A l'image du DAX de Francfort (+0,2%), les indices actions européens se montrent dans l'ensemble proches de leurs équilibres, rassurés par la résilience de Wall Street (+0,2% sur le Dow Jones) à l'échec des discussions de Doha entre grands producteurs de pétrole.
Les tensions entre l'Iran et l'Arabie Saoudite ont bloqué toute possibilité d'accord alors que la prochaine réunion de l'OPEP n'est pas prévue avant le 2 juin.
'L'Iran n'allait tout de même pas accepter de geler sa production alors que son programme nucléaire vient d'être arrêté en échange d'une levée de l'embargo sur ses exportations pétrolières', explique Chris Weston, stratège chez IG.
Les marchés américains résistent toutefois à cette déception, aidés par une première salve de résultats d'entreprises meilleurs que prévu de la part de Morgan Stanley (NYSE:MS) et de PepsiCo.
Ces résultats sont de bon augure avant les nombreuses publications de la semaine comme par exemple IBM (NYSE:IBM), Goldman Sachs, Intel (NASDAQ:INTC), Coca-Cola, Microsoft (NASDAQ:MSFT), GE ou Caterpillar.
De ce côté de l'Atlantique, les publications trimestrielles de L'Oréal, Roche (SIX:ROG), Danone, ABB, Ericsson (ST:ERICb), Novartis (SIX:NOVN) et Pernod-Ricard figurent parmi celles prévues au calendrier.
La semaine s'annonce un peu moins chargée sur le front des statistiques, avec toutefois certains chiffres intéressants comme l'indice ZEW en Allemagne ou les indicateurs avancés du Conference Board aux Etats-Unis.
Surtout, les jours prochains seront marqués par la réunion, jeudi, du conseil des gouverneurs de la BCE à Francfort, suivie d'une conférence de presse de son président.
'M. Draghi ne devrait pas annoncer d'importante décision ou précision sur la politique monétaire de la banque centrale, mais il devra intervenir dans le débat sur 'l'hélicoptère money' et faire face aux critiques sur sa politique de taux négatif', note Aurel BGC.
A Londres où le FTSE se stabilise, Reckitt Benckiser (LON:RB) gagne 1,5% après que le fabricant de biens de consommation courante ait dévoilé des ventes trimestrielles supérieures aux attentes.
Le CAC40 prend 0,2% à Paris, malgré le poids-lourd pétrolier de l'indice, Total (PA:TOTF), qui perd 1,1% dans le sillage des cours du pétrole (-2,7% à 39,3 dollars le baril WTI).
De même, l'AEX d'Amsterdam recule de 0,2%, pâtissant entre autres du retrait de Shell (AS:RDSa) (-1,4%), alors qu'ArcelorMittal (AS:ISPA) gagne 0,7% avec des propos favorables de Moody's concernant la note de crédit du sidérurgiste.
Dépourvu de valeurs pétrolières proprement-dites, le Bel20 de Bruxelles cède 0,1%, avec le soutien du laboratoire Galapagos (+1,9%) et du conglomérat Ackermans (+1,4%).
Le PSI de Lisbonne dévisse de 1%, dans le sillage surtout de la banque BCP (-5,6%), du concessionnaire de réseaux électrique REN (-3%) et du groupe papetier Altri (-1,8%).
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Les tensions entre l'Iran et l'Arabie Saoudite ont bloqué toute possibilité d'accord alors que la prochaine réunion de l'OPEP n'est pas prévue avant le 2 juin.
'L'Iran n'allait tout de même pas accepter de geler sa production alors que son programme nucléaire vient d'être arrêté en échange d'une levée de l'embargo sur ses exportations pétrolières', explique Chris Weston, stratège chez IG.
Les marchés américains résistent toutefois à cette déception, aidés par une première salve de résultats d'entreprises meilleurs que prévu de la part de Morgan Stanley (NYSE:MS) et de PepsiCo.
Ces résultats sont de bon augure avant les nombreuses publications de la semaine comme par exemple IBM (NYSE:IBM), Goldman Sachs, Intel (NASDAQ:INTC), Coca-Cola, Microsoft (NASDAQ:MSFT), GE ou Caterpillar.
De ce côté de l'Atlantique, les publications trimestrielles de L'Oréal, Roche (SIX:ROG), Danone, ABB, Ericsson (ST:ERICb), Novartis (SIX:NOVN) et Pernod-Ricard figurent parmi celles prévues au calendrier.
La semaine s'annonce un peu moins chargée sur le front des statistiques, avec toutefois certains chiffres intéressants comme l'indice ZEW en Allemagne ou les indicateurs avancés du Conference Board aux Etats-Unis.
Surtout, les jours prochains seront marqués par la réunion, jeudi, du conseil des gouverneurs de la BCE à Francfort, suivie d'une conférence de presse de son président.
'M. Draghi ne devrait pas annoncer d'importante décision ou précision sur la politique monétaire de la banque centrale, mais il devra intervenir dans le débat sur 'l'hélicoptère money' et faire face aux critiques sur sa politique de taux négatif', note Aurel BGC.
A Londres où le FTSE se stabilise, Reckitt Benckiser (LON:RB) gagne 1,5% après que le fabricant de biens de consommation courante ait dévoilé des ventes trimestrielles supérieures aux attentes.
Le CAC40 prend 0,2% à Paris, malgré le poids-lourd pétrolier de l'indice, Total (PA:TOTF), qui perd 1,1% dans le sillage des cours du pétrole (-2,7% à 39,3 dollars le baril WTI).
De même, l'AEX d'Amsterdam recule de 0,2%, pâtissant entre autres du retrait de Shell (AS:RDSa) (-1,4%), alors qu'ArcelorMittal (AS:ISPA) gagne 0,7% avec des propos favorables de Moody's concernant la note de crédit du sidérurgiste.
Dépourvu de valeurs pétrolières proprement-dites, le Bel20 de Bruxelles cède 0,1%, avec le soutien du laboratoire Galapagos (+1,9%) et du conglomérat Ackermans (+1,4%).
Le PSI de Lisbonne dévisse de 1%, dans le sillage surtout de la banque BCP (-5,6%), du concessionnaire de réseaux électrique REN (-3%) et du groupe papetier Altri (-1,8%).
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