RAHWAY, N.J. - Merck, l'un des principaux laboratoires biopharmaceutiques mondiaux, a annoncé que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis avait approuvé KEYTRUDA, en association avec la chimiothérapie, pour le traitement des patientes adultes atteintes d'un carcinome de l'endomètre primaire avancé ou récurrent, quel que soit le statut de la réparation par mésappariement. Il s'agit de la troisième indication approuvée par la FDA pour KEYTRUDA dans le carcinome de l'endomètre et de la 40e indication pour KEYTRUDA aux États-Unis.
L'autorisation est étayée par les données de l'essai de phase 3 NRG-GY018, qui a montré que KEYTRUDA associé à une chimiothérapie réduisait le risque de progression de la maladie ou de décès de 40 % chez les patientes atteintes de tumeurs présentant un bon état de réparation des mésappariements (pMMR) et de 70 % chez les patientes atteintes de tumeurs présentant un mauvais état de réparation des mésappariements (dMMR), par rapport à un placebo associé à une chimiothérapie.
Le Dr Ramez N. Eskander, investigateur principal de l'essai, a souligné l'importance de la thérapie combinée, qui offre une nouvelle option thérapeutique de première ligne démontrant un bénéfice cliniquement significatif en termes de survie sans progression.
Cependant, des effets indésirables à médiation immunitaire, qui peuvent être graves ou mortels, peuvent survenir avec KEYTRUDA, affectant tout système organique ou tissu à tout moment pendant ou après le traitement. Le profil de sécurité comprend également des risques de lésions fœtales, de réactions liées à la perfusion et de complications liées à la transplantation de cellules souches hématopoïétiques allogéniques.
L'essai a été parrainé par le National Cancer Institute (NCI) des États-Unis, avec un financement du NCI et la participation de groupes du National Clinical Trials Network. Merck a fourni le financement et le soutien par le biais d'un accord de coopération en matière de recherche et de développement (CRADA) avec le NCI.
Le cancer de l'endomètre est le cancer gynécologique le plus fréquent aux États-Unis, et l'on s'attend à ce que le nombre de décès dépasse celui du cancer de l'ovaire en 2024, ce qui souligne la nécessité de nouveaux traitements.
Cette autorisation de la FDA a été examinée dans le cadre du projet Orbis, une initiative d'examen simultané des médicaments oncologiques par des partenaires internationaux. Les autorités sanitaires d'Israël, du Canada, d'Australie, de Singapour, du Brésil et du Royaume-Uni examinent également la demande.
Les informations contenues dans cet article sont basées sur un communiqué de presse de Merck & Co, Inc.
Dans d'autres nouvelles récentes, Merck & Co, Inc. a fait des progrès significatifs dans l'industrie pharmaceutique. Wells Fargo a maintenu sa pondération égale sur la société, influencée par une enquête qui a donné un aperçu de l'accueil réservé par le marché au Winrevair de Merck. BMO Capital a également maintenu sa note "Outperform" sur Merck, suite à des développements significatifs dans son pipeline oncologique et ses essais cliniques.
Merck a annoncé son intention d'acquérir EyeBio, marquant ainsi une avancée stratégique dans le secteur de l'ophtalmologie. Cette acquisition ajoutera au pipeline de Merck le nouveau candidat en phase avancée d'EyeBio, Restoret™, pour l'œdème maculaire diabétique et la dégénérescence maculaire liée à l'âge néovasculaire.
Par ailleurs, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accepté d'examiner en priorité la demande de licence biologique supplémentaire (sBLA) pour KEYTRUDA de Merck, un traitement potentiel du mésothéliome pleural malin. La date d'action cible pour cet examen a été fixée au 25 septembre 2024.
Il s'agit de développements récents qui reflètent l'engagement de Merck à faire progresser la science et à améliorer les résultats pour les patients dans le traitement du cancer et dans d'autres domaines thérapeutiques. Comme il s'agit de développements récents, il sera intéressant de suivre leur évolution et leur impact sur la trajectoire de la société dans le secteur des soins de santé.
Perspectives InvestingPro
La récente approbation par la FDA de KEYTRUDA pour le traitement du carcinome endométrial a renforcé la position de Merck en tant qu'acteur majeur de l'industrie pharmaceutique. Avec une solide capitalisation boursière de 322,98 milliards de dollars et une présence significative dans le domaine de l'oncologie, Merck est prête à poursuivre son influence sur le marché des soins de santé.
La santé financière de l'entreprise reste solide, comme en témoigne une marge d'exploitation saine de 28,55 % sur les douze derniers mois à compter du 1er trimestre 2024. De plus, l'engagement de Merck envers ses actionnaires est clair avec son impressionnant historique de maintien des paiements de dividendes pendant 54 années consécutives, et le rendement du dividende s'élève à 2,39% à la mi-2024. Cet engagement en faveur d'un rendement constant pour les actionnaires est encore renforcé par une croissance du dividende de 5,48 % au cours de la même période.
Les conseils d'InvestingPro révèlent que Merck a augmenté son dividende pendant 13 années consécutives et que le revenu net devrait augmenter cette année, ce qui pourrait être une nouvelle prometteuse pour les investisseurs qui recherchent à la fois la croissance et le revenu. De plus, l'action de la société se négocie généralement avec une faible volatilité, ce qui assure une certaine stabilité au portefeuille de l'investisseur.
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Alors que Merck continue de progresser dans l'industrie pharmaceutique grâce à des traitements innovants tels que KEYTRUDA, les investisseurs peuvent trouver un intérêt à suivre de près la santé financière de la société et ses performances sur le marché.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.