Investing.com - Les options sur le brut étaient en mauvaise posture ce mercredi, en raison de résultats médiocres de la part de la zone euro, tandis que les observateurs guettaient l'inventaire des réservers américaines prévu aujourd'hui.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 105.72 USD le baril en première partie de séance européenne, reculant de 0.46%.
Leurs prix ont en effet régressé suite à la déception engendrée par des chiffres manufacturiers décevants de la part de la zone euro, la valeur définitive de son indice des directeurs des achats dans le domaine plongeant à 45.9 pour le mois dernier, sa valeur la plus basse des 34 derniers mois, contre 47.7 en mars, et une évaluation préliminaire à 46.
Celui de l'Allemagne avait subi de son côté sa chute la plus abrupte depuis juillet 2009, avec un dérapage de 48.4 vers 46.2, tandis qu'une étude signalait une augmentation du taux de chômage national pour le mois dernier.
Ces chiffres ont éclipsé les bons résultats de la Chine et des US, sur fond renouveau des craintes concernant la croissance économique mondiale.
Il avait été montré que le secteur secondaire des Etats-Unis avait connu en avril son expansion la plus rapide des dix derniers mois, étouffant l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance américaine, et diminuant du même coup l'attente d'une troisième série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
L'indice manufacturier HSBC de la Chine est quand à lui remontré de 48.3 à 49.3 dans le même temps, laissant deviner une reprise de la seconde économie mondiale après son ralentissement du premier trimestre.
Les acteurs du marché pétrolier demeuraient toutefois prudents dans l'expectative du rapport du département d'état à l'énergie des Etats-Unis sur le niveau des stocks du pays, attendu en fin de journée.
Celui établi par les spécialistes de l'institut du pétrole américain estimait hier qu'ils avaient engrangé 2.04 millions de barils pour la semaine achevée le 27 avril.
Les observateurs attendaient désormais de connaître l'état du marché de l'emploi américain, dont la révélation est prévue pour vendredi, après que celui de mars ait mis en évidence une diminution des embauches du premier consommateur mondial.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont fléchi de 0.29% pour descendre à 119.31 USD du baril dans le même temps, soit 13.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 105.72 USD le baril en première partie de séance européenne, reculant de 0.46%.
Leurs prix ont en effet régressé suite à la déception engendrée par des chiffres manufacturiers décevants de la part de la zone euro, la valeur définitive de son indice des directeurs des achats dans le domaine plongeant à 45.9 pour le mois dernier, sa valeur la plus basse des 34 derniers mois, contre 47.7 en mars, et une évaluation préliminaire à 46.
Celui de l'Allemagne avait subi de son côté sa chute la plus abrupte depuis juillet 2009, avec un dérapage de 48.4 vers 46.2, tandis qu'une étude signalait une augmentation du taux de chômage national pour le mois dernier.
Ces chiffres ont éclipsé les bons résultats de la Chine et des US, sur fond renouveau des craintes concernant la croissance économique mondiale.
Il avait été montré que le secteur secondaire des Etats-Unis avait connu en avril son expansion la plus rapide des dix derniers mois, étouffant l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance américaine, et diminuant du même coup l'attente d'une troisième série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
L'indice manufacturier HSBC de la Chine est quand à lui remontré de 48.3 à 49.3 dans le même temps, laissant deviner une reprise de la seconde économie mondiale après son ralentissement du premier trimestre.
Les acteurs du marché pétrolier demeuraient toutefois prudents dans l'expectative du rapport du département d'état à l'énergie des Etats-Unis sur le niveau des stocks du pays, attendu en fin de journée.
Celui établi par les spécialistes de l'institut du pétrole américain estimait hier qu'ils avaient engrangé 2.04 millions de barils pour la semaine achevée le 27 avril.
Les observateurs attendaient désormais de connaître l'état du marché de l'emploi américain, dont la révélation est prévue pour vendredi, après que celui de mars ait mis en évidence une diminution des embauches du premier consommateur mondial.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont fléchi de 0.29% pour descendre à 119.31 USD du baril dans le même temps, soit 13.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.