Investing.com - Le dollar U.S. a largement rendu la main après avoir établi des sommets face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, après que des chiffres officiels aient montré que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis avait plongé au cours de la semaine dernière à son plus bas niveau depuis février 2008.
En seconde partie de séance européenne, il a toutefois prolongé son ascension contre le yen, l'EUR/JPY gagnant 0.42% pour se hisser à 78.5.
Le département d'état au travail américain ainsi révélé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage au cours de la semaine achevée le 6 octbre avait diminué de 30 000 unités pour en totaliser 339 000 après ajustement saisonnier, alors qu'un rabotage de 1 000 était envisagé pour aboutir à un total de 370 000.
Les 385 000 de la précédente ont par contre été revus à la hausse de 367 000 vers 369 000.
Le ministère du commerce a pour sa part signalé que le déficit de leur balance commerciale s'était sans surprise élevé à 44.2 milliards d'USD pour août, les importations prenant les exportations de vitesse.
Le compte-rendu du conseil directeur tenu en septembre par la Banque du Japon publié à l'aube avait quand à lui laissé entendre que certains de ses membres étaient favorables à des assouplissements plus agressifs, ravivant du coup l'attente d'accomodements supplémentaires de sa part au cours du mois.
Elle avait alors déjà ajouté 10 billions de JPY à son programme d'achats d'actifs.
Des chiffre officiels montraient aussi que les commandes de machines avaient connu en août leur premier revers en trois mois, ranimant le spectre d'un affaiblissement de la relance nippone.
Il a par contre nettement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD engrangeant 0.41% pour grimper à 1.2927.
La monnaie unique s'est trouvée encouragée par l'idée selon laquelle une dégradation de la notation espagnole par l'agence Standard & Poor's pourrait forcer Madrid à enfin tendre la main, ce qui pourrait, selon certains observateurs, apaiser la crise de la dette régionale.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling et au franc suisse, le GBP/USD arrachant 0.26% pour s'élever à 1.6047 et l'USD/CHF dérapant de 0.5% pour glisser à 0.9344.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été encore plus fortement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.54% pour aller vers 0.9764, l'AUD/USD raflant 0.51% pour monter à 1.0286 et le NZD/USD engrangeant 0.31% pour culminer à 0.8188.
Les autorités du Canada ont annoncé en fin de journée que le solde négatif du commerce extérieur national s'était réduit à 1.3 milliards de CAD en août, au lieu des 2 milliards envisagés.
L'unité monétaire de l'Australie gardait aussi la forme après que le gouvernement ait constaté la création de 14 500 emplois en septembre, dépassant du coup largement les 3 800 espérés.
Le taux de chômage national a toutefois frémi de 5.1 vers 5.4% dans le même temps, alors qu'une ascension à 5.3% était déjà redoutée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.2% pour pointer à 79.84.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté d'ici peu leur inventaire hebdomadaire du volume de leurs réserves pétrolières.
En seconde partie de séance européenne, il a toutefois prolongé son ascension contre le yen, l'EUR/JPY gagnant 0.42% pour se hisser à 78.5.
Le département d'état au travail américain ainsi révélé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage au cours de la semaine achevée le 6 octbre avait diminué de 30 000 unités pour en totaliser 339 000 après ajustement saisonnier, alors qu'un rabotage de 1 000 était envisagé pour aboutir à un total de 370 000.
Les 385 000 de la précédente ont par contre été revus à la hausse de 367 000 vers 369 000.
Le ministère du commerce a pour sa part signalé que le déficit de leur balance commerciale s'était sans surprise élevé à 44.2 milliards d'USD pour août, les importations prenant les exportations de vitesse.
Le compte-rendu du conseil directeur tenu en septembre par la Banque du Japon publié à l'aube avait quand à lui laissé entendre que certains de ses membres étaient favorables à des assouplissements plus agressifs, ravivant du coup l'attente d'accomodements supplémentaires de sa part au cours du mois.
Elle avait alors déjà ajouté 10 billions de JPY à son programme d'achats d'actifs.
Des chiffre officiels montraient aussi que les commandes de machines avaient connu en août leur premier revers en trois mois, ranimant le spectre d'un affaiblissement de la relance nippone.
Il a par contre nettement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD engrangeant 0.41% pour grimper à 1.2927.
La monnaie unique s'est trouvée encouragée par l'idée selon laquelle une dégradation de la notation espagnole par l'agence Standard & Poor's pourrait forcer Madrid à enfin tendre la main, ce qui pourrait, selon certains observateurs, apaiser la crise de la dette régionale.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling et au franc suisse, le GBP/USD arrachant 0.26% pour s'élever à 1.6047 et l'USD/CHF dérapant de 0.5% pour glisser à 0.9344.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été encore plus fortement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.54% pour aller vers 0.9764, l'AUD/USD raflant 0.51% pour monter à 1.0286 et le NZD/USD engrangeant 0.31% pour culminer à 0.8188.
Les autorités du Canada ont annoncé en fin de journée que le solde négatif du commerce extérieur national s'était réduit à 1.3 milliards de CAD en août, au lieu des 2 milliards envisagés.
L'unité monétaire de l'Australie gardait aussi la forme après que le gouvernement ait constaté la création de 14 500 emplois en septembre, dépassant du coup largement les 3 800 espérés.
Le taux de chômage national a toutefois frémi de 5.1 vers 5.4% dans le même temps, alors qu'une ascension à 5.3% était déjà redoutée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.2% pour pointer à 79.84.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté d'ici peu leur inventaire hebdomadaire du volume de leurs réserves pétrolières.