.
Les trois dernières sessions de la semaine passée les avaient vus engranger près de 3%, avec notamment un sursaut de 1% vendredi, stimulés par une alternance d'achats à bas prix et d'acquisitions techniques après avoir rebondi depuis leur moyenne fluctuante à 200 jours.
Ces trois jours d'avancée ont toutefois poussé certains acteurs des marchés à encaisser leurs plus-values, les observateurs évaluant les besoins en nouvelles mesures d'assouplissement monétaires à l'orée de la réunion du conseil de la banque centrale américaine devant débuter dans l'après-midi et durer deux jours.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait annoncé vendredi que le pays avait créé 227 000 emplois en février, dépassant les 210 000 espérés, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
Ces chiffres encourageants ont réduit l'espérance d'une nouvelle série d'achats d'actifs destinés à relancer la croissance économique de la part de la Fed.
Le Wall Street Journal a toutefois rapporté la semaine dernière que celle-ci étudiait une stratégie lui permettant de procéder à de nouveaux achats de bons du trésor tout en diminuant les risques d'inflation.
La banque Crédit Suisse a déclaré dans un rapport publié en fin de semaine ne pas s'attendre à de nouvelles mesures politiques ou d'initiatives particulières pour le 13 mars, estimant que la réunion avait toutes les chances d'être plus routinière que celle de janvier.
La Grèce a quand à ellee annoncé vendredi que plus de 85% de ses créanciers privés avaient donné leur aval à l'accord de substitution de ses dettes, destiné à réduire le fardeau de sa dette de 53.5%.
L'atmosphère demeurait toutefois assombrie, après que l'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA ait finalement affirmé que la substitution des bons du trésor grecs constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
Les angoisses découlant de la crise de la dette de la zone euro ne s'évanouiront pas une fois le programme d'échange grec scellé, en raison du retour du spectre de la santé fiscale de l'Espagne et du Portugal et des craintes concernant les perspectives de croissances régionales.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'être à l'ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi plongé de 0.85% pour se retrouver à 33.92 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.6% pour glisser à 3.835 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 703.65 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.45%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 702.95 USD, leur pire cours du jour, avec un recul de 0.55%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 677.55 USD, leur plancher du 9 mars, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 717.25 USD, leur plafond de vendredi dernier.
Les trois dernières sessions de la semaine passée les avaient vus engranger près de 3%, avec notamment un sursaut de 1% vendredi, stimulés par une alternance d'achats à bas prix et d'acquisitions techniques après avoir rebondi depuis leur moyenne fluctuante à 200 jours.
Ces trois jours d'avancée ont toutefois poussé certains acteurs des marchés à encaisser leurs plus-values, les observateurs évaluant les besoins en nouvelles mesures d'assouplissement monétaires à l'orée de la réunion du conseil de la banque centrale américaine devant débuter dans l'après-midi et durer deux jours.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait annoncé vendredi que le pays avait créé 227 000 emplois en février, dépassant les 210 000 espérés, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
Ces chiffres encourageants ont réduit l'espérance d'une nouvelle série d'achats d'actifs destinés à relancer la croissance économique de la part de la Fed.
Le Wall Street Journal a toutefois rapporté la semaine dernière que celle-ci étudiait une stratégie lui permettant de procéder à de nouveaux achats de bons du trésor tout en diminuant les risques d'inflation.
La banque Crédit Suisse a déclaré dans un rapport publié en fin de semaine ne pas s'attendre à de nouvelles mesures politiques ou d'initiatives particulières pour le 13 mars, estimant que la réunion avait toutes les chances d'être plus routinière que celle de janvier.
La Grèce a quand à ellee annoncé vendredi que plus de 85% de ses créanciers privés avaient donné leur aval à l'accord de substitution de ses dettes, destiné à réduire le fardeau de sa dette de 53.5%.
L'atmosphère demeurait toutefois assombrie, après que l'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA ait finalement affirmé que la substitution des bons du trésor grecs constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
Les angoisses découlant de la crise de la dette de la zone euro ne s'évanouiront pas une fois le programme d'échange grec scellé, en raison du retour du spectre de la santé fiscale de l'Espagne et du Portugal et des craintes concernant les perspectives de croissances régionales.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'être à l'ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi plongé de 0.85% pour se retrouver à 33.92 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.6% pour glisser à 3.835 USD la livre dans le même temps.