Investing.com - L'euro s'est établi à de nouveaux sommets face au dollar U.S. ce mardi après-midi, suite à la réussite des enchères italiennes.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.296 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis vendredi, puis s'est stabilisée vers 1.2959, prenant 0.42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2881, son plancher de deux semaines datant du 26 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.3022, son plafond du 25.
Rome a en effet émis pour 3 milliards d'euros de bons du trésor courant jusqu'en novembre 2022 à un taux moyen de 4.92%, contre 5.24% auparavant.
Elle a aussi écoulé pour 4 milliards d'euros en obligation quinquennales à 3.8%, à comparer aux 3.09% du mois dernier.
Les craintes au sujet des perspectives économiques du bloc ayant adopté la monnaie unique étaient pourtant repassées au premier plan, après qu'une étude émanant des autorités ait dénombré pour octobre 20 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en Allemagne, soit le double des 10 000 déjà redoutés.
Le taux de chômage a du coup fremi jusqu'à 6.9%, atteignant ainsi le niveau de septembre après révision à la hausse des 6.8% initialement mesurés.
Il était cependant à noter que des chiffres officiels avaient montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, au lieu des 0.4% redoutés, prolongeant cependant la récession jusqu'à une durée d'un an.
Cette information survenait au lendemain de l'intervention de Mariano Rajoy, son premier ministre, affirmant hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
La devise européenne a par ailleurs dominé la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.19% pour grimper à 0.8062, mais demeurait sur la défensive par rapport au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0.08% pour déraper à 102.87.
L'unité monétaire nippone avait retrouvé des couleurs après que les accomodements supplémentaires adoptés par la Banque du Japon aient déçu les attentes de mesures plus agressives.
Le volume des transactinos semblait devoir rester limité, les marchés américains s'apprêtant à rester clos pour la seconde journée d'affilée en raison des problèmes qui pourraient découler de l'ouragan Sandy.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.296 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis vendredi, puis s'est stabilisée vers 1.2959, prenant 0.42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2881, son plancher de deux semaines datant du 26 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.3022, son plafond du 25.
Rome a en effet émis pour 3 milliards d'euros de bons du trésor courant jusqu'en novembre 2022 à un taux moyen de 4.92%, contre 5.24% auparavant.
Elle a aussi écoulé pour 4 milliards d'euros en obligation quinquennales à 3.8%, à comparer aux 3.09% du mois dernier.
Les craintes au sujet des perspectives économiques du bloc ayant adopté la monnaie unique étaient pourtant repassées au premier plan, après qu'une étude émanant des autorités ait dénombré pour octobre 20 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en Allemagne, soit le double des 10 000 déjà redoutés.
Le taux de chômage a du coup fremi jusqu'à 6.9%, atteignant ainsi le niveau de septembre après révision à la hausse des 6.8% initialement mesurés.
Il était cependant à noter que des chiffres officiels avaient montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, au lieu des 0.4% redoutés, prolongeant cependant la récession jusqu'à une durée d'un an.
Cette information survenait au lendemain de l'intervention de Mariano Rajoy, son premier ministre, affirmant hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
La devise européenne a par ailleurs dominé la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.19% pour grimper à 0.8062, mais demeurait sur la défensive par rapport au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0.08% pour déraper à 102.87.
L'unité monétaire nippone avait retrouvé des couleurs après que les accomodements supplémentaires adoptés par la Banque du Japon aient déçu les attentes de mesures plus agressives.
Le volume des transactinos semblait devoir rester limité, les marchés américains s'apprêtant à rester clos pour la seconde journée d'affilée en raison des problèmes qui pourraient découler de l'ouragan Sandy.