Investing.com - L'euro a progressé face à la livre sterling ce mercredi, mais est demeurée entravée par les craintes des investisseurs concernant le referendum prévu en Grèce, et par un secteur du bâtiment britannique en eilleure forme qu'espéré.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8614 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8612, prenant 0.25%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8547, son plancher mensuel d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 0.8647, son plafond du 5 octobre.
George Papandreou, premier ministre de la Grèce, avait auparavant obtenu le soutien de son gouvernement concernant la consultation populaire au sujet du plan de sauvetage à hauteur de 130 milliards d'euros et prévoyait de rencontrer ses homologues de France et d'Allemagne dans la journée afin d'en discuter.
Son rejet remettrait en question l'attribution de la prochaine tranche d'aides à Athènese, rapprochant ainsi la nation hellène d'un défaut de paiement et augmentant le risque de contagion des marchés financiers mondiaux.
Une étude dévoilée ce mercredi par des acteurs du secteur du bâtiment de la Grande-Bretagne avait montré une hausse de son activité supérieure aux attentes pour octobre.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine de la construction élaboré par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS montrait effectivement une augmentation de 3.8 points pour se situer à 53.9 ajustés pour le mois, après s'être retrouvé à 50.1 lors du précédent, dépassant ainsi largement les 50.2 prévus par les experts.
Cette nouvelle est survenue au lendemain du rapport soulignant la plus forte contraction du secteur manufacturier du pays en plus de deux ans sur la même période.
La monnaie unique a également gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD gagnant 0.54% pour se hisser à 1.3776.
Les experts des Etats-Unis devaient dévoiler dans l'après-midi leurs informations concernant la masse salariale hors agriculture, puis la banque centrale américaine conclura ses deux jours de réunion d'orientation, et Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse sur la question.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8614 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8612, prenant 0.25%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8547, son plancher mensuel d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 0.8647, son plafond du 5 octobre.
George Papandreou, premier ministre de la Grèce, avait auparavant obtenu le soutien de son gouvernement concernant la consultation populaire au sujet du plan de sauvetage à hauteur de 130 milliards d'euros et prévoyait de rencontrer ses homologues de France et d'Allemagne dans la journée afin d'en discuter.
Son rejet remettrait en question l'attribution de la prochaine tranche d'aides à Athènese, rapprochant ainsi la nation hellène d'un défaut de paiement et augmentant le risque de contagion des marchés financiers mondiaux.
Une étude dévoilée ce mercredi par des acteurs du secteur du bâtiment de la Grande-Bretagne avait montré une hausse de son activité supérieure aux attentes pour octobre.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine de la construction élaboré par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS montrait effectivement une augmentation de 3.8 points pour se situer à 53.9 ajustés pour le mois, après s'être retrouvé à 50.1 lors du précédent, dépassant ainsi largement les 50.2 prévus par les experts.
Cette nouvelle est survenue au lendemain du rapport soulignant la plus forte contraction du secteur manufacturier du pays en plus de deux ans sur la même période.
La monnaie unique a également gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD gagnant 0.54% pour se hisser à 1.3776.
Les experts des Etats-Unis devaient dévoiler dans l'après-midi leurs informations concernant la masse salariale hors agriculture, puis la banque centrale américaine conclura ses deux jours de réunion d'orientation, et Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse sur la question.