Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé en baisse de 1,54% lundi, alors que les inquiétudes au sujet de la croissance et l'incertitude des résultats des entreprises continuaient de peser sur le moral des investisseurs.
La prudence restait de mise alors que les ministres européens des finances devaient se réunir plus tard dans la journée à Luxembourg, afin d'aborder, entre autres, la question de l'Espagne.
Par ailleurs, la chancelière allemande Angela Merkel se rendra en Grèce mardi, pour la première fois depuis juillet 2007.
Plus tôt lundi, l'Allemand Klaus Regling a annoncé le lancement officiel du Mécanisme européen de stabilité (MES), qui sera en mesure de prêter environ 200 milliards d'euros d'ici fin octobre sur une enveloppe totale de 500 milliards.
Sur le front des statistiques, le ralentissement de la plupart des grandes économies devrait se poursuivre, selon les indicateurs avancés publiés par l’OCDE. Les indicateurs composites pour la zone OCDE, la zone euro et le G7 ont diminué d’un dixième de point en août.
De son côté, la Banque mondiale a révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour les régions Asie orientale et Pacifique en signalant que le ralentissement en Chine pourrait s’accentuer et durer plus longtemps que prévu.
L’économie française devrait se contracter de 0,1% au troisième trimestre, selon la Banque de France, qui confirme sa précédente estimation. Son enquête de conjoncture reflète par ailleurs une baisse de 1 point à 92 de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie en septembre, tandis que celui concernant le secteur des services reste stable à 91 points.
Du côté des valeurs, les cycliques restaient dans le rouge en fin de séance. Saint-Gobain reculait de 3,09% à la clôture du CAC 40 et ArcelorMittal cédait 1,49%, tandis que Schneider Electric glissait de 3,15%.
Egalement dans le rouge, EADS lâchait 0,68% à la fermeture du marché, alors que la société d'investissements Invesco Perpetual, premier actionnaire de BAE Systems avec 13,3% du capital, a fait part de "réserves significatives" concernant le projet de fusion avec la maison mère d"Airbus.
Le Royaume-Uni a également fait savoir qu'il restera opposé à toute participation des Etats supérieure à 9% dans l'entité issue de la fusion des deux groupes.
Les banques ont, elles aussi, terminé la journée en forte baisse. En fin de séance, BNP Paribas abandonnait 1,84%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole pliaient de 2,55% et de 1,92% respectivement.
Enfin, Sanofi reculait de 1,35% à la fermeture, alors que le groupe a indiqué que les résultats de l’étude de phase III sur le Zaltrap dans le traitement du cancer colorectal métastatique révèlent une amélioration de manière "statistiquement significative" de la survie globale des patients.
A l'inverse, PPR continuait de se distinguer en signant l'unique progression de l'indice parisien, lundi. Le titre engrangeait 2,22% en fin de séance, alors que le Journal du Dimanche révélait plus tôt que le groupe envisage de céder la Fnac et la Redoute dans le cadre d’un recentrage stratégique sur le luxe.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 1,35%, le DAX pliait de 1,42% et le Footsie 100 perdait 0,51%.
Aucun indicateur américain n'était attendu dans la journée.
Les volumes d’échanges restaient, par ailleurs, très limités étant donné que nombre d’intervenants américains étaient absents en ce jour férié de Columbus Day, même si Wall Street était ouverte.
La prudence restait de mise alors que les ministres européens des finances devaient se réunir plus tard dans la journée à Luxembourg, afin d'aborder, entre autres, la question de l'Espagne.
Par ailleurs, la chancelière allemande Angela Merkel se rendra en Grèce mardi, pour la première fois depuis juillet 2007.
Plus tôt lundi, l'Allemand Klaus Regling a annoncé le lancement officiel du Mécanisme européen de stabilité (MES), qui sera en mesure de prêter environ 200 milliards d'euros d'ici fin octobre sur une enveloppe totale de 500 milliards.
Sur le front des statistiques, le ralentissement de la plupart des grandes économies devrait se poursuivre, selon les indicateurs avancés publiés par l’OCDE. Les indicateurs composites pour la zone OCDE, la zone euro et le G7 ont diminué d’un dixième de point en août.
De son côté, la Banque mondiale a révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour les régions Asie orientale et Pacifique en signalant que le ralentissement en Chine pourrait s’accentuer et durer plus longtemps que prévu.
L’économie française devrait se contracter de 0,1% au troisième trimestre, selon la Banque de France, qui confirme sa précédente estimation. Son enquête de conjoncture reflète par ailleurs une baisse de 1 point à 92 de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie en septembre, tandis que celui concernant le secteur des services reste stable à 91 points.
Du côté des valeurs, les cycliques restaient dans le rouge en fin de séance. Saint-Gobain reculait de 3,09% à la clôture du CAC 40 et ArcelorMittal cédait 1,49%, tandis que Schneider Electric glissait de 3,15%.
Egalement dans le rouge, EADS lâchait 0,68% à la fermeture du marché, alors que la société d'investissements Invesco Perpetual, premier actionnaire de BAE Systems avec 13,3% du capital, a fait part de "réserves significatives" concernant le projet de fusion avec la maison mère d"Airbus.
Le Royaume-Uni a également fait savoir qu'il restera opposé à toute participation des Etats supérieure à 9% dans l'entité issue de la fusion des deux groupes.
Les banques ont, elles aussi, terminé la journée en forte baisse. En fin de séance, BNP Paribas abandonnait 1,84%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole pliaient de 2,55% et de 1,92% respectivement.
Enfin, Sanofi reculait de 1,35% à la fermeture, alors que le groupe a indiqué que les résultats de l’étude de phase III sur le Zaltrap dans le traitement du cancer colorectal métastatique révèlent une amélioration de manière "statistiquement significative" de la survie globale des patients.
A l'inverse, PPR continuait de se distinguer en signant l'unique progression de l'indice parisien, lundi. Le titre engrangeait 2,22% en fin de séance, alors que le Journal du Dimanche révélait plus tôt que le groupe envisage de céder la Fnac et la Redoute dans le cadre d’un recentrage stratégique sur le luxe.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 1,35%, le DAX pliait de 1,42% et le Footsie 100 perdait 0,51%.
Aucun indicateur américain n'était attendu dans la journée.
Les volumes d’échanges restaient, par ailleurs, très limités étant donné que nombre d’intervenants américains étaient absents en ce jour férié de Columbus Day, même si Wall Street était ouverte.