Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a fermé en baisse de 0,53% mercredi, alors que les investisseurs privilégiaient la prudence avant la publication des résultats des entreprises et que les craintes au sujet de la croissance mondiale persistaient.
Le géant américain de l'aluminium Alcoa a lancé la saison des publications mardi soir en faisant légèrement mieux que prévu au troisième trimestre. En revanche, le pétrolier Chevron a prévenu que ses résultats accuseraient une baisse "substantielle" par rapport au deuxième trimestre.
Le marché restait, par ailleurs, effecté par les dernières prévisions de croissance du Fonds monétaire international (FMI), marquées par un léger regain de pessimisme. Le PIB mondial ne devrait plus croître que de 3,3% cette année, contre +3,5% prévus jusqu'alors.
Sur le plan macroéconomique, les prix de gros ont augmenté de 1,3% en Allemagne le mois dernier et de 4,2% sur un an.
En France, la production industrielle progressé de 1,5% en août, tandis que la production manufacturière (hors alimentation et énergie) a augmenté de 1,8%.
Du côté des valeurs, Publicis restait dans le rouge et reculait de 2,26% à la clôture, alors qu'Exane BNP Paribas a indiqué que la croissance organique du groupe devrait être inférieure aux attentes au troisième trimestre en raison de l’affaiblissement des marchés publicitaires depuis juillet, avec une nouvelle dégradation en septembre.
Egalement en baisse, Saint-Gobain abandonnait 2,09% en fin de séance. Plus tôt dans la journée, UBS a dégradé le titre de "achat" à "neutre".
Par ailleurs, STMicroelectronics perdait 0,88% à la fermeture du CAC 40, après qu'Exane BNP Paribas est passé de "sous-performance" à "neutre" sur le titre, estimant que, au prix actuel de l’action, toute information relative à ST-Ericsson et sa revue stratégique serait considérée comme un "énorme soulagement".
A l'inverse, PPR a terminé la séance sur un rebond de 2,54%, soutenu par la confirmation et la validation "à l'unanimité" par le conseil d’administration du principe de la scission de la Fnac, qui sera mise en Bourse en 2013, afin de se concentrer sur le luxe et la mode sportive.
Les groupes télécoms restaient également dans le vert en fin de journée, suivant les déclarations du gouvernement mardi soir, rappelant que la filiale d’Iliad Free devra à terme déployer son propre réseau de téléphonie mobile dans les grandes villes.
France Télécom engrangeait 0,86% à la clôture du marché et Bouygues s'octroyait 2,20%.
Enfin, les valeurs financières évoluaient sans tendance, encore pénalisées par l'incertitude entourant l'intention ou non du gouvernement espagnol de demander une aide financière internationale.
En fin de séance, BNP Paribas lâchait 0,71% et Société Générale cédait 0,09%, tandis que Crédit Agricole s'appréciait de 0,51%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,68%, le DAX cédait 0,38% et le Footsie 100 pliait de 0,59%.
Autre événement de la journée, l'Italie a procédé à l’adjudication de 11 milliards d’euros de bons du Trésor à court terme, soit le haut de la fourchette visée.
Le rendement moyen de l’emprunt à trois mois est ressorti à 0,76%, contre 0,70% en septembre, et celui du papier à un an à 1,94%, au plus haut depuis la mi-août, contre 1,69% le mois dernier.
Le géant américain de l'aluminium Alcoa a lancé la saison des publications mardi soir en faisant légèrement mieux que prévu au troisième trimestre. En revanche, le pétrolier Chevron a prévenu que ses résultats accuseraient une baisse "substantielle" par rapport au deuxième trimestre.
Le marché restait, par ailleurs, effecté par les dernières prévisions de croissance du Fonds monétaire international (FMI), marquées par un léger regain de pessimisme. Le PIB mondial ne devrait plus croître que de 3,3% cette année, contre +3,5% prévus jusqu'alors.
Sur le plan macroéconomique, les prix de gros ont augmenté de 1,3% en Allemagne le mois dernier et de 4,2% sur un an.
En France, la production industrielle progressé de 1,5% en août, tandis que la production manufacturière (hors alimentation et énergie) a augmenté de 1,8%.
Du côté des valeurs, Publicis restait dans le rouge et reculait de 2,26% à la clôture, alors qu'Exane BNP Paribas a indiqué que la croissance organique du groupe devrait être inférieure aux attentes au troisième trimestre en raison de l’affaiblissement des marchés publicitaires depuis juillet, avec une nouvelle dégradation en septembre.
Egalement en baisse, Saint-Gobain abandonnait 2,09% en fin de séance. Plus tôt dans la journée, UBS a dégradé le titre de "achat" à "neutre".
Par ailleurs, STMicroelectronics perdait 0,88% à la fermeture du CAC 40, après qu'Exane BNP Paribas est passé de "sous-performance" à "neutre" sur le titre, estimant que, au prix actuel de l’action, toute information relative à ST-Ericsson et sa revue stratégique serait considérée comme un "énorme soulagement".
A l'inverse, PPR a terminé la séance sur un rebond de 2,54%, soutenu par la confirmation et la validation "à l'unanimité" par le conseil d’administration du principe de la scission de la Fnac, qui sera mise en Bourse en 2013, afin de se concentrer sur le luxe et la mode sportive.
Les groupes télécoms restaient également dans le vert en fin de journée, suivant les déclarations du gouvernement mardi soir, rappelant que la filiale d’Iliad Free devra à terme déployer son propre réseau de téléphonie mobile dans les grandes villes.
France Télécom engrangeait 0,86% à la clôture du marché et Bouygues s'octroyait 2,20%.
Enfin, les valeurs financières évoluaient sans tendance, encore pénalisées par l'incertitude entourant l'intention ou non du gouvernement espagnol de demander une aide financière internationale.
En fin de séance, BNP Paribas lâchait 0,71% et Société Générale cédait 0,09%, tandis que Crédit Agricole s'appréciait de 0,51%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,68%, le DAX cédait 0,38% et le Footsie 100 pliait de 0,59%.
Autre événement de la journée, l'Italie a procédé à l’adjudication de 11 milliards d’euros de bons du Trésor à court terme, soit le haut de la fourchette visée.
Le rendement moyen de l’emprunt à trois mois est ressorti à 0,76%, contre 0,70% en septembre, et celui du papier à un an à 1,94%, au plus haut depuis la mi-août, contre 1,69% le mois dernier.