Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur un dollar U.S. largement affaibli ce lundi matin, son adversaire subissant les incertitudes découlant de l'impasse aux Etats-Unis, et le spectre d'un défaut de paieent de leur part.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,6056 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6054, prenant 0,28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5978, son plancher du 25 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1,6176, son plafond de vendredi.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, a en effet assuré que ceux-ci ne voteraient pas la relaance des institutions ni ne remonteraient la limite de l'endettement tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas de discuter de leurs exigences de réductions de dépenses.
Ces propos ont du coup alimenté la crainte d'une poursuite de l'impasse au-delà du 17 octobre, date à laquelle le ministère des finances a averti qu'un défaut de paiement sans précédent était possible.
Les retards dans les divulgations des statistiques sapaient la crédibilité des rumeurs de réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Le rapport crucial sur l'emploi non agricole pour septembre n'a notamment pas été publié vendredi, en raison des retards entraînés par la paralysie des administrations, et aucune information n'a filtré sur le moment où il le serait.
La Banque mondiale a quand à elle revu à la baisse ses prédictions de croissance pour la Chine, avec seulement 7,5% au lieu des 8,3% espérés en avril pour cette année, et 7,7% pour l'année prochaine, contre 8% envisagés auparavant.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,04% pour glisser à 0,8462.
Le bloc ayant édopté la monnaie unique comptait de son côté fournir aujourd'hui les chiffres révisés de la croissance au second trimestre.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,6056 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6054, prenant 0,28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5978, son plancher du 25 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1,6176, son plafond de vendredi.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, a en effet assuré que ceux-ci ne voteraient pas la relaance des institutions ni ne remonteraient la limite de l'endettement tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas de discuter de leurs exigences de réductions de dépenses.
Ces propos ont du coup alimenté la crainte d'une poursuite de l'impasse au-delà du 17 octobre, date à laquelle le ministère des finances a averti qu'un défaut de paiement sans précédent était possible.
Les retards dans les divulgations des statistiques sapaient la crédibilité des rumeurs de réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Le rapport crucial sur l'emploi non agricole pour septembre n'a notamment pas été publié vendredi, en raison des retards entraînés par la paralysie des administrations, et aucune information n'a filtré sur le moment où il le serait.
La Banque mondiale a quand à elle revu à la baisse ses prédictions de croissance pour la Chine, avec seulement 7,5% au lieu des 8,3% espérés en avril pour cette année, et 7,7% pour l'année prochaine, contre 8% envisagés auparavant.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,04% pour glisser à 0,8462.
Le bloc ayant édopté la monnaie unique comptait de son côté fournir aujourd'hui les chiffres révisés de la croissance au second trimestre.