Investing.com - L'euro était en progression face au dollar U.S. ce mercredi, stimulé par l'amélioration des chiffres du secteur secondaire de la zone euro et l'espoir d'une finalisation de l'accord sur la restructuration de la dette de la Grèce dès cette semaine.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3151 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3127, gagnant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.293, son plancher du 25 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.3213, son plafond d'hier.
La monnaie unique a retrouvé du poil de la bête suite à un début de matinée difficile après qu'il ait été signalé que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la zone euro était remonté de 46.9 à 48.8 en décembre, l'Allemagne demeurant toutefois la seule du bloc à dépasser les 50, seuil dénotant l'expansion.
L'estimation préliminaire de l'inflation des prix au détail montrait quand à elle un ralentissement, passant de 2.8 à 2.7% annualisés d'un mois sur l'autre, laissant ainsi davantage de marge de manoeuvre à la Banque Centrale Européenne pour rabaisser ses taux.
Les autorités hellènes avaient laissé entendre en début de semaine que les autrs débats, avec les créanciers privés, étaient très proches d'un consensus, mais l'angoisse que les échanges de dettes ne suffisent pas à réduire le fardeau du surendettement national autant que nécessaire demeurait.
Le portugal avait quand à lui vu s'alléger les taux de ses emprunts lors de son émission d'obligations gouvernementales de la mi-journée, mais ceux de ses bons décennaux restaient proches de leurs plus hauts niveaux jamais vus depuis l'adoption de la devise européenne, ravivant le spectre d'un recours à un plan similaire.
Cette dernière a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.2% pour se hisser à 0.8318.
Les Etats-Unis verront leurs experts de l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendre en fin de journée une étude sur les variations de l'emploi non agricole, et leur institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité manufacturière nationale.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3151 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3127, gagnant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.293, son plancher du 25 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.3213, son plafond d'hier.
La monnaie unique a retrouvé du poil de la bête suite à un début de matinée difficile après qu'il ait été signalé que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la zone euro était remonté de 46.9 à 48.8 en décembre, l'Allemagne demeurant toutefois la seule du bloc à dépasser les 50, seuil dénotant l'expansion.
L'estimation préliminaire de l'inflation des prix au détail montrait quand à elle un ralentissement, passant de 2.8 à 2.7% annualisés d'un mois sur l'autre, laissant ainsi davantage de marge de manoeuvre à la Banque Centrale Européenne pour rabaisser ses taux.
Les autorités hellènes avaient laissé entendre en début de semaine que les autrs débats, avec les créanciers privés, étaient très proches d'un consensus, mais l'angoisse que les échanges de dettes ne suffisent pas à réduire le fardeau du surendettement national autant que nécessaire demeurait.
Le portugal avait quand à lui vu s'alléger les taux de ses emprunts lors de son émission d'obligations gouvernementales de la mi-journée, mais ceux de ses bons décennaux restaient proches de leurs plus hauts niveaux jamais vus depuis l'adoption de la devise européenne, ravivant le spectre d'un recours à un plan similaire.
Cette dernière a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.2% pour se hisser à 0.8318.
Les Etats-Unis verront leurs experts de l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendre en fin de journée une étude sur les variations de l'emploi non agricole, et leur institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité manufacturière nationale.