Investing.com - Les options sur le brut ont conclu en retrait, leurs équivalents londoniens bondissant au contraire vers un pic de six semaines alors que tous les yeux se tournaient vers les pourparlers de Genève, visant à apaiser les tensions entre le pouvoir iranien et l'Occident, et desserrer l'étau freinant ses exportations.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 94,84 USD le baril à la clôture des transactions, avec un passage à vide de 0,63%.
La veille les avait vus grimper à 95,63 USD, leur plus haut niveau depuis le premier novembre, pour finir à 95,44 USD avec un sursaut de 1,69%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 93,25 USD, leur plancher du 20 novembre, et rencontrer de la résistance à court terme à 96,64 USD, leur pic du début de mois.
Ils auront ainsi engrangé 1,05% pour leur première progression hebdomadaire en sept semaines, de beaux chiffres américains ayant apaisé l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance du premier consommateur de la planète.
Des évaluations préliminaires montraient ainsi jeudi que l'activité du secteur secondaire des Etats-Unis avait grimpé en novembre de 51,8 vers 54,3, un pic de huit mois.
Le département d'état au travail avait pour sa part dénombré 21.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 16 octobre, pour un total hebdomadaire de 323.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis septembre.
Mais l'augmentation des réserves du pays mettait un frein à tutes les velléités de flambée.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis avait souligné mercredi qu'elles avaient accumulé 375.000 barils la semaine passée, pour un volume total de 388,5 millions de barils, leur niveau le plus élevé depuis juin.
L'attention est désormais rivée sur leurs prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Les statistiques de l'immobilier, du moral des consommateurs et du volume des commandes de biens durables des Etats-Unis seront au coeur de débats des jours à venir.
Les décideurs de la Réserve Fédérale avaient une nouvelle fois rappelé mercredi dans le compte-rendu détaillé de leur plus récente prise de cap que celle-ci pourrait réduire la voilure de ses rachats d'actifs "dans les prochains mois" au cas où l'économie progresserait comme escompté.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont pour leur part empoché 0,88% vendredi pour grimper à 111,05 USD du baril.
Ils avaient auparavant culminé à 111,40 USD, leur plus forte valeur depuis le 14 octobre, alors que les négociations entre les plus grosses puissances mondiales et l'Iran semblaient s'enliser, et que se ranimait le spectre d'une perturbation des flux provenant de Libye.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un bond de 2,29%, pour s'établir à 16,21 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus large depuis mars.
Ils devraient cependant replonger dans les prochains jours, après qu'un consensus historique concernant le programme nucléaire de Téhéran ait été dégagé en fin de semaine.
Les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont ainsi pu conclure avec un "premier accord" visant à limiter ses ambitions en l'échange d'un assouplissement des sanctions touchant les exportations d'or noir iraniennes en réactions aux allégations selon lesquelles le pays chercherait à développer l'arme atomique.
Les restrictions commerciales prises en réponse ont retiré plus d'un million de barils quotidiens du marché mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 94,84 USD le baril à la clôture des transactions, avec un passage à vide de 0,63%.
La veille les avait vus grimper à 95,63 USD, leur plus haut niveau depuis le premier novembre, pour finir à 95,44 USD avec un sursaut de 1,69%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 93,25 USD, leur plancher du 20 novembre, et rencontrer de la résistance à court terme à 96,64 USD, leur pic du début de mois.
Ils auront ainsi engrangé 1,05% pour leur première progression hebdomadaire en sept semaines, de beaux chiffres américains ayant apaisé l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance du premier consommateur de la planète.
Des évaluations préliminaires montraient ainsi jeudi que l'activité du secteur secondaire des Etats-Unis avait grimpé en novembre de 51,8 vers 54,3, un pic de huit mois.
Le département d'état au travail avait pour sa part dénombré 21.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 16 octobre, pour un total hebdomadaire de 323.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis septembre.
Mais l'augmentation des réserves du pays mettait un frein à tutes les velléités de flambée.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis avait souligné mercredi qu'elles avaient accumulé 375.000 barils la semaine passée, pour un volume total de 388,5 millions de barils, leur niveau le plus élevé depuis juin.
L'attention est désormais rivée sur leurs prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Les statistiques de l'immobilier, du moral des consommateurs et du volume des commandes de biens durables des Etats-Unis seront au coeur de débats des jours à venir.
Les décideurs de la Réserve Fédérale avaient une nouvelle fois rappelé mercredi dans le compte-rendu détaillé de leur plus récente prise de cap que celle-ci pourrait réduire la voilure de ses rachats d'actifs "dans les prochains mois" au cas où l'économie progresserait comme escompté.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont pour leur part empoché 0,88% vendredi pour grimper à 111,05 USD du baril.
Ils avaient auparavant culminé à 111,40 USD, leur plus forte valeur depuis le 14 octobre, alors que les négociations entre les plus grosses puissances mondiales et l'Iran semblaient s'enliser, et que se ranimait le spectre d'une perturbation des flux provenant de Libye.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un bond de 2,29%, pour s'établir à 16,21 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus large depuis mars.
Ils devraient cependant replonger dans les prochains jours, après qu'un consensus historique concernant le programme nucléaire de Téhéran ait été dégagé en fin de semaine.
Les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont ainsi pu conclure avec un "premier accord" visant à limiter ses ambitions en l'échange d'un assouplissement des sanctions touchant les exportations d'or noir iraniennes en réactions aux allégations selon lesquelles le pays chercherait à développer l'arme atomique.
Les restrictions commerciales prises en réponse ont retiré plus d'un million de barils quotidiens du marché mondial.