Investing.com - Les bourses européennes faisaient du surplace ce lundi matin, la nervosité étant de mise face aux incertitudes concernant un éventuel début de fermeture des robinets de la banque centrale américaine dès sa prise de cap de décembre.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,05%, mais le CAC 40 français grignotait 0,01%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0,05%.
Le département d'état au travail américain en effet compté vendredi 204.000 créations de postes pour la période considérée, alors qu'une addition de seulement 125.000 était envisagée, tandis que le taux de chômage remontait cependant depuis son creux de près de cinq ans de septembre à 7,2% jusqu'à 7,3%.
Ces assez bonnes nouvelles laissaient espérer que l'économie nationale n'avait guère été affectée par les récentes mises à pied des fonctionnaires, et que la Réserve Fédérale pourrait réduire le volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs avant la fin de l'année.
Les valeurs régionales avaient pour leur part le vent en poulpe après que la Banque Centrale Européenne ait rabaissé sans crier gare en fin de semaine son taux directeur de 0,5 à 0,25%, et laissé entendre qu'il était encore possible de le voir diminuer.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,23%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,28 et 0,32%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,25 et 0,62%, l'italiens Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,05%.
A Francfort, l'opérateur Deutsche Telekom dégringolait de 2,52% après avoir accepté d'acquérir GTS Central Europe pour 546 millions d'euros, et ainsi renforcer sa présence sur les lignes fixes dans les pays où il est surtout présent sur les réseau mobiles.
A Londres, le FTSE 100, dont le secteur bancaire pèse son poids, trébuchait de 0,01%, tiré vers le bas par l'effondrement de 9,88% de RSA Insurance, l'assureur ayant avoué hier soir avoir mandaté le cabinet PwC pour auditer ses départements créances et finances irlandais.
La City était cependant moin s unanime que le continent, HSBC Holdings se rétractant de 0,14% et Barclays de 0,02%, tandis que la Royal Bank of Scotland empochait 0,59% et Lloyds Banking 2,18%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Glencore Xstrata fondant respectivement de 1,12 et 0,66%, leur rival Rio Tinto n'étant pas à l'abri avec 1,33%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'anxiété ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,05%, mais le CAC 40 français grignotait 0,01%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0,05%.
Le département d'état au travail américain en effet compté vendredi 204.000 créations de postes pour la période considérée, alors qu'une addition de seulement 125.000 était envisagée, tandis que le taux de chômage remontait cependant depuis son creux de près de cinq ans de septembre à 7,2% jusqu'à 7,3%.
Ces assez bonnes nouvelles laissaient espérer que l'économie nationale n'avait guère été affectée par les récentes mises à pied des fonctionnaires, et que la Réserve Fédérale pourrait réduire le volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs avant la fin de l'année.
Les valeurs régionales avaient pour leur part le vent en poulpe après que la Banque Centrale Européenne ait rabaissé sans crier gare en fin de semaine son taux directeur de 0,5 à 0,25%, et laissé entendre qu'il était encore possible de le voir diminuer.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,23%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,28 et 0,32%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,25 et 0,62%, l'italiens Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,05%.
A Francfort, l'opérateur Deutsche Telekom dégringolait de 2,52% après avoir accepté d'acquérir GTS Central Europe pour 546 millions d'euros, et ainsi renforcer sa présence sur les lignes fixes dans les pays où il est surtout présent sur les réseau mobiles.
A Londres, le FTSE 100, dont le secteur bancaire pèse son poids, trébuchait de 0,01%, tiré vers le bas par l'effondrement de 9,88% de RSA Insurance, l'assureur ayant avoué hier soir avoir mandaté le cabinet PwC pour auditer ses départements créances et finances irlandais.
La City était cependant moin s unanime que le continent, HSBC Holdings se rétractant de 0,14% et Barclays de 0,02%, tandis que la Royal Bank of Scotland empochait 0,59% et Lloyds Banking 2,18%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Glencore Xstrata fondant respectivement de 1,12 et 0,66%, leur rival Rio Tinto n'étant pas à l'abri avec 1,33%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'anxiété ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.