Investing.com - Les options sur l'or étaient à la peine ce jeudi, laissant échapper la plupart de l'avance acquise hier, l'angoisse de la possibilité d'un défaut de paiement grec poussant les investisseurs à se réfugier auprès d'un dollar U.S. estimé plus sûr.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 716.95 USD de l'once en fin de séance asiatique, cédant 0.65%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 715.55 USD, leur pire cours en deux jours, avec 0.84% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 713.95 USD, leur plancher du 14 février, et de rencontrer de la résistance à 1 739.15, leur plafond d'hier, et leur plus haut niveau depuis le 9 février.
L'angoisse d'un défaut de paiement de la part de la Grèce s'était intensifiée après qu'il ait été signalé mercredi que les représentants de l'Union Européenne étudiaient les moyens de retarder l'attribution d'une partie, voire de l'intégralité du programme de secours pour la Grèce jusqu'aux élections générales d'avril.
La téléconférence entre les ministres des finances de la zone euro ayant eu lieu hier n'a pas réussi à résoudre tous les problèmes concernant le second plan d'aide à Athènes, repoussant toutes les décisions à lundi au plus tôt.
Si elle ne se fait pas tirer d'affaire, la Grèce devra faire face à la menace d'un manquement à ses obligations quand 14.5 milliards d'emprunts devront être remboursés le 20 mars.
Moody's a également contrribué hier à assombrir l'atmosphère en annonçant le placement de plus de 100 compagnies financières du monde entier sous surveillance en raison de la crise de la dette de la zone euro.
Les notations de poids lourds comme USD, le Crédit Suisse et Morgan Stanley pourraient subir une plongée atteignant trois crans, celles de Goldman Sachs, de la Deutsche Bank, de JP Morgan-Chase et du Citigroup ne devant pas en dépasser deux, d'après le communiqué de l'agence.
Ces nouvelles ont contribué à pousser les investisseurs à regagner le havre relatif de l'étalon américain, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, prenant 0.45% de son côté pour se situer à 80.1, son plus haut niveau depuis le 25 janvier.
La monnaie des Etats-Unis a aussi été soutenue par le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la politique monétaire de la banque centrle américaine, montrant que ses décideurs étaient incertains concernant l'opportunité de nouvelles mesures d'assouplissement pour relancer la croissance, mais que l'hypothèse était toujours à l'étude.
L'or, aux prix libellés en dollars, a tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Même si l'or est souvent perçu comme un refuge dans les temps d'incertitude économique, l'aggravation de la crise de la dette de la zone euro ne l'ont guère stimulé ces derniers temps, se retrouvant au contraire ralenti par l'affaiblissement de l'euro et le renforcement du billet vert.
Certains acteurs du marché ont également encaissé les bénéfices leurs positions afin de couvrir leurs pertes subies ailleurs, alors que d'autres les liquidaient par peur d'une baisse plus prononcée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs dégringolé de 1.05% pour sombrer à 33.06 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont connu un repli de 1.53% pour se retrouver à 3.744 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 716.95 USD de l'once en fin de séance asiatique, cédant 0.65%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 715.55 USD, leur pire cours en deux jours, avec 0.84% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 713.95 USD, leur plancher du 14 février, et de rencontrer de la résistance à 1 739.15, leur plafond d'hier, et leur plus haut niveau depuis le 9 février.
L'angoisse d'un défaut de paiement de la part de la Grèce s'était intensifiée après qu'il ait été signalé mercredi que les représentants de l'Union Européenne étudiaient les moyens de retarder l'attribution d'une partie, voire de l'intégralité du programme de secours pour la Grèce jusqu'aux élections générales d'avril.
La téléconférence entre les ministres des finances de la zone euro ayant eu lieu hier n'a pas réussi à résoudre tous les problèmes concernant le second plan d'aide à Athènes, repoussant toutes les décisions à lundi au plus tôt.
Si elle ne se fait pas tirer d'affaire, la Grèce devra faire face à la menace d'un manquement à ses obligations quand 14.5 milliards d'emprunts devront être remboursés le 20 mars.
Moody's a également contrribué hier à assombrir l'atmosphère en annonçant le placement de plus de 100 compagnies financières du monde entier sous surveillance en raison de la crise de la dette de la zone euro.
Les notations de poids lourds comme USD, le Crédit Suisse et Morgan Stanley pourraient subir une plongée atteignant trois crans, celles de Goldman Sachs, de la Deutsche Bank, de JP Morgan-Chase et du Citigroup ne devant pas en dépasser deux, d'après le communiqué de l'agence.
Ces nouvelles ont contribué à pousser les investisseurs à regagner le havre relatif de l'étalon américain, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, prenant 0.45% de son côté pour se situer à 80.1, son plus haut niveau depuis le 25 janvier.
La monnaie des Etats-Unis a aussi été soutenue par le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la politique monétaire de la banque centrle américaine, montrant que ses décideurs étaient incertains concernant l'opportunité de nouvelles mesures d'assouplissement pour relancer la croissance, mais que l'hypothèse était toujours à l'étude.
L'or, aux prix libellés en dollars, a tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Même si l'or est souvent perçu comme un refuge dans les temps d'incertitude économique, l'aggravation de la crise de la dette de la zone euro ne l'ont guère stimulé ces derniers temps, se retrouvant au contraire ralenti par l'affaiblissement de l'euro et le renforcement du billet vert.
Certains acteurs du marché ont également encaissé les bénéfices leurs positions afin de couvrir leurs pertes subies ailleurs, alors que d'autres les liquidaient par peur d'une baisse plus prononcée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs dégringolé de 1.05% pour sombrer à 33.06 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont connu un repli de 1.53% pour se retrouver à 3.744 USD la livre dans le même temps.