Dans une démarche audacieuse qui associe l'innovation financière à son programme politique, le candidat à la présidence Kennedy a exprimé sa forte opposition à l'imposition de limites gouvernementales sur les monnaies, en s'attaquant plus particulièrement aux monnaies numériques des banques centrales (CBDC). Le programme de M. Kennedy, qui a été présenté aujourd'hui, comprend une proposition d'obligations du Trésor adossées à des actifs bitcoins, ce qui marque une rupture importante avec les politiques économiques traditionnelles.
La position de M. Kennedy s'inscrit dans le cadre d'une campagne plus large qui donne la priorité à la durabilité écologique et à l'équité sociétale. Sa résistance aux CBDC souligne le débat croissant sur l'autonomie financière et le rôle des monnaies numériques dans l'avenir des économies mondiales. En plaidant pour des obligations soutenues par le bitcoin, Kennedy signale sa volonté d'intégrer les crypto-monnaies dans les instruments financiers courants, offrant ainsi une protection potentielle contre l'inflation et la dévaluation des monnaies.
Le programme global du candidat va au-delà de la réforme économique, englobant une série de mesures visant à préserver l'environnement et à lutter contre les inégalités sociales. Toutefois, ses propositions financières, en particulier les obligations adossées au bitcoin, sont susceptibles de susciter un débat considérable parmi les décideurs politiques, les économistes et le public.
Alors que le monde observe cette évolution, les idées de M. Kennedy pourraient ouvrir la voie à une nouvelle ère de politique fiscale qui engloberait les actifs numériques. Sa remise en cause de l'autorité des CBDC soulève d'importantes questions sur l'équilibre des pouvoirs entre le contrôle de l'État et le domaine en plein essor des crypto-monnaies.
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