Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note mitigée ce lundi matin, la bonne surprise causée par le marché de l'emploi des Etats-Unis pour le mois passé ayant ranimé les rumeurs d'un tour de vis de la part de leur banque centrale.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,25%, mais le Hang Seng de Hong Kong gagnait 0,9% et le Nikkei 225 japonais 1,3%.
Le département d'état au travail américain en effet compté vendredi 204.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de seulement 125.000 était envisagée, tandis que le total précédent de 148.000 était revu vers le haut jusqu'à 163.000.
Ces assez bonnes nouvelles laissaient du coup envisager que la Réserve Fédérale pourrait réduire le volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès le mois prochain.
Sydney se trouvait tirée vers le bas par un secteur bancaire en berne.
L'ANZ Banking Groupe plongeait ainsi de 1,75%, le Commonwealth Banking Group de 0,95% et la National Australia Bank de 0?65%, tandis que le Westpac Banking Group limitait les dégâts à 0,2%.
Hong Kong avait par contre le sourire après qu'il ait été noté en fin de semaine que la production industrielle de la Chine avait dvantage augmenté en octobre qu'espéré, tandis que ses prix à la consommation n'augmeentaient que modérément;
La première a ainsi bondi de 10,3% le mois passé, au lieu des 10,0% anticipés, tandis que la seconde frémissait depuis 3,1 vers 3,2%, au lieu des 3,3% qui semblaient probables.
L'attention était concentrée pour mardi sur les conclusions du congrès crucial de quatre jours du parti communiste de la Chine, avec l'espoir que la nouvelle équipe dirigeante dévoile des réformes économiques.
Le secteur financier en profitait pour se placer en pointe, la China Construction Bank encaissant et la China Minsheng Bank encaissant chacune 2,2% dépassées par l'Industrial and Commercial Bank of China avec 2,7%.
Tokyo émergeait avec l'oeil fixé une fois de plus sur le marché des changes.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 99,23, à comparer au creux à 97,96 établi vendredi, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Honda et Nissan accéléraient ainsi de 1,7 et 1,6%, suivis de Fanuc et Komatsu avec 1,05 et 1,25%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt timide malgré le flou ambiant.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,2% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0,35%.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,25%, mais le Hang Seng de Hong Kong gagnait 0,9% et le Nikkei 225 japonais 1,3%.
Le département d'état au travail américain en effet compté vendredi 204.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de seulement 125.000 était envisagée, tandis que le total précédent de 148.000 était revu vers le haut jusqu'à 163.000.
Ces assez bonnes nouvelles laissaient du coup envisager que la Réserve Fédérale pourrait réduire le volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès le mois prochain.
Sydney se trouvait tirée vers le bas par un secteur bancaire en berne.
L'ANZ Banking Groupe plongeait ainsi de 1,75%, le Commonwealth Banking Group de 0,95% et la National Australia Bank de 0?65%, tandis que le Westpac Banking Group limitait les dégâts à 0,2%.
Hong Kong avait par contre le sourire après qu'il ait été noté en fin de semaine que la production industrielle de la Chine avait dvantage augmenté en octobre qu'espéré, tandis que ses prix à la consommation n'augmeentaient que modérément;
La première a ainsi bondi de 10,3% le mois passé, au lieu des 10,0% anticipés, tandis que la seconde frémissait depuis 3,1 vers 3,2%, au lieu des 3,3% qui semblaient probables.
L'attention était concentrée pour mardi sur les conclusions du congrès crucial de quatre jours du parti communiste de la Chine, avec l'espoir que la nouvelle équipe dirigeante dévoile des réformes économiques.
Le secteur financier en profitait pour se placer en pointe, la China Construction Bank encaissant et la China Minsheng Bank encaissant chacune 2,2% dépassées par l'Industrial and Commercial Bank of China avec 2,7%.
Tokyo émergeait avec l'oeil fixé une fois de plus sur le marché des changes.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 99,23, à comparer au creux à 97,96 établi vendredi, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Honda et Nissan accéléraient ainsi de 1,7 et 1,6%, suivis de Fanuc et Komatsu avec 1,05 et 1,25%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt timide malgré le flou ambiant.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,3%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,2% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0,35%.